Plusieurs destinations au Maroc ont été touchées par l’industrie du sexe. Tournage en bonne et due forme ou films amateur en catimini, de Marrakech à Agadir en passant par Tanger ou encore Essaouira, la pornographie fait recette. Les industriels du X se servent des décors marocains pour des séances photo, des films roses (softcore) et du X (hardcore). Stars du porno et starlettes ont ainsi visité quelques régions du Maroc. On peut retrouver des photographies dans des maisons marocaines, des ryads, dans le désert ou sur la montagne.
Elles se font appelées, Jihane, Warda, Hiba, Faïrouz, et elles sont installées ce soir-là sur une banquette bien située et visible à l’entrée d’un cabaret réputé très chaud à Marrakech dans l’espoir d’une rencontre qui bouleversera leur vie. Certaines sont très jeunes, mineures et célibataires, d’autres ont un mari et une famille. Parfois elles sont divorcées avec souvent un ou deux enfants en charge. À chaque fois que l’ombre d’un client plane sur l’entrée de la discothèque, elles se retournent toutes vers cette unique direction pour dévisager, grand sourire aux lèvres, cet acheteur potentiel de la chair fraîche en quête d’une aventure sexuelle bon marché. Il est à peine minuit et le commerce sexuel à Marrakech, l’une des dernières destinations à la mode chez les amateurs du sexe, a déjà commencé. À l’entrée du cabaret, les quelques videurs en faction, s’affairent à scruter la physionomie des clients de la soirée ainsi que les filles qui y débarquent en masse. Pas question de laisser entrer n’importe qui. Le tri est conditionné par quelques critères très subjectifs par rapport à ces jeunes fillettes, qui exercent ce fameux plus vieux métier du monde, que seuls les maîtres des lieux maîtrisent. Toutefois, nous dit-on officieusement, le cabaret impose une sorte de rémunération ou pourcentage à chacune d’entre elles si elle arrive à faire tomber un client. Surtout si c’est un touriste qui paie bien et de surcroît en devises. Bienvenue dans le monde de la nuit et de l’industrie du sexe dans la ville ocre, la destination favorite des fous du sexe sans frontières. Un monde sans tabous, sans interdits, et où tout se négocie au gré à gré, tout au long de la soirée. Hôtel, maison, voiture, ou même dans la nature, chaque lieu est tarifié à l’unanimité et permet aux prostituées d’identifier d’abord le client et ensuite d’avoir une sorte de visibilité quant à ses moyens financiers qu’il peut mobiliser pour le reste de la soirée. Peut importe son apparence, le client est jugé par rapport à ce qu’il est en mesure de payer pour ses fantasmes les plus délirants. En atteste, si besoin est, les photos prises à Agadir par le journaliste pornographe belge (scènes d’urine, d’éjaculation, sado-maso…), Philippe Servaty, qui a été derrière l’éclatement du scandale d’Agadir où 14 fillettes ont été emprisonnées et condamnées sévèrement pour débauche au courant de l’année 2005. Finalement, c’est tout un package inclu implicitement dans l’offre des agences de voyage étrangères, offert aux touristes de tout genre qui choisissent la destination Marrakech où tout se vend et rien ne se refuse.
