Un étude américaine s'intéresse de près à la question
WASHINGTON Prendre la pilule peut induire une perte permanente de la libido, même après son arrêt, révèle une étude de l'Université de Boston, Massachussetts. Le fait que la plupart des femmes ont une perte de libido quand elles prennent la pilule, est connu depuis un temps déjà. En revanche, la nouvelle étude publiée dans le New Scientist, est la première qui suggère que l'effet peut être permanent.
Une équipe de spécialistes, sous la direction de Irwin Goldstein et Claudia Panzer, ont étudié 125 femmes, dont 62 prenaient la pilule, 40 l'avaient prise mais l'avaient arrêtée, et 23 qui n'avaient jamais pris de contraceptif oral.
D'après Irwin Goldstein, il existe une probabilité que les femmes en ressentent les conséquences pendant toute leur vie. Le moyen contraceptif réduit en effet le niveau de testostérone en plus de diminuer ou d'induire une absence d'orgasme, voire des rapports sexuels douloureux. D'après l'équipe de l'Université de Boston, la pilule augmente le taux de globuline de fixation de l'hormone sexuelle (SHBG), responsable de la réduction du taux de testostérone. Ce taux est sept fois plus élevé chez les femmes sous l'effet du médicament que chez celles dans la situation inverse.
De plus, les femmes ayant pris le contraceptif oral, mais l'ayant arrêté, le taux de SHBG était trois à quatre fois plus élevé que chez les femmes ne l'ayant jamais pris. Au total, environ 100 millions de femmes recourent à la contraception orale à travers le monde.
Les femmes sous pilule auraient-elles moins de nez ? C’est en tout cas ce que suggère une étude menée par des médecins italiens. Et, cela pourrait être plus embêtant qu’on l’imagine. Car il n’est pas impossible que ces modifications de l’odorat aient des répercussions sur la sexualité.
On le sait, les odeurs influencent beaucoup le comportement sexuel des animaux. Ainsi, la disparition de l’odorat contribue, par exemple, à rendre les furets homosexuels1. Mais, et cela est vraisemblablement moins connu, l’odorat des femmes fluctue tout au long de leur cycle menstruel. Leurs capacités olfactives semblent être en fait particulièrement aiguisées pendant la période de l’ovulation, où les rapports sont fécondants et qui se situe normalement au milieu du cycle. Selon toute vraisemblance, ces variations ont pour but d’accroître le désir et d’encourager les femmes à avoir des relations sexuelles avec leur partenaire.
Des chercheurs au nez creux
Qu’en est-il sous pilule contraceptive, alors que les sécrétions hormonales naturelles de l’organisme sont totalement modifiées par l’apport extérieur d’estrogènes de synthèse et de progestatifs ? C’est ce qu’ont voulu savoir des médecins italiens exerçant à l’Université de Catane, en soumettant 60 femmes de 18 à 40 ans sous pilule à des examens ORL (rhinométrie et olfactométrie) permettant d’étudier le fonctionnement de la muqueuse olfactive2.
Six substances ayant des odeurs bien caractéristiques : anis, musc, clou de girofle, pyridine, agrumes, ammoniaque ont ainsi été proposées aux participantes. Les investigateurs ont mesuré le niveau de réceptivité de la muqueuse nasale à ces arômes, tout d’abord à différentes périodes du cycle menstruel normal sans prise de pilule, puis 7, 14 et 21 jours après administration d’un contraceptif oral.
La pilule vous mène-t-elle par le bout du nez ?
En l’absence de pilule, des différences de réceptivité ont nettement été observées entre la première partie du cycle, le moment de l’ovulation et la seconde partie du cycle. La sensibilité aux odeurs est accrue pendant les deux premières périodes en comparaison de la dernière.
Ces résultats suggèrent que les hormones féminines pourraient agir à ce niveau. En effet, la première partie du cycle est associée à une augmentation progressive de la production d’estrogènes, tandis que celle qui suit l’ovulation se caractérise par l’existence d’une sécrétion de progestérone.
Sous pilule, le comportement olfactif des femmes est apparu modifié pour les six odeurs testées. En réalité, la réceptivité de la muqueuse nasale correspondait à celle que l’on observe habituellement en seconde partie de cycle. Tout semblait donc se passer comme si l’apport d’hormones étrangères avait fait disparaître les fluctuations habituelles de l’odorat, constatées pendant le cycle.
Aux USA, près de 40 utilisateurs du médicaments seraient atteints d’une affection du nerf optique
WASHINGTON L’agence américaine de sécurité sanitaire (Food and Drug administration) a annoncé vendredi l’ouverture d’une enquête sur des cas de certains utilisateurs de Viagra et de Cialis devenus aveugles, afin de déterminer si cette cécité a été provoquée ou non par les célèbres médicaments contre les troubles de l’érection.
