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Petite histoire
5 mars 2017 19:39
Voici une petite histoire:

Le soir, lorsque ma femme mangeait, j’ai pris sa main et je lui ai dit : « Il faut que je te parle ».

Elle a hoché la tête et a continuer à manger tranquillement. J’ai vu la douleur dans ses yeux…cette tristesse qui te bloque les maxillaires…J’ai pris mon courage et je lui ai dit : « Je veux divorcer ».

Elle me répond dégoûtée : « Pourquoi ? ».

Cette nuit-là on n’a pas parlé et elle a pleuré toute la nuit. Je savais qu’elle aimerait savoir ce qui se passe avec notre mariage, mais je n’ai pas pu lui dire…elle avait perdu mon coeur, à cause d’une autre femme…A… !

Je n’aimais plus tellement ma femme…j’étais si triste…..je me sentais coupable, pour cette raison j’ai signé l’acte de séparation où je lui laissais la maison, la voiture et 30 % de la boutique.

Quand elle a vu l’acte de séparation, elle l’a déchiré : « Comment ?! On a passé 10 ans de notre vie ensemble et maintenant tu me laisses pour une autre ?! »

Je me sentais si mal pour tout ce temps passé avec moi…pour toutes les énergies…mais je ne peux rien faire…maintenant j’aime A…D’un seul coup ma femme a commencé à hurler et a pleurer continuellement. Elle était furieuse et déçue…l’idée de divorce commençait à devenir réalité.

Le lendemain j’ai retourné à la maison et je l’ai trouvée au bureau qui se trouve dans la chambre…elle écrivait, je n’ai rien mangé et suis allé me coucher…j’étais très fatigué après la journée passée avec A…La nuit je me suis réveillé et j’ai vu ma femme toujours au bureau…Je me suis tourné de l’autre côté et je me suis rendormi.

Le matin, ma femme vient me présenter ses conditions pour « accepter le divorce ». Elle ne voulait ni la maison, ni la voiture…ni le magasin. Demain c’est le début du mois, et ce mois-ci on devra vivre comme si rien s’était passé…son raisonnement était simple : « Notre fils a des examens ce mois-ci et on doit pas le perturber avec nos problèmes ».

LA SUITE SI VOUS LA VOULEZ
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
C
5 mars 2017 19:44
La suite ...
5 mars 2017 20:00
J' attends smiling smiley
Z
5 mars 2017 20:05
Oh je l'ai déjà lu cette histoire ... J'avoue qu'elle fait mal au coeur. lol
Z
5 mars 2017 20:06
La femme a un cancer ou un truc dans le genre et le temps qui lui reste à vivre est finalement, le temps qu'elle demande pour le divorce ... Un truc dans le genre.
K
5 mars 2017 20:16
Salam

Paradise-jannah a raconté l'histoire il y a quelques jours lol


[www.yabiladi.com]
O
5 mars 2017 20:16
Qu'est ce que ça fait dans halka détente? Oh
K
5 mars 2017 20:17
Je republie son post