La loi du plaisir et du besoin En échange d'une aide matérielle très précieuse, les prostituées peuvent aller jusqu’à servir à l'étranger d'accompagnatrices, de guides et de concubines pour toute la durée de son séjour au Maroc. Elles peuvent même le présenter à d’autres filles prostituées ( moyennant des commissions substantielles ), lui indiquer d’autres endroits de débauche et les milieux infranchissables de la drogue. À tout seigneur, tout honneur. Sauf que dans ce cas d’espèce, il s’agit du sale pouvoir de l’argent face à cette misère noire des familles qui proposent leur progéniture à des milieux proxénètes bien installés et bénéficiant d’appuis solides. Que le commerce sexuel soit concentré dans certaines boites de nuit et autres cabarets à Marrakech, comme dans n’importe quelle autre ville touristique au Maroc, cela tend de plus en plus à le banaliser, ce qui ne laisse aux autorités aucun pouvoir d’intervention ou de réaction pour lutter efficacement contre ce fléau. C’est un commerce qui débute discrètement tard la nuit et se termine quelques heures après avant même que les responsables sécuritaires ne rejoignent leur lieu de travail. Et c’est aussi une activité qui a ses propres noms de codes, ses propres moyens aussi bien logistiques qu’humains, ses propres réseaux impénétrables, ses rouages, ses protecteurs et ses ténébreux sous-sols… Bref, un monde à part bien organisé et entouré de secrets et de confidences bien gardées. En remontant les quelques filières nocturnes, on s’aperçoit de l’existence d’autres activités illicites, d’autres formes d’exploitation de la chair humaine, et une autre industrie des loisirs sexuels prospère, notamment celle des films pornographiques tournées en plein centre ville dans des appartements et des villas louées discrètement pour la circonstance. Il suffit de consulter Internet ( plusieurs sites relatent les lieux du tournage des films et des prises de photos pornographiques ) ou même d’acheter des CD, qui circulent sous le manteau au Maroc, pour se rendre compte que plusieurs producteurs ou réalisateurs, professionnels ou amateurs, optent de plus en plus pour la destination Maroc, pour le tournage des films X. Ils débarquent dans le pays en groupe, ils sont discrets, bien accueillis comme n’importe quels touristes ordinaires ( M. tout le monde ) caméras sophistiquées et outils de tournage à la main sans attirer l’attention des autorités policières et douanières dans les aéroports du pays qui leur ouvre ( concurrence touristique oblige ) ouvertement les portes. Ce sont en général des voyageurs lambdas qui sont accueillis dès leur arrivée au Maroc par des intermédiaires qui leur ont déjà préparé le terrain, décors, actrices marocaines et appartements bon marché préalablement identifiés.
apres l'histoire de zoophilie qui a eu lieu, on s'etonne plus de rien, Allahi sterr esperont que la repression sera encore plus efficace qu'aujourd'hui.
il n'est pas question que la capitale des almohades devienne un centre nevralgique de l'industrie de la pornographie et de la prostitution
A quand une gay pride a Marrakech, a quand un musée du X, a quand un realisateur porno marocain.
Ca devient vraiment pourri, et apres on vient dire que c'est un pays musulmans, autant faire de ce pays un etat laique, puisque ce pays n'a rien de laique, et combien de temps va il exister s'il suit cette voie?
Ce journal est un véritable torchon et ce qu'il rapporte n'est pas de l'information, mais une sorte de "sensationnalisme" très mal écrit et décrit. J'ai relevé plusieurs incohérences dans le texte, exemple:
"Que le commerce sexuel soit concentré dans certaines boites de nuit et autres cabarets à Marrakech, comme dans n’importe quelle autre ville touristique au Maroc, cela tend de plus en plus à le banaliser, ce qui ne laisse aux autorités aucun pouvoir d’intervention ou de réaction pour lutter efficacement contre ce fléau."
Nous sommes là devant deux phrases qui ne veulent rien dire. Si le commerce est concentré dans des lieux connus de tous, cela simplifie d'autant plus le travail de la police quant à un contrôle permanent et une éventuelle intervention. Le pseudo-journaliste nous dit juste le contraire...
Je me pose des questions sur les individus qui postent ici tous ces sujets dignes des bouches d'égoûts. Quelle est votre motivation? Tout comme le FN ressasse l'invasion des immigrés en France, vous voulez nous matraquer d'images d'un Maroc apocalyptique... Seriez-vous liberticide? Je soupçonne que vous ne souhaitez qu'une chose qu'on enferme toutes les femmes, pour que vous puissiez déambuler seuls dans les rues du Maroc, entre mâles dominants déguisés en afghans... Mais on connaît cette chanson...
Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/09/05 20:43 par Bobobabil.
trop de liberté tue la liberté, il est donc necessaire de mettre des limites a cette liberté quand le peuple n'est pas capable de s'auto reguler. Par ailleurs pour ce qui est de cette prostitution, je peux te dire qu'elle existe vraiment et non pas uniquement dans Marrakech ou dans les autre grandes ville touristique mais meme dans les moyenne voire petite, l'année derniere dans le coin ou j'habite pres de Beni Mellal, des MRE men talienne, on loué un café, et on organisé une partouze avec des prostitué, et ca c'est un client qui me l'a dit, car il avait trouvé le café qu'il frequentait, fermé. Autre chose j'ai remarqué dans ces ville dites moyene comme a khouribga des europeen d'age mure (45/55 ans) se promener avec des jeunes filles (apperemment des locales) de 18/25 ans, a votre avis quelle en est la raison?
