Maintenant que vous avez les bases du fonctionnement d’un radar, (car vous avez lu toute la brochure dans le pdf en haut..n’est ce pas ?) sachez qu’il existe plusieurs radars (Bades)
Les radars à visée directe
Un radar se définit par sa fréquence d'émission ou plus exactement la bande passante de cette fréquence. De façon très simplifiée, le faisceau d'un radar peut être comparé à un faisceau d'une lampe torche. Plus le radar émet dans une bande de fréquence faible, plus son faisceau aura un champ diffus. Plus il émet dans une bande haute, plus son faisceau est focalisé et permet une vision précise des objets observés, mais dans un champ très étroit. Pour les radars concernés par la DAMB, il existe trois sortes de radars : - les radars de bande L,
qui couvrent un large champ, mais de façon imprécise (ce qui peut être amélioré en focalisant la puissance de l'antenne sur le point observé, mais au détriment de l'observation du reste du champ) ; ils servent principalement à la détection.
- les radars de bande X sont, à l'opposé des précédents, des radars de conduite de tir. Ils sont très précis mais ont besoin qu'un autre instrument leur définisse la zone précise de l'espace dans lequel chercher ; les Etats-Unis possèdent un radar en bande X déployé sur une plateforme maritime : le Sea-Based X band radar qui permet de guider les intercepteurs GBI. Ils possèdent aussi l'AN-TPY-2 qui est le radar d'alerte, de poursuite et de contrôle de tir du système d'interception THAAD et le GMDR déployé dans une île du Pacifique (équivalent du SBX mais à terre).
- les radars de bande S qui sont intermédiaires entre les deux et ont une certaine polyvalence. Un radar à visée directe est potentiellement capable de suivre un missile durant toute sa trajectoire. Sa capacité de détection est limitée par : - sa portée et donc sa puissance - par la rotondité de la Terre et donc l'emplacement où il se trouve.
Pour détecter le missile au plus tôt, le radar doit être implanté à proximité des zones de lancement et la faisabilité d'une telle implantation dépend de nombreux paramètres, notamment techniques, diplomatiques et militaires.
Il convient de noter que certaines trajectoires de missiles peuvent passer hors de portée de la nappe de veille du radar. On dit alors que le radar est lobé.
En réalité on lobe un radar en passant au dessus de sa bulle de détection, c'est-à-dire notamment grâce à des trajectoires plongeantes dont l'apogée est supérieure à la portée instrumentée du radar. Lorsque l'on passe sous la nappe de veille, on le fait avec des trajectoires tendues avec une apogée faible.
Le theatre ukrainien est un labo a ciel ouvert en réalité. De nombreux fabricants de missiles et de defenses antiaériennes ont testés leurs produits en moder réelles.
Il s’est révélé que pour par exemple un système PAC PATRIOT américain,pour arrêter un seul missiles russes il fallait mui envoyer dessus au moins 5 missiles. Et parfois souvent même,il ne parvenait tt simplement pas à intercepter.
Le S400 russe pareil. Celui là même qu’on ventait étant le meilleur au monde,ben il a rien fait pour stopper certains missiles qui on fait tres mal a des installations russes.
Le SAMPT franco italien lui par contre qui était un outsider,s’est révélé comme étant le meilleur sur le terrain. A tel point que les autres nations qui suivent les évolutions sur le terrain s’apprêtent à passer commande de ce système au detriment du pac patriot américain (Pays bas,turquie,indonesie..)
En conclusion,aucun système ne permet réellement une étanchéité du ciel,çà c’est uniquement dans les films.