"Quand je suis rentré ce soir-là, et que ma femme a servi le dîner, je lui tenais la main et dit: J'ai quelque chose à te dire. Elle s'assit et mangea tranquillement. Encore une fois j'ai observé la douleur dans ses yeux.
Tout à coup, je ne savais pas comment ouvrir ma bouche. Mais je devais lui dire ce que je pensais. « Je veux divorcer ». J'ai soulevé le sujet calmement. Elle ne semblait pas être ennuyé par mes paroles, bien au contraire elle me demanda doucement : pourquoi?
J'ai évité la question. Cela la mit en colère. Elle a jeté les couverts et me cria : tu n'es pas un homme! Cette nuit-là, on ne s’est pas parlé l’un l'autre. Elle pleurait. Je savais qu'elle voulait savoir ce qui était arrivé à notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une réponse satisfaisante, elle avait perdu mon cœur, car il s’était tourné vers Jane. Je ne l'aimais pas du tout, j’avais juste pitié d’elle!
Avec un profond sentiment de culpabilité, j'ai rédigé une lettre de divorce, qui stipulait qu'elle pouvait avoir notre maison, notre voiture, et 30% du capital de ma société. Elle la regarda, puis la déchira en mille morceaux. La femme qui avait passé dix ans de sa vie avec moi était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle et pour la perte de temps, de ressources et d'énergie, mais je ne pouvais pas reprendre ce que j'avais dit car j'aimais Jane chèrement. Enfin, elle a crié haut et fort en face de moi, et c'est ce que je m'attendais à voir. Pour moi son cri était en fait une sorte de libération. L'idée d'un divorce qui m'avait obsédée pendant plusieurs semaines semblait être plus ferme et plus clair maintenant.
Le lendemain, je suis rentré très tard et l’ai trouvée entrain d’écrire quelque chose à la table. Je n'ai pas pris le souper, mais je suis allé directement au lit et m'endormi très vite parce que j'étais fatigué après une journée bien remplie avec Jane. Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours là au bureau. Je n'y ai pas prêté attention, je me suis retourné et ai encore dormi.
Dans la matinée, elle a présenté ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais elle avait besoin d'un mois de préavis avant le divorce. Elle a demandé que, dans cette période d'un mois nous aurons tous deux à lutter pour vivre une vie aussi normale que possible. Ses raisons sont simples: notre fils aura ses examens dans un mois, et elle ne voulait pas lui perturber le morale par notre mariage brisé.
Ce fut agréable pour moi. Mais elle avait quelque chose de plus, elle m'a demandé de me rappeler comment je l'avais transporté dans la chambre nuptiale le jour de notre mariage. Elle a demandé que tous les jours pendant la durée du mois, je l'emmène hors de notre chambre à la porte chaque matin. Je croyais qu'elle devenait folle. Afin de rendre nos derniers jours d’ensemble agréables, j'ai accepté sa demande bizarre.
J'ai parlé à Jane des conditions de divorce de ma femme. . Elle éclata de rire, et trouva cela absurde : « Peu importe les méthodes qu’elle appliquera, elle doit faire face au divorce », dit-elle avec mépris.
K
5 mars 2017 20:19
( la suite )

Ma femme et moi n'avions pas eu de contact de corps depuis que mon intention de divorce a été explicitement exprimée. Donc quand je l'ai portée le premier jour, nous avons tous deux paru maladroits. Notre fils applaudit derrière nous disant : « papa tient maman dans ses bras. » Ses paroles m'ont apporté un sentiment de douleur. De la chambre au salon, puis à la porte, j'ai marché plus de dix mètres avec elle dans mes bras. Elle ferma les yeux et dit doucement, ne dis rien à notre fils au sujet du divorce. J'ai hoché la tête, me sentant quelque peu bouleversé. Je l’ai posée devant la porte. Elle est allée à attendre le bus pour aller au travail. J'ai conduit seul et partis au bureau.
Le deuxième jour, nous l’avons fait beaucoup plus facilement. Elle se pencha sur ma poitrine. Je pouvais sentir le parfum de son chemisier. J'ai réalisé que je n'avais pas regardé cette femme attentivement pendant une longue période. J'ai réalisé qu'elle n'était pas jeune non plus. Il y avait des fines rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pendant une minute, je me suis demandé ce que j'avais fait d’elle.
Le quatrième jour, quand je l'ai soulevée, j’ai senti au retour un sentiment d'intimité. Ce fut la femme qui avait donné dix ans de sa vie pour moi. Le cinquième jour, et le sixième, j'ai compris que notre sentiment d'intimité renoué était croissant. Je n'ai rien dit à Jane à ce sujet. Il est devenu plus facile de la porter au fur et mesure que le mois s'écoulait. Peut-être que la séance d'entraînement quotidienne m'a rendu plus fort.
Et un matin, elle se mit à chercher quoi porter. Elle a essayé pas mal quelques robes mais ne pouvait pas trouver une qui la convienne. Puis elle soupira : « toutes mes robes ont grandi ». J'ai soudain réalisé qu'elle avait tellement maigri, c'était la raison pour laquelle je pouvais la porter plus facilement.
Tout à coup, cela m'a frappé ... elle avait enduré tant de douleur et d'amertume dans son cœur. Inconsciemment, j'ai tendu la main et toucha sa tête.
Notre fils est venu en ce moment et dit: Papa, il est temps de porter maman. Pour lui, voyant son père portant sa mère était devenue une partie essentielle de sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra étroitement. Je tournais mon visage parce que j'avais peur, je pourrais changer d'avis à la dernière minute. Je l’ai alors prise dans mes bras, marchant de la chambre, à travers le salon, dans le couloir. Elle mit doucement et naturellement ses mains autour de mon cou. Je l'ai serrée contre moi. C’était comme le jour de notre mariage.
Mais son poids beaucoup plus léger m'a rendu triste. Le dernier jour, lorsque je l'ai tenue dans mes bras, je pouvais à peine bouger d'un pas. Notre fils était allé à l'école. Je l'ai tenue fermement et lui dit: Je n'avais pas remarqué que notre vie manquait d'intimité. J'ai conduit et suis allé au bureau .... J’ai sauté de la voiture rapidement sans verrouiller la porte. J'avais peur qu’il soit tard pour moi de changer d'avis ... Je pris les escaliers. Jane ouvrit la porte et je lui ai dit, Désolé, Jane, je ne veux plus de divorce.
Elle me regarda, étonnée, puis toucha mon front : « As-tu de la fièvre? » Dit-elle. J’ai enlevé sa main de ma tête : « Désolé, Jane », je dis, « je ne vais pas divorcer. Ma vie conjugale était ennuyeuse sans doute parce qu'elle et moi n'avions pas valorisé les détails de nos vies, et non parce que nous ne nous aimions plus. Maintenant je me rends compte que depuis que je l'ai amenée à mon domicile le jour de notre mariage, je suis censé la garder jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Jane semblait soudainement se réveiller. Elle m'a donné une claque forte puis claqua la porte et fondit en larmes. Je descendis et m'en allais. À la boutique de fleurs sur le chemin, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour ma femme. La vendeuse m'a demandé ce qu’elle pouvait écrire sur la carte. J'ai souri et j’ai écrit : Je te porterais chaque matin jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Ce soir je suis arrivé à la maison, des fleurs dans mes mains, un sourire sur mon visage. Je montais les escaliers, mais seulement, hélas, pour trouver ma femme dans le lit, morte. Ma femme avait été lutté contre le cancer depuis des mois et j'ai été tellement occupé avec Jane, que je n’ai même pas remarqué. Elle savait qu'elle allait mourir bientôt et elle a voulu me sauver de la réaction négative de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. Du moins, aux yeux de notre fils - je suis un mari aimant ... .
Les petits détails de votre vie sont ce qui importe vraiment dans une relation. Ce n'est pas la maison, la voiture, la propriété, l'argent à la banque. Ceux-ci créent un environnement propice pour le bonheur mais ne peut pas donner le bonheur en eux-mêmes.
Donc, trouver du temps pour être l'ami de votre conjoint et de faire ces petites choses pour l'autre qui construisent l'intimité.
s
5 mars 2017 20:23
Comment spoiler une histoire en deux secondes whistling smiley
Citation
Zane a écrit:
La femme a un cancer ou un truc dans le genre et le temps qui lui reste à vivre est finalement, le temps qu'elle demande pour le divorce ... Un truc dans le genre.
[color=#FF0033]Ich liebe Schokolade[/color]
5 mars 2017 20:25
Mince.