Le probleme de la prostituion ainsi que de l'exploitation sexuelle des femmes marocaines, et ça c'est a condamner et à combattre
Bobobabil a écrit: ------------------------------------------------------- > Ce journal est véritable torchon et ce qu'il > rapporte n'est pas de l'information, mais une > sorte de "sensationnalisme" très mal écrit et > décrit. J'ai relevé plusieurs incohérences dans le > texte, exemple: > > "Que le commerce sexuel soit concentré dans > certaines boites de nuit et autres cabarets à > Marrakech, comme dans n’importe quelle autre ville > touristique au Maroc, cela tend de plus en plus à > le banaliser, ce qui ne laisse aux autorités aucun > pouvoir d’intervention ou de réaction pour lutter > efficacement contre ce fléau." > > Nous sommes là devant deux phrases qui ne veulent > rien dire. Si le commerce est concentré dans des > lieux connus de tous, cela simplifie d'autant plus > le travail de la police quant à un contrôle > permanent et une éventuelle intervention. Le > pseudo-journaliste nous dit juste le contraire... > > Je me pose des questions sur les individus qui > postent ici tous ces sujets dignes des bouches > d'égoûts. Quelle est votre motivation? Tout comme > le FN ressasse l'invasion des immigrés en France, > vous voulez nous matraquer d'images d'un Maroc > apocalyptique... Seriez-vous liberticide? Je > soupçonne que vous ne souhaitez qu'une chose qu'on > enferme toutes les femmes, pour que vous puissiez > déambuler seuls dans les rues du Maroc, entre > mâles dominants déguisés en afghans... Mais on > connaît cette chanson...
le probleme du maroc c pas les journalistes amateurs et c pas une question de talibanisation non plus il s'agit de l'ampleur qu'a pris la prostitution et surtout sa banalisation il faut se rendre a l'evidence ce qui se passe chez est tres grave il ne s'agit plus de la prostitution pour subvenir aux besoins de sa famille mais c une prostitution generalisée pour s'enrichir ou pour s'habiller ds les magasins ultra chic , y a plus dignité est quel exemple pour les jeunes qui bcp seraient tentés de suivre l'exemple de leurs ainees sans parler des destructuratins sociales ou familiales il faut que les pouvoirs publics fassent quelque chose pour sauver ses filles qui sont les premieres victimes et surtout les gnerations qui suivent futures victimes
Vador a écrit: ------------------------------------------------------- Salam
Je tiens à proteste vigioureusement contre ce torchon... qui salit plus qu'il ne dénonce souvent sans preuves ni témoignages... Tout en restant dans le flou total l'auteur nous livre sa vision des choses en s'appuyant sur la psychologie du lecteur qui est de lui faire confiance dans ses investigations faute de voir de ses propres yeux. Les journaux comme celui-ci semblent avoir trouver le moyen d'augmenter leurs tirages en ne parlant que de protitutions. Il est vrai que c'est un thème qui est le mérite qu'on s'y intéresse plus plusieurs raison : le fait que c'est univers clos, et dont cela attire la curiosité du lecteur, qu'on parle implicitement de sexe qui est une chose tabou dans la société marocaine, et que surtout il s'agissent "soit disant" de femmes marocaines, alors que ça peut-être des actrices étrangères (la recette d'un film x bien réussi demande des actrices bien connu. sinon on tombe dans l'amateurisme et cela enlève le "côté professionnel" de la chose), cela peut-être des filles venus d'Algérie (y a en beaucoup au Maroc), au d'autres pays... Le journaliste joue donc sur les fantasmes et amplifient son discours en jouant sur l'imagé complété par les choses réelles déjà connues comme l'affaire Savaty, les affaires de Marrakech. Le lecteur ne peut alors qu'être mieux tromper vu que son esprit agit alors par analogie... S'il y a eu Savaty et co. alors l'industrie du X, ça ne peut être que vrai... car c'est une continué croissante de la dégradation de l'image du pays et de ses filles....
