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Mort d'un soldat Algérien à la frontière avec le Maroc ?
Y
15 octobre 2021 19:32
Salam,
Le soldat est mort suis a une explosion d'une bombe artisanale à la frontière. Il y a également deux blessés.

Je sais pas pour vous mais ça sent un coup du polisario.
C'est les seuls à profiter d'une guerre entre l'Algérie et le Maroc.
m
15 octobre 2021 19:38
Lire cet excellent article qui décortique la machination des bouffons qui logent au palais d'El Mouradia :

L’Algérie a-t-elle tué ses propres soldats pour un casus belli avec le Maroc ?

En envoyant une patrouille militaire dans une zone infestée de mines antipersonnel datant de l’ère coloniale ou de la décennie noire, l’armée algérienne s’est possiblement rendue coupable d’un assassina prémédité. Objectif: justifier de futures hostilités contre le Maroc

C’est à Béni Boussaïd (wilaya de Tlemçen), et plus précisément à Déglène, à proximité de la RN99, que l’explosion a eu lieu. Un soldat est mort, deux autres blessés. Comme à son habitude, l’Algérie a immédiatement accusé le Maroc qui, semble-t-il, a non seulement la capacité opérationnelle de s’infiltrer en profondeur dans le territoire algérien jusqu’à atteindre Blida, à moins de cinquante kilomètres d’Alger, pour gâcher la pelouse d’un stade, mais peut aussi intervenir à souhait au-delà de la ligne de front réputée inviolable qui sépare l’Algérie du Maroc.

L’explosion aurait eu lieu mercredi 13 octobre, soit le jour même où l’Algérie a annoncé le démantèlement d’une cellule terroriste née d’une invraisemblable cabale maroco-israélienne. Étonnante concordance, et incroyable simultanéité des faits. Les généraux semblent si pressés de monter leur dossier qu’ils en oublient de sauver les apparences de la vraisemblance. Surtout que le « film » du démantèlement a fait rire au Maroc comme en Algérie. Si, par chance, se tiennent cette année Les Gérard du cinéma, célèbre cérémonie satirique qui récompense les pires films et les pires acteurs, la DGSN algérienne raflerait au moins quatre Gérards dans trois catégories: un Gérard du réalisateur qui continue à faire des films en toute impunité malgré un CV déjà passablement chargé, un Gérard du réalisateur qui fait toujours le même film, mais en un peu moins bien à chaque fois, un Gérard de l’acteur qui aurait vraiment mieux fait de continuer à faire des sketches et, enfin, un Girard du film halal.

Tandis que la version francophone de l’APS (agence officielle algérienne de presse) qualifie l’engin explosif de « bombe de confection artisanale », pour ajouter foi à la thèse d’un attentat, la dépêche de la rédaction arabophone de l’agence, elle, évoque « une mine artisanale », ce qui est plus proche de la réalité sans l’être tout à fait. Nous y reviendrons.

Que des champs de mines abondent dans le territoire algérien n’est un secret pour personne. Celles-ci datent majoritairement de l’ère coloniale et de la décennie noire, durant laquelle l’armée algérienne avait coutume de « piéger » les sites sensibles et les pylônes de haute et de très haute tension, pratique reconnue par l’État algérien lui-même dans ses rapports internationaux. Le minage de ces positions était expliqué par le fait qu’elles « constituaient des cibles privilégiées des groupes terroristes ». « La pose de ces champs a été exécutée en 1994 et 1995, soit avant l’avènement de la Convention d’Ottawa », se justifiait rétrospectivement le gouvernement algérien. Parmi les sites minés par l’armée algérienne durant la guerre civile, on retrouve certains au sein de la deuxième région militaire, qui couvre le nord-ouest du pays ainsi qu’une bonne partie de la frontière avec le Maroc, et qui englobe notamment la wilaya de Tlemçen. La localisation précise des champs de mines n’a jamais été rendue publique. 9172 mines antipersonnel auraient été retirées, soit l’intégralité, prétend l’armée algérienne, ce que nous contestons. Nous y reviendrons également.

En 2017, cinquante-cinq ans après l’accession du pays à l’indépendance, l’Etat algérien avait annoncé la fin des opérations de déminage. 8.854.849 mines avaient été détruites, et 62.421 hectares assainis selon une dépêche de l’agence de presse officielle. Pourtant, moins d’un an après l’annonce de l’achèvement du déminage, une explosion est survenue, mettant en doute la crédibilité de l’annonce algérienne et la régularité du processus de déminage: en 2018, deux enfants, une fillette et un garçon âgés de 11 et 7 ans, ont été tués tandis que deux autres, âgés de 10 et 7 ans, ont été blessés dans l’explosion d’une mine au sud de Tlemçen, la même wilaya où a été enregistrée l’explosion de la mine attribuée au Maroc.

Suite de l'article ici :
[www.barlamane.com]
Citation
Yabi67 a écrit:
Salam,
Le soldat est mort suis a une explosion d'une bombe artisanale à la frontière. Il y a également deux blessés.

Je sais pas pour vous mais ça sent un coup du polisario.
C'est les seuls à profiter d'une guerre entre l'Algérie et le Maroc.
G
15 octobre 2021 20:21
Que gagnerait le polisario dans une guerre entre l'Algerie et le Maroc.

En tout cas l'algerie a déjoué une attaque terroriste. Israél est accusé. A savoir pourquoi il y'a regain d'hiostilité entre Israél et l'algerie dépuis que le Maroc a normalisé ses relations.
Citation
Yabi67 a écrit:
Salam,
Le soldat est mort suis a une explosion d'une bombe artisanale à la frontière. Il y a également deux blessés.

Je sais pas pour vous mais ça sent un coup du polisario.
C'est les seuls à profiter d'une guerre entre l'Algérie et le Maroc.
 
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