C'est triste j'ai versé ma larme en lisant
5 mars 2017 20:36
Je continue l'histoire originale et puis je réponds aux intervenants:


J’étais d’accord…elle m’a fait une deuxième demande : « J’aimerais me rappeler du jour où on s’est marié, quand tu m’as pris dans tes bras et on est allés dans la chambre pour la première fois…et ce mois-ci, chaque matin faut que tu me prennes dans tes bras de la porte jusqu’à la sortie ».

J’ai cru qu’elle avait perdu sa tête, mais j’ai été d’accord, car j’avais prévu de magnifiques vacances, par peur qu’elle puisse me les gâcher. J’ai tout raconté à A…qui a rigolé puis m’a dit : « Indifféremment ce qu’elle va inventer ta femme…dis-lui que tu es à moi ».

Depuis longtemps je n’ai pas eu des rapports avec ma femme, donc quand je l’ai prise dans mes bras j’étais gêné…mais derrière nous notre fils applaudissait en disant : « Papa t’es fort, t’as pris maman dans tes bras »

Ses paroles étaient comme un couteau dans mon cœur…j’ai marché 10 mètres avec ma femme dans les bras…Elle a fermé les yeux et m’a dit doucement : « Ne lui dis rien sur le divorce, s’il te plait ».

J’ai été d’accord. Je l’ai laissée à la porte et elle est partie prendre le bus pour se rendre à son travail.

Le deuxième jour, j’étais plus relaxé…elle se tenait proche de moi…J’ai senti son parfum. J’ai réalisé que depuis longtemps je ne l’ai pas vraiment regardée, parce que j’avais oublié…j’ai réalisé qu’elle n’était plus si jeune…quelques rides…cheveux blancs.

Je me suis demandé : « ce que j’avais fait pour la transformer ainsi ? »

Le 4e jour, quand je l’ai prise dans mes bras, comme chaque matin, j’ai senti que l’intimité est de retour…j’ai senti que c’est la femme qui m’a donné 10 ans de sa vie, un enfant…j’ai voulu me rapprocher encore plus d’elle. Je n’ai rien dit par respect pour A… !

