Israël est sans nul doute aujourd’hui dans le trio de tête des pays les plus moralement décadents. Mais ce n’est pas un problème, les Israéliens étant bouffis de cette arrogance infinie de l’enfant gâté pourri, convaincu d’avoir tous les droits, dont celui de tout casser dans la maison, et qui chouine très fort si on élève un peu le ton contre ses excès !
Non, inutile d’essayer de raisonner un psychopathe qui se croit tout-puissant, c’est peine perdue. Les sionistes, et plus encore les sionistes ultra-religieux, sont perdus pour l’humanité. Tellement dégénérés que cela en est incurable.
Aujourd’hui, pour protéger les Palestiniens, l’unique moyen c’est de conspuer et de mettre une pression de dingue sur nos propres leaders. Mettre fin à l’impunité. L’impunité est la racine du mal.
Boycott, isolement diplomatique, blocus économique, arrêt du commerce international avec Israël etc. Bref, faire très très mal à son économie et à son rayonnement, tant que ce pays, qui a complètement dévissé des droits de l’homme, continuera l’oppression et la colonisation contre les Palestiniens.
Après un an de guerre, et le départ à l’étranger d’une partie des investisseurs et des cerveaux qui faisaient fonctionner le pays, l’économie israélienne s’effondre, ce qui compromet durablement l’avenir du projet sioniste, celui d’un grand Israël ethniquement pur.
L’économiste Shir Ever, natif d’Israël nous décrit la situation :
Israël perd aussi des points en montrant au monde entier le niveau réel de sa «démocratie exemplaire» dans laquelle 175 journalistes ont été assassinés par Tsahal en 1 an seulement : presque un tous les deux jours. C’est un record du monde jamais atteint à ce jour dans aucun conflit majeur depuis la fin de la 2ème guerre mondiale.
Israël perd également des points sur la scène internationale en égarant sa raison et sa maîtrise de soi et en s’attaquant à 3 reprises le 10 octobre aux casques bleus de l’ONU déployés au Sud Liban. Deux soldats indonésiens de la FINUL ont été blessés.
Ces faits surviennent après qu’une interdiction de séjour en Israël ait été prononcée à l’encontre du secrétaire général de l’ONU.
Si la gouvernance Netanyahou voulait faire d’Israël un État paria et le faire exclure de l’ONU, il ne s’y prendrait pas autrement. Les points perdus par Israël sont autant de points perdus par l’Occident otanien qui étale toujours plus, au grand jour et à la face du monde, sa connivence avec Netanyahou et sa partialité, en continuant de soutenir inconditionnellement un État génocidaire, pratiquant l’apartheid et dont les soldats tirent sur ceux de l’ONU.