Là, je vais faire un exercice critique de ce que je dis... au décomposant l'article ... bon c'est parti
> L’industrie du film X au Maroc > > > Abdelhak Najib et Youssef Chmirou > 05 2005 > > > Plusieurs destinations au Maroc ont été touchées > par l’industrie du sexe. Tournage en bonne et due > forme ou films amateur en catimini, de Marrakech à > Agadir en passant par Tanger ou encore Essaouira, > la pornographie fait recette. Les industriels du X > se servent des décors marocains pour des séances > photo, des films roses (softcore) et du X > (hardcore). Stars du porno et starlettes ont ainsi > visité quelques régions du Maroc. On peut > retrouver des photographies dans des maisons > marocaines, des ryads, dans le désert ou sur la > montagne.
Si on résume bien... on peut tourner un film x au maroc bientôt dans la rue sans que personne n'ait rien vu... D'autant que les propos reste evasifs quelques régions du Maroc... "Les industriels du X se servent des décors marocains pour des séances photo, des films roses", une façon de marquer le contraste entre beau (Maroc) et la laideur (industrie du x)... qui dans l'esprit veut dire : ils salissent la belle image du Maroc... Mais là, on leur fait confiance
> Elles se font appelées, Jihane, Warda, Hiba, > Faïrouz, et elles sont installées ce soir-là sur > une banquette bien située et visible à l’entrée > d’un cabaret réputé très chaud à Marrakech dans > l’espoir d’une rencontre qui bouleversera leur > vie. Certaines sont très jeunes, mineures et > célibataires, d’autres ont un mari et une famille. > Parfois elles sont divorcées avec souvent un ou > deux enfants en charge. À chaque fois que l’ombre > d’un client plane sur l’entrée de la discothèque, > elles se retournent toutes vers cette unique > direction pour dévisager, grand sourire aux > lèvres, cet acheteur potentiel de la chair fraîche > en quête d’une aventure sexuelle bon marché.
Là, encore une fois les journalistes mélangent habillement l'histoire d'Agadir et le fait qu'on sache que la prostitution existe au Maroc et que les prostituées sont trouvables souvent à proximité des lieux touristiques dont font partis les nights clubs... Il s'amusent à jouer même sur les mots "comme chère fraîche" qui suppose que les filles soient encore vierges... Ces faits sont courants et même trouvables dans les pays européens où l'on a les mêmes méthodes : entrée gratuite au "bitchs" (pardon même si c'est pas une généralité) qui vont poussé les hommes à dépenser le max d'argent...
> Il est à peine minuit et le commerce sexuel à > Marrakech, l’une des dernières destinations à la > mode chez les amateurs du sexe, a déjà commencé. À > l’entrée du cabaret, les quelques videurs en > faction, s’affairent à scruter la physionomie des > clients de la soirée ainsi que les filles qui y > débarquent en masse.
Là, il y a un bel effet de style. "Débarquer en masse" qui renvoie à des certaines retrouvailles avec les touristes pervers qui "débarquent" en masse de l'avion... En lisant ça alors, on a l'impression que c'est tout Marrakech qui se prostitue, cela étant amplifie par les catégories de personnes postulantes aux plus vieux "métier" du monde.....
>Pas question de laisser > entrer n’importe qui. Le tri est conditionné par > quelques critères très subjectifs par rapport à > ces jeunes fillettes, qui exercent ce fameux plus > vieux métier du monde, que seuls les maîtres des > lieux maîtrisent.
Là, encore les journalistes se contredisent plus il y a des mères de familles et adultes qui deviennent du coup des "fillettes", minuit passé l'effet baguette magique avant disparu...
> Toutefois, nous dit-on > officieusement, le cabaret impose une sorte de > rémunération ou pourcentage à chacune d’entre > elles si elle arrive à faire tomber un client.
Là on dit que tout le monde en profite en quelque sorte mais c'est les filettes qu'on pointe du doigt..
> Surtout si c’est un touriste qui paie bien et de > surcroît en devises. Bienvenue dans le monde de la > nuit et de l’industrie du sexe dans la ville ocre, > la destination favorite des "fous du sexe sans > frontières".
La dernière expression est très habille et vous rappelle celle-ci "les fous de dieu", mais là "c'est "les fous du diable" sans frontières = sans morale = tout est permis=sans peur d'être arrêté...
> Finalement, > c’est tout un package inclu implicitement dans > l’offre des agences de voyage étrangères, offert > aux touristes de tout genre qui choisissent la > destination Marrakech où tout se vend et rien ne > se refuse.
Là encore les "journalistes" jouent sur les images qui nous renvoie à ce qui se fait dans les pays d'Asie ou à Cuba pour ce qui ont lu l'article sur les enfants sharaouis...
