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Liban : le Hezbollah fait tomber le gouvernement
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wakrim
12 janvier 2011 19:41
Salam

On apprend dans cette article que Téhéran est la capital du Liban smiling smiley

On en apprend tout les jours smiling smiley


Au moment où le Premier ministre libanais, Saad Hariri, était reçu ce mercredi à Washington par Barack Obama, son gouvernement s'est effondré à Téhéran. Après des mois de bras de fer sur l'affaire Hariri, les onze ministres du camp du Hezbollah ont démissionné.
Soit plus d'un tiers du cabinet constitué de 30 ministres, le seuil prévu par la Constitution pour faire chuter le gouvernement.

Après une première démission de 10 ministres de l'opposition, un onzième, proche du président de la République, le ministre d'Etat Adnane Sayyed Hussein, a présenté sa démission dans la foulée, a rapporté l'Agence nationale d'information libanaise.

Le Hezbollah contre le Tribunal spécial pour le Liban

Pourquoi vouloir faire chuter le gouvernement et affaiblir Saad Hariri ? Un bras de fer oppose depuis des mois le camp du Premier ministre à celui du Hezbollah sur la question du Tribunal spécial sur le Liban (TSL), chargé d'enquêter sur le meurtre de l'ex-dirigeant Rafic Hariri en 2005. Soutenue par le camp Hariri et l'Occident, cette institution basée près de La Haye est accusée par le Hezbollah d'être «politisée» et d'avoir basé son enquête sur de faux témoignages.

L'organisation s'attend à être mise en cause dans ce meurtre, et fait pression depuis des mois sur Saad Hariri pour qu'il désavoue le tribunal.

«Le but de cette démission est de paralyser l'Etat en vue de détruire le tribunal»

«Tous leurs scénarios visaient à faire plier M. Hariri pour qu'il désavoue le tribunal et quand ces scénarios ont échoué, ils ont déclaré une guerre politique contre lui aujourd'hui», a affirmé Mohammad Rahhal, ministre de l'Environnement proche du Premier ministre. «Le but de cette démission est de paralyser l'Etat en vue de détruire le tribunal».

L'impasse actuelle rappelle celle de 2006. Six ministres du Hezbollah et de ses alliés avaient démissionné du gouvernement de Fouad Siniora, un proche de Saad Hariri, sur fond de crise sur le partage du pouvoir et des divergences sur l'établissement du tribunal international. La crise avait mis le pays au bord d'une nouvelle guerre civile en mai 2008, avec des combats ayant fait une centaine de morts.
Source : ==> Le Parisien

ça me rappelle quelque chose tout ça grinning smiley
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c
coldman
12 janvier 2011 19:50
logique que le hezbollah aux ordres de téhéran refuse une enquete internationale. le liban est à lui et il a droit de vie et de mort sur les libanais. tant qu'un organisation totalitaire comme le hezbollah aura une telle emprise, le liban ne s'en sortira pas.
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wakrim
12 janvier 2011 20:05
Citation
coldman a écrit:
logique que le hezbollah aux ordres de téhéran refuse une enquete internationale. le liban est à lui et il a droit de vie et de mort sur les libanais. tant qu'un organisation totalitaire comme le hezbollah aura une telle emprise, le liban ne s'en sortira pas.

Salam

Foutaise

Le (TSL) est un ramassis de menteur à la solde des U.S.A., C'est plutôt ça la vérité.

Au contraire le Liban s'en sort bien smiling smiley Vive Hizbollah Welcome
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