Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Fikra #51 : Le salafisme, une réappropriation individuelle de la...
a
10 mai 2020 19:17
Assalamou 3aleykoum déjà il faut appelé les gens par leur nom : c'est pas des salafiste qui est à connotation négative ( suffixe -iste qui vient du mot terroriste) mais des salafis.
Qu'est ce qu'un salafi, c'est une personne qui suis les Salaf, avec le suffixe ي pour l'appartenance ( par exple on dit maghrébi qui vient du maghreb).
Maintenant qui sont les Salafs : ce sont les compagnons du prophète ( paix et salut sur lui ) et les trois génération qu'à élogié le prophète ( paix et bénédiction sur lui )

عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بن مسعود رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُ، عَنِ النَّبِيِّ صَلَّى اللهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ: ( خَيْرُ النَّاسِ قَرْنِي، ثُمَّ الَّذِينَ يَلُونَهُمْ، ثُمَّ الَّذِينَ يَلُونَهُمْ، ثُمَّ يَجِيءُ أَقْوَامٌ تَسْبِقُ شَهَادَةُ أَحَدِهِمْ يَمِينَهُ، وَيَمِينُهُ شَهَادَتَهُ ) .

Ensuite, dans l'article il est dit que certains passe par le salafisme d'engagement au salafisme d'action par le biais de groupe armés. Ceci est totalement faux car les salafis sont les 1er à dénoncer les takfiri/khariji, ils les combattent de manière intellectuelle par des répliques écrites et par dénonciation aux autorités.
Ce qui est vrai c'est que certaines personnes qui cherchent à s'impliquer dans la religion commencent par la voix des Salafs mais très vite ils devillent dans le groupe des takfiris.

Je comprends que des journalistes occidentaux fassent l'amalgame entre le musulmans qui essayent de se rapprocher de son Seigneur en appliquant le maximum de la religion sans outrepassé celle-ci et les tarés de takfiris qui rende mécréants les musulmans et encore pire le gouverneur musulmans. Mais le problème c'est quand dans un pays musulmans avec un journal musulmans par des journalistes musulmans fassent l'amalgame.

Donc si vous voulez faire la différence entre un salafi et un takfiri ils suffit de lui parler du roi si il fait son éloge c'est un salafi sur la bonne voie et si il le critique c'est un takfiri.

Et le pire dans tous ça c'est que de manière général qui n'est pas salafi est forcément un khariji, car le groupe des salafis est le seul à défendre le gouverneur.
A bon entendeur salut.
Assalamou 3aleykoum

F
10 mai 2020 19:29
Alykoum selem

Les articles venants de ce site sont très très loins d'etre objectifs ou fiables...
10 mai 2020 20:11
As salamu alaykoum, les takfiris rendent tout le monde koufards, volent, trafiquent, mentent.
y
11 mai 2020 19:18
Article très intéressant.

Merci de l'avoir publié.

Ce passage est éclairant :

«Dans une première phase, cet engagement est lié à des accidents biographiques que l’on retrouve dans la majeure partie des trajectoires d’évolution de la religiosité : un échec personnel, un décès marquant, une séparation, un éloignement difficile à vivre, un divorce, etc. Il s’agit d’un échec qui neutralise l’individu et qui réactive le sens commun de la religion», indique le chercheur. Vient alors une deuxième phase d’évolution, qui trace la trajectoire vers le salafisme et qui est «considérée par ses adeptes comme le sommet de l’engagement religieux».


Il existe cela dit deux types de salafisme que Mohamed Outahar différencie, dans sa contribution. Celui d’adeptes «autonomes à priori» et d’autres «autonomes à posteriori». Ainsi, les premiers ont vécu dans une certaines autonomie avant leur engagement religieux, ce dernier s’étant greffé à leur mode de vie pour leur permettre de «mieux s’affirmer en tant que personne au sein de la société».

«Le deuxième groupe a pu acquérir son autonomie et son indépendance par le biais du salafisme, qui revêt ainsi un double aspect : c’est à la fois une revendication et une expression de l’autonomie»


Fin de citation.

C'est exactement ce que l'on peut constater...
C'est une façon de s'affirmer dans la société, d'être reconnu.E, respecté.E pour des jeunes et des femmes...
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook