Que Victor Hugo et ces autres auteurs de la poésie française me pardonnent si je n’utilise que des mots pauvres malgré la richesse de notre langue,
Comment puis-je parler de cet homme qui était là, en ce vendredi, avec des collègues travail, à surveiller qu'un foot pour que tout se passe bien ? Comment décrire ces copines assissent à la terrasse du café, comme à leur habitude de fin de semaine, pour se raconter leur semaine passée, et rêver à hautes voix de leur projets au futur ? Et ce fan de rock, venue écouter un groupe de rock qui dansaient depuis le jour où il avait acheté sa place C’était des personnes qui vivaient leur vie,
Je pense aux personnes entre la vie et la mort, qui sont encore là, mais quel courage leur-faudra-t-il pour vivre avec ces souvenirs. ?
Je n’ai plus de larmes aujourd’hui, j’ai juste ces mots pour dire que J’ai juste de la colère contre ceux qui ont la haine de la vie, du bonheur Personne! N'est Dieu pour voler la vie !
Je n'ai jamais jugé une personne pour sa croyance sa couleur de peaux ou son amour. Et je ne commencerais pas, aujourd’hui promis !
Mais, jurons, à ces voleurs de vie, sans Dieu, sans moral, que nous allons continuer à sortir, à rire, à écrire à danser, à s'aimer et à parler, et nous seront heureux d’être ensemble, Alors au lieu de faire croire que Dieu demande à tuer des infidèles comme ils dissent, Qu’ils profitent du bonheur de la vie, avec nous, Et s’ils veulent prier parce que croire en Dieu, c’est leur façon d’aimer la vie, je serais là 1ére à me réjouir pour eux !
Mais, qu’ils n’oublient pas, que personne doit choisir la vie des autres.