Non, surtout ne te décourage pas ! D'autant plus que le Kotava est, phénomène très original à ma connaissance, trsè largement pratiqué par des femmes. D'ailleurs son créateur, Staren Fetcey est elle-même une femme. Et les meilleurs "kotavusik", sont actuellement des femmes (je pense notamment à plusieurs de Polynésie, du Sénégal, Luxembourg, Canada).Citation
aicha a écrit:
salam La Boetie tu me décourage moi qui voulait m'y mettre
Il n’y a pas de mutation de consonnes. Simplement, lorsque un mot se termine par un –a (la finale la plus courante) et qu’un suffixe débute par une consonne, alors le –a tombe pour éviter le hiatus.Citation
La Boetie a écrit:
c'est déjà compliqué dans le Kotava, je voi aussi des mutation de racine, la terre est mise en exemple :
racine "tawa" cela devient tawaxo pur le champs , bon là ok pas de probléme
mais cela devient tawopa (agronomie)
si c'est pour simplifier, je ne comprends pas bien pourquoi il y a de telles mutation de voyelles
Cela demanderait une explication un peu longue. Les conjonctions de liaison simples (is, ok, ik, etc.) lient deux mots ensemble (ex. okol is vakol estud = le cheval et l’âne mangent), tandis que leurs formes en –e (ise, oke, ike, etc.) lient deux propositions (ex. okol estur ise astol ker = le cheval mange et l’âne attend). Cela évite toute confusion. Quant aux formes en –u (isu, oku, iku, etc.), elles servent à éviter des répétitions d’adjectifs (ex. arpidaf okol isu astol ked = le cheval rétif et l’âne rétif attendent ; l’adjectif arpidaf n’est pas répété, mais la forme isu indique qu’il s’applique aussi à l’âne).Citation
La Boetie a écrit:
La conjonction de liaison comporte trois façon d'etre dite ou ecrite ?
Non, simplement :Citation
La Boetie a écrit:
la conjugaison est lourde