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Diplôme de Rachida Dati : le «Canard enchaîné» sort le document
b
31 octobre 2007 21:21
Diplôme de Rachida Dati : le «Canard enchaîné» sort le document

Le curriculum vitae de la Garde des Sceaux indique pour l’année 1993 «MBA du groupe HEC» avec la mention «ancienne élève de l’Institut supérieur des affaires». Dati se défend d’avoir fait état d’un diplôme qu’elle n’avait pas pour intégrer l'Ecole nationale de la magistrature.
F.V.
LIBERATION.FR : mercredi 31 octobre 2007

«Elève Rachida, au piquet !» L’injonction est du Canard Enchaîné, qui publie aujourd’hui l’extrait du curriculum vitae qui figure au dossier administratif de Rachida Dati. Un CV qui indique, pour l’année 1993, «M.B.A. du groupe H.E.C.» avec la mention «ancienne élève de l’Institut supérieur des affaires». En réalité, comme L’Express l’a révélé, la Garde Sceaux n’a jamais obtenu le diplôme. Rachida Dati l’a d’ailleurs confirmé, tout en soulignant qu’elle n’a jamais prétendu l’avoir…
Le «Canard» écrit que «le document (…) a provoqué un véritable branle-bas de combat (…) au ministère de la Justice», provoquant le coup de fil du porte-parole du ministère. Il a expliqué au journal que «la formule “ancien élève de l’Institut supérieur des affaires” signifiait clairement qu’elle n’avait pas obtenu le diplôme final». Le Canard Enchaîné se demande alors pourquoi mentionner «M.B.A du groupe H.E.C.», soulignant «l’ambiguïté» cultivée par la ministre.

Une ministre qui s’est elle-même fendue d’un coup de fil au «Canard» pour lui reprocher de s’intéresser à son parcours en raison de ses origines. Et le journal de répondre «refrain connu. Seule solution, ne parler de la ministre qu’en termes élogieux et pratiquer la discrimination ministérielle positive.»

La question de ce «faux diplôme» n’est pas anodine. Il aurait facilité l’entrée en 1996 de Rachida Dati à l’Ecole nationale de la magistrature, qu’elle a intégrée par la voie parallèle ouverte aux personnes ayant déjà connu une expérience professionnelle.

Rachida Dati, qui nie les accusations, compte bien donner sa vérité dans le livre Je vous fais juge, qu’elle doit publier prochainement. «Je corrige quelques rumeurs ou des choses qui sont fausses. Je corrige des incorrections. Quand on parle de faux diplômes, il faut une matérialité», s’est elle défendue mardi sur Europe 1. C’était avant la publication de son CV.


[www.liberation.fr]
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
w
1 novembre 2007 16:23
j'ai lu l'article,disons qu'elle a un peu triché sur le diplome M.B.A. des H.E.C.en face duquel ,elle avait mentionné "ancienne eleve.."

elle devait se dire,si on lui demandait le diplome;elle repondrait qu'elle avait suivi les etudes sans parvenir à avoir le diplome...
2 novembre 2007 17:13
C'est de l'acharnement.
"Avec un H majuscule"
p
2 novembre 2007 19:51
Citation
bulle a écrit:
Diplôme de Rachida Dati : le «Canard enchaîné» sort le document

Le curriculum vitae de la Garde des Sceaux indique pour l’année 1993 «MBA du groupe HEC» avec la mention «ancienne élève de l’Institut supérieur des affaires». Dati se défend d’avoir fait état d’un diplôme qu’elle n’avait pas pour intégrer l'Ecole nationale de la magistrature.
F.V.
LIBERATION.FR : mercredi 31 octobre 2007

«Elève Rachida, au piquet !» L’injonction est du Canard Enchaîné, qui publie aujourd’hui l’extrait du curriculum vitae qui figure au dossier administratif de Rachida Dati. Un CV qui indique, pour l’année 1993, «M.B.A. du groupe H.E.C.» avec la mention «ancienne élève de l’Institut supérieur des affaires». En réalité, comme L’Express l’a révélé, la Garde Sceaux n’a jamais obtenu le diplôme. Rachida Dati l’a d’ailleurs confirmé, tout en soulignant qu’elle n’a jamais prétendu l’avoir…
Le «Canard» écrit que «le document (…) a provoqué un véritable branle-bas de combat (…) au ministère de la Justice», provoquant le coup de fil du porte-parole du ministère. Il a expliqué au journal que «la formule “ancien élève de l’Institut supérieur des affaires” signifiait clairement qu’elle n’avait pas obtenu le diplôme final». Le Canard Enchaîné se demande alors pourquoi mentionner «M.B.A du groupe H.E.C.», soulignant «l’ambiguïté» cultivée par la ministre.

