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Zouhrioujdi a écrit:
J'ai pas tout lu mais aller demander au femme seule qui on plus de 40 ans si elle sont épanouie sans mari et sans enfant
C'est du bourrage de crane cette connerie pour pousser les femme a l'esclavage de leur plein gré
la femme est faite pour procréer et non pour servir des maitres
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PartirUnJrSansRetour a écrit:
Salam alaykoum
J'ai pensé a vous en lisant et article
[www.ouest-france.fr]
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marocainesoso a écrit:
Aleycoum salem
Il y a des avantages et inconvénients à se marier c est sûr, surtout si on tombe pas sur la bonne personne mais bon se dire que les célibataires sont plus heureux , je dirais que ça depend des personnes..
Concernant le fait que les hommes ont tt intérêt à se marier mais pas les femmes, ben je suis plutôt d accord.. J ai l impression que pour les hommes ça change pas vraiment leur vie..
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PartirUnJrSansRetour a écrit:
Salam alaykoum
J'ai pensé a vous en lisant et article
[www.ouest-france.fr]
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Zouhrioujdi a écrit:
J'ai pas tout lu mais aller demander au femme seule qui on plus de 40 ans si elle sont épanouie sans mari et sans enfant
C'est du bourrage de crane cette connerie pour pousser les femme a l'esclavage de leur plein gré
la femme est faite pour procréer et non pour servir des maitres
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Anamnese a écrit:
Moi si j'arrive a 40 ans pas mariée pas d'enfants sachez que je le vivrai très très mal c'est une des pires épreuves que Dieu peut m'infliger
La perte des proches et de la santé c'est quand mm un level au dessus
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Antigone 2.0 a écrit:
J'ai survolé l'article, ça m'a fait sourire l'histoire du conte de fées.
Dans un livre de conte moderne, ça m'a interpellé parce qu'on a zapper les enfants dans la phrase finale. ça se résume à "ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours."
Sinon, concernant cette enquête, cela prouve qu'il y a vraiment une remise en question à faire quant au modèle familial. Parce qu'on ne va pas se mentir, pour les femmes assument boulot et enfants et qui se donnent à fond dans les deux, c'est vraiment lourd. On parle ici de charge mentale, et c'est vrai que la plupart des hommes, même de bonne volonté qui contribue au maintien du foyer, ne gèrent pas à proprement parler. Ils aident leur femme, mais dans sa tête, c'est elle qui gère tout.
Mais au final, parle t'on réellement de "bonheur" ou de confort de vie?
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stinky a écrit:
1- Est ce qu'il n'infantilise pas les femmes une fois de plus ( je pense à #metoo etc...)
2- heureuse? jusqu'à quel age? jusqu'à la prise de conscience d'être passé à côté de qq chose ( la femme a une horloge bio que l'homme n'a pas)
tu mets le doigt sur la vraie question: bonheur ou confort de vie?
peut on ressentir du vide en étant femme, boulot hyper intéressant, appartement, belle voiture, mecs différents en veux tu en voilà;;???
J'ai un début d'élément de réponse...
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Antigone 2.0 a écrit:
Je ne sais pas si on infantilise la femme, mais en tout cas, on atomise la société, c'est certain.
Personnellement, j'ai beaucoup de mal à croire qu'on puisse être heureuse en vivant seule.
Peut-être que c'est plus confortable, on a moins de travail, moins de tracas quotidiens, moins de charge mentale et émotionnelle (sauf si on enchaîne les relations ), moins de responsabilités, etc... oui, c'est confortable, c'est certain... mais est-ce qu'on peut se dire "heureux" pour autant? J'en doute, ce n'est pas ça qui fait le bonheur. Et je pense vraiment qu'à un moment donné, la solitude doit se faire sentir. Parce que les amis, les frères et soeurs, les collègues, etc... ne remplaceront jamais une cellule familiale.
Après, je veux pas généraliser non plus, il y a certainement des femmes qui sont plus heureuses comme ça, qui trouvent un sens à leur vie, peut-être dans la recherche, dans leur travail, dans l'associatif ou que sais-je... mais à mon avis, ça reste l'exception et un choix de vie.
On ne peut pas non plus remettre tout le sens de la vie d'une femme sur la maternité, c'est vraiment réducteur. Les femmes ont d'autres aspirations aussi, et bien plus à apporter à la société qu'être mère seulement.
Et certaines femmes ne sont pas faites pour être mère non plus... donc voilà,...
On peut ressentir du vide dans toutes les situations, je suis bien placée pour le savoir. On ressent le vide quand on n'est pas épanouie, quand il y a quelque chose qui manque, quand on est en perte de sens... et ça, que la vie soit remplie ou non, que l'on ait une famille ou non... tout au plus, remplir son temps à bloc permet de ne pas trop se regarder en face.
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stinky a écrit:
Je compare ces dames aux enfants qui sont nés avec une cueilliere d'argent dans la bouche.
Tu as des femmes ici qui te disent " j'ai privilégié ma carrière. Maintenant que j'ai tout ce que je voulais, j'aspire à fonder une famille" et là, elle s'aperçoive que ce n'est aussi simple que trouver un homme, c'est peut être même plus compliqué que monter tout le plan de carrière qu'elle a...
A l'inverse, la mère de famille galère, a du mal à trouver un équilibre fragile qui vole en éclat au moindre dysfonctionnement familial mais elle a vu construire ce cheminement et est même actrice principale de tout ça...
après tu es bien placé pour savoir les avantages et inconvénients des deux situations.
Laquelle est préférable, la moins traumatisante, qui au final te rendra plus heureuse?
je pense que tu as choisis...
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Antigone 2.0 a écrit:
J'ai jamais travaillé, donc je peux pas dire... je me suis mariée jeune et on a eu un enfant très vite, du coup, non je ne suis pas bien placée pour savoir ce qui le mieux.
Par contre, je sais qu'il y a des femmes qui préfèrent aller bosser que de rester à la maison à gérer le foyer, ayant fait les deux expériences. Moi je suis pas sure que j'aurais géré, je supporte mal la pression, mais je peux pas dire que je suis heureuse non plus... du coup, qu'est-ce qui cloche? Je sais pas
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stinky a écrit:
ce qui cloche, c'est qu'on est encore des enfants, on a besoin de se brûler avec la plaque du four pour être sûr qu'elle était chaude!!
Je croyais avoir compris que tu avais connu les 2 situations.
je pense que ta reflexion vient de là.
J'en ai croisé des femmes ( pas spécialement musulmane...) qui rêvait d'arrêter leur boulot et de s'occuper exclusivement de leurs familles...