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Sabrina_marooc a écrit:
Ennuyant non ?
Plus de surprise, plus d’apprentissage.
Vu et revu. Tout est connu.
Je suis pour le changement de métier tous les 10 ans lol
Ce sera sûrement le cas avec la génération Z lol
Cela permet de maintenir un minimum d’intérêt
Être prof, boulanger, restaurateur, programmeur, assistante maternelle etc 40 ans c’est pas stimulant non en tout cas c’est aussi ce que j’ai constaté auprès de professionnels
Vive la mobilité professionnelle !
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sassy. a écrit:
Très ennuyant, oui. C'est bien pour ça que j'ai entamé une reconversion professionnelle il y a trois ans. Découvrir un nouveau métier, un nouveau domaine d'activité, une nouvelle façon de travailler, c'est plutôt enrichissant je trouve.
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Mr.Kai a écrit:
Dans une époque où le CDI devient de plus en plus difficile vouloir changer de métier régulièrement c'est un "problème de riche" je trouve
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Hikma’ a écrit:
Sauf que les 3/4 des gens font un métier pour manger...
L’épanouissement est un leurre et peu de personne le connaisse réellement...
Si déjà tu as juste un boulot pendant 40 ans, et bien El’ hamdoulilah
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Temporelle* a écrit:
Je me suis " recyclée " trois fois professionnellement.
Maintenant j'aimerais aller au désert creuser des trous pour trouver de l'eau hihihi.
Je ne veux plus travaille avec des contacts humains ??
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L'endurant a écrit:
Salam travaille et te casse pas la tête
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Sabrina_marooc a écrit:
C’est radical non ?
On a quand même le choix de choisir nos voies maintenant nan ?
Du coup il faudrait chercher l’épanouissement hors travail ?
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Dystopia21 a écrit:
Je ne suis pas d'accord avec ce que tu dis.
Ca m'ennuierait pas de faire mon travail toute ma vie. Je l'aime bien.
De plus, un métier n'est pas forcément routinier.
Par ailleurs, ce que tu évoques est un problème de privilégié.
D'ailleurs, la plupart de ceux que l'on médiatise concernant la reconversion professionnelle, ce sont des cadres, des professions supérieures ou des professions intellectuelles qui se tournent vers des métiers plus manuels et de création ou plus en lien avec la nature car ils sont en recherche de sens dans leur travail et qu'ils développent une approche moins "capitaliste" des choses.
On verra jamais le parcours de Paulette, caissière avec 3 enfants dont l'époux travaille à la chaîne dans une entreprise d'emballage de pâte partir élever des chèvres dans le Périgord.
Donner un sens à son travail et y rechercher l'épanouissement, tout le monde ne peut pas se le permettre, beaucoup ont des jobs alimentaires ou ne peuvent pas quitter leur travail à cause de différentes contraintes surtout pour les personnes peu qualifiées ou peu rémunérées.
En dehors de ça, il y a peut-être des métiers où certes tu ne t'épanouis pas à la folie et où il y a pas une recherche de "sens" et "d'intérêt" mais il reste malgré tout indispensable et heureusement que certains sont là pour les effectuer parfois toute leur vie sans penser à si cela est bien intéressant. Comment ferait-on sans caissière, sans éboueur, agent de nettoyage, personnel dans l'industrie alimentaire, etc ?
La crise sanitaire l'a d'ailleurs bien démontré ...
Au-delà de ça, je trouve que l'on peut trouver du sens et donner du sens à n'importe quel travail que ce soit un business angel ou le livreur d'Uber.
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Spartacus. a écrit:
Pour moi aucun travail n'est bon. C'est une corvée, une obligation pour vivre.
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Sabrina_marooc a écrit:
Oui ce que tu dis là est vrai s’agissant des professions sous qualifiés mais rien n’empêche ces personnes de chercher l’évolution ou la reconversion
Nous sommes dans un pays exceptionnel en terme de formation et franchement les moyens sont multiples.
VAE, compte formation, cours du soir et j’en passe.
Je connais pas mal de personnes, des mamans sous qualifiées, qui sont parvenus à se reconvertir brillamment.
Pour les métiers dits sous qualifiés t’inquiètes l’intelligence artificielle se charge de les remplacer lol : caisses automatique par exemple lol
Après pour « les problèmes de riches » pour moi c’est pas parce que des personnes font un boulot dit ingrat ( qu’est ce qu’un métier ingrat d’ailleurs ) que les autres n’ont pas besoin de rechercher l’épanouissement professionnel.
C’est pas parce que dans certains pays on meurs de faim
( ) que l’on doit pas chercher à manger équilibré...
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Spartacus. a écrit:
Quand on est heureux dans son travail, c'est qu'on est vide a l'intérieur. L'être humain est une coquille vide, misérable, mauvais et il a besoin de se remplir d'un travail, d'une reconnaissance, d'argent, de sport ou autre activités pour se sentir important et exister.
Les animaux mangent, dorment, font des enfants...et c'est tout.
Un ours n'a pas besoin d'un travail ou de sauter a l'élastique pour être heureux.
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Dystopia21 a écrit:
Les choses sont plus complexes. On s'en rend pas compte mais la précarité (et la précarité en France pour moi ce n'est pas forcément mourir de faim) a d'autre impact que ceux purement économiques et liés au mode de vie. En quelque sorte la précarité n'engendre pas que des conséquences d'ordre financières, elle te bloque aussi dans tes aspirations et ta réflexion.
Par exemple, il y a toute une série d'études qui expliquent pourquoi les questions environnementales et liées aux enjeux climatiques intéressent et mobilisent plus une classe privilégiées et éduquées alors même que même pour les classes populaires des actions et des changements de mode de vie sont accessibles à leur niveau (comme moins de viande mais dans les faits, plus tu es pauvre, plus tu consommes de la viande).
Vraiment, je pense que les choses sont plus complexes que des formations existent pourtant donc ils peuvent y accéder.
Tu dois le savoir mais c'est plus les classes favorisées qui s'intéressent le plus à la culture. Pourtant en France, on a beaucoup de lieux de culture gratuit (exposition, certain musée, les bibliothèques) et en plus on a des accès à tarifs très réduits pour les plus pauvres ou même des accès gratuit pour eux. Pourtant, ça ne change rien au fait que ces lieux sont plus fréquentés par les classes privilégiés que populaires.
Aussi, l'accès ça ne suffit pas. Il y a aussi tout un travail à faire sur la façon de réfléchir, de raisonner, sur ta culture, etc en quelque sorte ce qui relève plus de facteurs "psychologiques".
Pour ton dernier paragraphe, je n'ai dit jamais écrit l'inverse.
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Sabrina_marooc a écrit:
Je suis à 300% d’accord avec toi.
Les études, les classes dites favorisées n’offrent pas seulement un confort financier. Non comme tu l’as dis des parents cadres par exemple pourront fournir de meilleurs outils à leurs enfants. Le goût pour la lecture, pour la science, pour la culture. Assurément les inégalités sont criantes de ce point de vue !
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Ghost* a écrit:
C’est fou comment à l’ecole on nous pousse à faire des études alors qu’en réalité les petits commerçants sont souvent tres à l’aise financièrement, en plus de faire un metier noble et d’être leur propre patron.
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RoseRayonnante a écrit:
Moi j'ai une rqth et plein de formation qualifiante ouvert.
J'hésite devenir fleuriste et me lancer dans l'entrepreneuriat. Ou faire un job normal technicien Pâtissière je ne peux pas le devenir avec ma santé le médecin a refusé