Ces cas sont rares, l’étude est en cours et rien ne permet pour le moment d’établir la responsabilité du Viagra et de Cialis, a expliqué la FDA. L’agence américaine, notamment chargée de vérifier la sécurité des médicaments et équipements médicaux, a été informée de 42 cas de cécité, 38 parmi les utilisateurs de Viagra et quatre parmi ceux du Cialis. Tous sont atteints d’une affection du nerf optique, pathologie qui peut survenir chez des patients souffrant de diabète ou de maladies cardio-vasculaires. Aucun cas n’a été signalé pour le Levitra, troisième médicament contre l’impuissance. "Nous prenons cela au sérieux", a déclaré Susan Cruzan, porte-parole de la FDA.
La FDA précise avoir entamé des consultations avec les laboratoires concernés, Pfizer pour le Viagra, Eli Lilly and Co pour le Cialis et GlaxoSmithKline PFC/Bayer AG pour le Levitra. Daniel Watts, porte-parole de Pfizer, a confirmé que le laboratoire était en pourparlers avec la FDA, concernant l’ajout éventuel d’une notice expliquant que dans de rares cas, des hommes ayant pris du Viagra étaient devenus aveugles. Il a toutefois souligné que rien ne prouvait pour le moment que le médicament était effectivement responsable des cas de cécité. Les utilisateurs de Viagra -plus de 23 millions à travers le monde- souffrent souvent d’hypertension et d’un taux élevé de cholestérol, affections pouvant contribuer à provoquer une cécité, a-t-il dit.
D’après Pfizer, "les effets secondaires les plus fréquents du Viagra sont les maux de tête, les rougissements et les maux de ventre. Plus rarement une vision floue ou bleuâtre ou une hypersensibilité à la lumière peuvent se produire pendant un court moment". Ces indications étaient disponibles sur le site Internet du laboratoire avant l’ouverture de l’enquête. Eli Lilly signale des effets secondaires semblables.
C’est la chaîne de télévision américaine CBS qui, la première, a fait état des cas de cécité parmi les utilisateurs. Le Viagra a reçu l’approbation des autorités sanitaires américaines en 1998, le Levitra en août 2003 et le Cialis en novembre de la même année. Ces médicaments sont contre-indiqués aux hommes souffrant de maladies cardio-vasculaires à qui leur médecin a déconseillé d’avoir des rapports sexuels.
Ces produits sont également déconseillés à ceux qui prennent des médicaments contenant des nitrates, car ils risquent une chute de tension soudaine
Quatorze patients souffrent de cécité: des cas rares, mais prudence...
BRUXELLES On le répète depuis longtemps déjà: le Viagra ne doit être administré qu'après une évaluation précise de l'état de santé général du patient. Une compétence médicale qu'il ne faut surtout pas contourner en se procurant le médicament via Internet.
De manière générale, la pilule d'amour, prescrite contre les troubles de l'érection, n'engendre pas d'effets secondaires graves. Toutefois, indique une étude publiée par le Journal de neuro-opthalmologie, elle a été identifiée comme étant à l'origine de quatorze cas de... cécité définitive.
En fait, le Viagra a provoqué ce que les spécialistes appellent une neuropathie optique ischémique ou attaque oculaire. Ce trouble se traduit par un défaut d'alimentation en sang de la tête du nerf optique, avec - en l'occurrence - perte progressive et irréversible de la vision. Chez la moitié des individus, les deux nerfs optiques ont été affectés, conduisant à une cécité complète.
Les patients sont âgés entre 50 et 69 ans. Logique: il s'agit de la tranche d'âge la plus concernée par le recours au Viagra. Il est important de signaler que ces sujets souffraient d'au moins un facteur de risque cardio-vasculaire, qu'il s'agisse d'hypertension, de diabète ou d'excès de cholestérol. Il est également apparu qu'ils présentaient une configuration particulière à l'arrière de l'oeil, là où se croisent le nerf optique et les vaisseaux sanguins.
Commentant ces divers constats, une équipe d'opthalmologues de l'Université du Minnesota insiste sur le fait que les patients souhaitant bénéficier du Viagra doivent se soumettre à un entretien médical extrêmement complet.
Citation a écrit: On le sait, les odeurs influencent beaucoup le comportement sexuel des animaux. Ainsi, la disparition de l’odorat contribue, par exemple, à rendre les furets homosexuels1.
Je sais pourquoi le monde part en cacahuète. (Vous pensez que c'est à cause de la pollution ?) Je sais pourquoi on a créé aussi la PACS
Je comprends également la phrase d'une jeune fille lesbienne qui disait dans un témoignage à faire pleurer les oignons (qui se mêlent de leur affaires) : "j'ai arrêter de sortir avec mon mec, je pouvais plus le voir et surtout le sentir"
Tout s'explique maintenant.
Merci !
Signé Môh made in berber city, devenu intelligent grâce à des infos de qualités. Merci... j'en pleure de joie. Merci encore. snif snif.