> La loi du plaisir et du besoin
> En échange d'une aide matérielle très précieuse, > les prostituées peuvent aller jusqu’à servir à > l'étranger d'accompagnatrices, de guides et de > concubines pour toute la durée de son séjour au > Maroc. Elles peuvent même le présenter à d’autres > filles prostituées ( moyennant des commissions > substantielles ), lui indiquer d’autres endroits > de débauche et les milieux infranchissables de la > drogue. À tout seigneur, tout honneur. Sauf que > dans ce cas d’espèce, il s’agit du sale pouvoir de > l’argent face à cette misère noire des familles > qui proposent leur progéniture à des milieux > proxénètes bien installés et bénéficiant d’appuis > solides.
Là, aussi on continue sur ce qu'on sait de l'Asie... Et encore là, aucun témoignage de réel... On peut leur faire confiance, vu qu'ils ont suivi ça de près en tant d'investigateurs... et non en reliant ce qui s'écrit ici et là... Ils jouent encore sur l'imaginaire des gens... sachant comme vous que cela est fort plausible, vrai mais si ça l'est pas... et revoie à un article sur une prostituée conduit par un taximan qu'elle remercie pour ses services en l'emmenant voir des amies à elles...
> Que le commerce sexuel soit concentré dans > certaines boites de nuit et autres cabarets à > Marrakech, comme dans n’importe quelle autre ville > touristique au Maroc, cela tend de plus en plus à > le banaliser, ce qui ne laisse aux autorités aucun > pouvoir d’intervention ou de réaction pour lutter > efficacement contre ce fléau. C’est un commerce > qui débute discrètement tard la nuit et se termine > quelques heures après avant même que les > responsables sécuritaires ne rejoignent leur lieu > de travail.
C'est faux puisqu'il existe des polices de nuits récemment mises en places et qui font des rondes toute la nuit dans les grandes villes comme Rabat... Encore là, il joue sur la sémantique... si on résume ces faits sont concentrés pas pas concentrés car c'est "tout le Maroc qui est touché"... Oui, la prostitution existe de partout et cela bien avant les cabarets et autres boites... Pour ce qui est des interventions ils omettent juste de citer les descentes de polices dans des hôtels et autres boites à l'improvistes... mais chut sinon ça casserait tout... Attendez la partie la plus intéressante est celle qui suit...
> Et c’est aussi une activité qui a ses > propres noms de "codes", ses "propres moyens" aussi > bien logistiques qu’humains, ses propres réseaux > "impénétrables", ses "rouages, ses "protecteurs" et ses > "ténébreux sous-sols"… Bref, "un monde à part bien > organisé et entouré de "secrets" et de "confidences" > bien "gardées". En remontant les quelques filières > "nocturnes", on s’aperçoit de l’existence d’autres > activités "illicites", d’autres formes > d’exploitation de la chair humaine, et une autre > industrie des loisirs sexuels prospère, notamment > celle des films pornographiques tournées en plein > centre ville dans des appartements et des villas > louées discrètement pour la circonstance.
Là, regardez, j'ai mis entre guillemets des mots... si on lit bien ce passage, on le dirait plus tirer d'un roman que d'un travail journalistique... Les journalistes jouent sur la sémantique encore... et se contredisent... Car comment peut-on dire que le fléau grandit, se banaliser, quand on sait peut de choses sur ce milieu secret... et impénétrables... donc les chiffres sont toujours faussés... encore une fois il jouent donc sur la crédulité du lecteur...
> Il suffit de consulter Internet ( plusieurs sites > relatent les lieux du tournage des films et des > prises de photos pornographiques ) ou même > d’acheter des CD, qui circulent sous le manteau au > Maroc, pour se rendre compte que plusieurs > producteurs ou réalisateurs, professionnels ou > amateurs, optent de plus en plus pour la > destination Maroc, pour le tournage des films X.
