L'ami de BHL, (MST dans mon roman), a été en Israël et a exprimé son soutien à l'état sioniste le qualifiant de "moral" et partageant les "valeurs" de l'Occident (impérialisme, racisme, colonialisme, violences guerrières: opinion de l'auteur).
Un journaliste de Guysen a rencontré Michel Houellebecq à Tel Aviv, à l'occasion de la signature de son livre pour lequel il a obtenu le Prix Goncourt 2010, "La carte des territoires". Après avoir réaffirmé ses positions en faveur de l'Etat d'Israël, il s'en est pris à la mentalité "collaborationniste typique des écologistes". "Les Palestiniens sont du côté du mal". Pour l'auteur, Israël "est un pays occidental et c'est tout, avec les mêmes valeurs". Il a ensuite justifié sa prise de position en affirmant que"Israël emploie des moyens plus moraux que les Palestiniens. Sans justifier chaque action d'Israël globalement il apparaît quand même qu'Israël emploie des moyens plus moraux pour se défendre. Donc je suis du côté de la morale fondamentalement. Le côté du bien contre le mal". Mais ses prises de positions sur Israël ne sont pas les seules qui lui ont valu l'étiquette d'agitateur public. Les propos qu'il avait tenu sur l'Islam en 2001 déclarant "la religion la plus con, c'est quand même l'Islam" avaient en effet attiré les foudres de la communauté musulmane.
Bon, il y aura toujours des connards comme ceux qui regrettent les colonies, le bon vieux temps de l'apartheid et de la domination blanche. Publié par Dé-manipulations