Chaque jour était de plus en plus facile de la soulever et le mois est passé très vite. Je croyais avoir pris l’habitude de la soulever…chaque jour je la sentais plus légère.

Un matin, elle ne savais pas quoi mettre…elle avait tout essaie et elle a dit : « Mes vêtements sont devenus trop grands ».

Je me suis rendu compte qu’elle avait perdu du poids…Donc pour cela qu’elle était si légère, j’ai réalisais brusquement qu’elle avait été en dépression…pour trop de souffrance et douleur. Sans me rendre compte, je lui ai touché les cheveux…notre fils est rentré dans la chambre et nous a dit « Papa c’est le moment d’amener maman dans tes bras »…pour lui c’était devenu un rituel fondamental de sa vie.

J’ai pris ma femme dans les bras et j’ai senti un frisson qui m’a changé le monde de voir le divorce. Je l’ai prise dans mes bras comme la première fois qu’on est venus à la maison, après notre mariage…J’ai voulu pleurer.

Le dernier jour du mois on a fait la même chose et elle m’a dit : « Je ne me suis pas rendue compte qu’on avait perdu l’intimité ».
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
5 mars 2017 20:40
Notre fils devait aller à l’école et je l’ai accompagné en voiture. Ma femme est restée à la maison. Après mon travail, au retour, suis passé devant le bâtiment d’A…et je me suis arrêté…et j’ai couru en montant les escaliers, jusqu’à sa porte…elle a ouvert et je lui ai dit : « Pardonne-moi…mais je ne veux pas divorcer de ma femme »

Elle m’a regardé et m’a dit : « Tu es fou ? »

Je lui ai répondu : « Non…juste j’aime ma femme…ça a été juste un moment d’ennui et de routine où nous nous sommes éloignés…mais je me suis rendu compte de vraies valeurs de la vie, aujourd’hui je l’ai portée dans les bras, je me suis rendu compte que je dois la faire pour le reste de ma vie ! »

A…m’a giflé et a fermé la porte. J’ai couru jusqu’en bas des escaliers, j’ai conduit et je me suis arrêté devant un fleuriste. J’ai acheté un bouquet de roses et la vendeuse m’a demandé : « Que voulez-vous écrire sur la carte ? »

Je lui ai répondu : « Je m’en fou de tout, mais je vais te prendre dans mes bras chaque jour du reste de ma vie, jusque la mort va nous séparer !».

Suis rentré rapidement, j’ai couru dans la chambre, j’étais si heureux…mais ma femme…était par terre…morte.

Elle lutait contre le cancer ! Et moi au lieu de me rendre compte de ce qui se passait…j’étais occupé avec A…Ma femme m’avait demandé cette période de temps parce qu’elle savait qu’elle va mourir. « Donc…que notre fils ne souffre pas, qu’il lui reste gravé dans la mémoire…qu’il a un père magnifique et une mère qui l’aime ! ».

Rappelons nous toujours le premier jour de notre histoire d’amour.
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
m
5 mars 2017 20:43
a cause de la lumiere de l'ecranwhistling smiley
Citation
Aylaaa a écrit:
Mince.

C'est triste j'ai versé ma larme en lisant
5 mars 2017 20:46
Il n'y a pas de rubrique pour les histoires / créations.
Citation
taqwaliLah a écrit:
Qu'est ce que ça fait dans halka détente? Oh
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
5 mars 2017 20:47
Tu l'as lue quand à peu près ?
Citation
Zane a écrit:
Oh je l'ai déjà lu cette histoire ... J'avoue qu'elle fait mal au coeur. lol
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
Z
5 mars 2017 20:50
Entre 1 et 2 ans ... J'ai une notion du temps vraiment catastrophique, dsl.
Citation
Double bonheur a écrit:
Tu l'as lue quand à peu près ?
5 mars 2017 20:52
Pas en décembre par hasard ?
Citation
Zane a écrit:
Entre 1 et 2 ans ... J'ai une notion du temps vraiment catastrophique, dsl.
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
Z
5 mars 2017 20:54
Je ne sais vraiment plus, belle. yawning smiley
Citation
Double bonheur a écrit:
Pas en décembre par hasard ?
5 mars 2017 20:57
C'est une histoire orthodoxe que j'ai traduite et envoyée à un seul homme...
Citation
Zane a écrit:
Je ne sais vraiment plus, belle. yawning smiley
[center]Vous n'êtes pas vos pensées ! Vous êtes celui qui les choisit. Je ne vous aime pas, Dieu vous aime à travers moi, c’est pour cela que c’est si fort.[/center]
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