Encore là, ça reste évasif et font encore une fois appel àl'imaginaire du déjà connu du lecteur... qui va faire référence au fameux cd avec les photos des victimes du Belge... et le fait de citer Internet ne prouvent rien... puisqu'un bon mulsuman ne peut pas s'aventurer sur ce genre de site (à part par accident comme notre ami Slymann qui voulait se faire des amis beurs et beurettes)... donc il ne peut constater par lui même et fait confiance aux "journalistes"
> Ils débarquent dans le pays en groupe, ils sont > discrets, bien accueillis comme n’importe quels > touristes ordinaires ( M. tout le monde ) caméras > sophistiquées et outils de tournage à la main sans > attirer l’attention des autorités policières et > douanières dans les aéroports du pays qui leur > ouvre ( concurrence touristique oblige ) > ouvertement les portes. Ce sont en général des > voyageurs lambdas qui sont accueillis dès leur > arrivée au Maroc par des intermédiaires qui leur > ont déjà préparé le terrain, décors, actrices > marocaines et appartements bon marché > préalablement identifiés.
En somme, tout le monde peut aller faire un film x sans que personne ne sache rien... alors que les services secrets et intérieur marocains sont réputés très fiables en termes d'infos... Oui, donner 50 dh à quelqu'un et il vous raconte toutes les histoires possible de la ville... car au Maroc... on passe pas par le téléphone mais de bouche à oreille et forçement y a toujours quelqu'un qui sait quelque chose... D'autant que comme le montrent d'autres "vrais" articles, les pervers en tout genre restent très discrets et changent souvent d'endroit pour pas se faire repérer et eveiller les soupçons vu qu'au Maroc on sait même ce que le voisin a mis dans sa gamaille pour le soir même...
Voilà, mon analyse des faits...
Honte à ces deux faux journalistes qui me rappellent ceux de TF1 qui amplifient les choses ou de ces deux journalistes de France à une époque qui avait monté une reportage bidon sur un traffic d'armes dans les cités en équipant des jeunes d'armes en plastiques et en leur faisant dire ceux qu'ils voulaient entendre... comme ces deux jounalistes qui veulent que vous lisez ce qu'ils n'ont pas vu mais qu'ils imaginent comme vous et moi...
serieux , je ne suis daccord avec toi sur aucun de ces points et je trouve ton analyse et tes remarque un peu tiré par les cheveux .
mais je te salue quand meme d'avoir pris le temps de lire cet article et de l'analyser par tous les angles et de nous avoir fait partager ton point de vue.
il faut etre clair. au fait une fille qui perd sa verginité avec un marocain du bled na plus rien a perdre et na plus peur de coucher avec quelq'un d'autre qu'il soit marocain ou etranger. la faute a qui ? pas seulement au prostitué! naaa. n'oublions pas qu'elles ont commencé a le faire en 1er avec des gens du pays. donc dans notre société la prostitution est devenue banale mais qui reste souteraine jusqu'a il ya pas longtemps. une prostitué de ma commune au bled bien connu de tous avait ces clients . elle se deplacait la nuit vers la maison de son amant d'un soir pour ses cochonneries sans qu'elle soit deranger!!! de plus je la trouvais tres belle femme.. mais son metier me degouter. le plus bizzare est qu'elle continue au su de sa mere son pere et ses 2 fils et de sa fille unique!!!
moi je dis qu'il n'ya pas d'excuse pour nous (garçon comme fille). on se laisse aller. on pourri ce qui est autour de nous croyons qu'il ne va pas nous toucher. au bled je vois des gars de 14-21 ans pour ma generation qui se soulent, touchent au shiit et ne reve que de prendre des filles faciles et de l'autre coté vous avez des filles qui veulent resté a la mode qui se jalouse pour du torchon a 2 balles et pour ça elles n'esitent pas a se faire prostitué pour attiendre leur but!! un cas grave que j'ai vu!! une maman traine avec sa fille a peine 17 ans pour la faire prostitué pour gagner de quoi subvenir a leur besoin!
bref on ai trop tolerant au bled!! je dirais meme plus trop tolerant. des P**** sont passés a coté de moi !!! mais qu'on je voyais que l'une d'elle passait avec sa mere que dire de plus que ALLAH ISTER..
Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/09/05 22:19 par biggie.
Donatello a écrit: ------------------------------------------------------- > Salam, > > > Je suis d'accord avec toi Biggie, c'est le fait > d'accepter la prostitution, comme une chose > ordinaire qui fait qu'elle prend de l'ampleur. > > > > Edité 1 fois. Dernière modification > le 01-09-05 17h19.
et si tu essaye de raisonner une prostituée on te dira tu portes atteinte a la liberté des femmes. on te fera passer pour extremiste et tous les mots en istes. la moudouwana veille.
biggie a écrit: ------------------------------------------------------- > Donatello a écrit: > --------------------------------------------------
> > et si tu essaye de raisonner une prostituée on te > dira tu portes atteinte a la liberté des femmes. > on te fera passer pour extremiste et tous les mots > en istes. > la moudouwana veille.
Salam,
Alors là, c'est en taule direct, un cousin au bled m'a raconté que dans un quartier je sais plus dans quel ville, il y a avait une jeune fille jolie et qui s'habiller leger, un jour, un jeune de son quartier voulant faire une bonne action lui a conseillé de preserver cette beaute puisque la rue n'est plus sure (intimmidation, viol...), la reaction de la fille etait d'aller chez les flics pour se plaindre, resultat la police a debarqué chez le jeune homme et à pris 2 ans ferme.
resultat des course vaut mieux faire oeil plastique ( 3ain mika) et s'occuper de ses oignons, et c'est bien pour ça que ce phenomene prend de l'ampleur
Vador a écrit: ------------------------------------------------------- > Moh tsu > > serieux , je ne suis daccord avec toi sur aucun de > ces points et je trouve ton analyse et tes > remarque un peu tiré par les cheveux . > > mais je te salue quand meme d'avoir pris le temps > de lire cet article et de l'analyser par tous les > angles et de nous avoir fait partager ton point de > vue.
Salam
Libre à toi de lire ou voir ce que tu veux voir... moi j'expose mon point de vue... J'aimerais juste que les gens se méfie des médias simplement... car aujourd'hui, certaines les lisent comme ils liraient le Coran... Faut garder un esprit critique... c'est comme si je te citais Voici et te disais que c'est 100% sûr... Tu vas pas pas me dire que tu crois à ce que racontes ces deux mecs... Il peut y avoir des choses qu'ils racontes... mais là c'est mulplié par 20... allons... c'est comme le gars qui nous rapporte que dans "journal" Telquel on parle de l'ouverture d'un sex shop à Marrakech... ben ça attire les foules ce genre de truc en disant comment c'est possible... même si c'est pas vrai et en se disant encore une fois mais que font les pouvoirs publics...
Là, je peux t'assurer pour cet article, je suis près à parier mon honneur, que les journalistes n'ont pas mener d'enquête mais on monté ce truc pour faire du tirage vu la façon dont c'est écrit et les grands flous généraux un peu à la TF1 qui parlerait d'insécurité... à tout va... et qui film une opération de police dans un quartier entier pour 1 joint, et un couteau et parle d'arsenal dans l'édition de 20H alors qu'on minimise l'opération sur la 2 ou 3...
Faut être réaliste, un journaliste est là pour faire du sensationnel et faire rentrer de l'argent dans les caisses qui le font vivre... alors quitte à un peu déformer la réalité autant pousser parce qu'il sait que c'est une recette qui marche... Je l'ai montré au travers du vocabulaire qu'ils utilisent... alors qu'un "vrai reportage", une vrai enquête donne des indices précises avec des mots précis...
a ceux qui trouve ça normal, que diraient ils si leur soeur leur filles ou leur mere se faisait quelque hommes en fin de soirée pour ramasser qq centaine de dh?
il est vraiment curieux comment certains se battent a occulter une realite crade et degoutante de notre pays a croire qu'ils ont quelque chose a gagner ou bien par simple chauvinisme maladroit. J'etais au maroc ces 2 annees passees et je peux vous assurer que ce que j'ai vu depasse de tres loins ce que ces deux journalistes decrivent.Il n'y a aucun doute que la prostiotution a gagne des pants entiers de la societe (femmes et hommes), la chose s'est banalisee et tend a devenir la norme. Le tourisme sexuel n'est plus limite aux villes touristiques traditinnelles mais il est partout. Pensons a ces jeunes qui fouent en l'air leur vie pour quelques malheurteux dirhams, ils sont transformes en esclaves sexuels au vu et au su de tout le monde, le gouvernement, l'etat et la population. maintenant que les hordes francaises de la pornographie et de la pedophilie ont trouve un boulevard en l'absence de toute reaction pour pratiquer leur sport, nous nous pouvons que nous inquieter surtout que tous les jeunes veulent quitter le pays. Je pense qu'une resistance citoyenne doit s'organiser pour opposer ce mal qui finira par faire exploser notre societe. Curieusement on entend rien des partis politiques ni des ONG .
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