Une ministre qui s’est elle-même fendue d’un coup de fil au «Canard» pour lui reprocher de s’intéresser à son parcours en raison de ses origines. Et le journal de répondre «refrain connu. Seule solution, ne parler de la ministre qu’en termes élogieux et pratiquer la discrimination ministérielle positive.»

La question de ce «faux diplôme» n’est pas anodine. Il aurait facilité l’entrée en 1996 de Rachida Dati à l’Ecole nationale de la magistrature, qu’elle a intégrée par la voie parallèle ouverte aux personnes ayant déjà connu une expérience professionnelle.

Rachida Dati, qui nie les accusations, compte bien donner sa vérité dans le livre Je vous fais juge, qu’elle doit publier prochainement. «Je corrige quelques rumeurs ou des choses qui sont fausses. Je corrige des incorrections. Quand on parle de faux diplômes, il faut une matérialité», s’est elle défendue mardi sur Europe 1. C’était avant la publication de son CV.


[www.liberation.fr]

Et c'est reparti pour un tour....

sleepingsleeping
b
2 novembre 2007 19:53
Citation
Hamid a écrit:
C'est de l'acharnement.

sois sans crainte, cette information n'a pas rempli toute une page du canard... juste de quoi soulever un point intéressant concernant les pratiques douteuses de nos ministres pour arriver à leurs fins.

il faut avouer qu'une ministre qui se plaint de pratiques discriminatoires, de la part d'un journal de tendance plutôt "neutre", c'est quelque peu grotesque...
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
3 novembre 2007 09:40
Citation
bulle a écrit:
Citation
Hamid a écrit:
C'est de l'acharnement.

sois sans crainte, cette information n'a pas rempli toute une page du canard... juste de quoi soulever un point intéressant concernant les pratiques douteuses de nos ministres pour arriver à leurs fins.

il faut avouer qu'une ministre qui se plaint de pratiques discriminatoires, de la part d'un journal de tendance plutôt "neutre", c'est quelque peu grotesque...



Je suis sans crainte et même "sans peur et sans reproche" winking smiley

On trouvera toujours des choses plus ou moins avouables en fouillant la vie de n'importe qui.

Il est évident que R. Dati bénéficie d'un "traitement de faveur".



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/11/07 12:26 par Hamid.
"Avec un H majuscule"
b
3 novembre 2007 18:32
Citation
Hamid a écrit:
Citation
bulle a écrit:
Citation
Hamid a écrit:
C'est de l'acharnement.

sois sans crainte, cette information n'a pas rempli toute une page du canard... juste de quoi soulever un point intéressant concernant les pratiques douteuses de nos ministres pour arriver à leurs fins.

il faut avouer qu'une ministre qui se plaint de pratiques discriminatoires, de la part d'un journal de tendance plutôt "neutre", c'est quelque peu grotesque...



Je suis sans crainte et même "sans peur et sans reproche" winking smiley

On trouvera toujours des choses plus ou moins avouables en fouillant la vie de n'importe qui.

Il est évident que R. Dati bénéficie d'un "traitement de faveur".


comme la plupart des personnalités publiques. reste encore à l'assumer... smiling smiley
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
E
5 novembre 2007 05:38
Avant Dati il ya eu bien d'autres ministres qui ont été épinglés par le canard enchaîné, vous voyez que son côté marocaine, qu'elle ne vous rend d'ailleurs pas!
Une fois de plus un ministre d'état doit-être au-dessus de tout soupçon!
Vous parlez toujours de corruption marocaine mais dès qu'un ministre qui a des origines marocaines est prise dans une suspicion, vous criez au racisme mais là vous vous trompez le gouvernement de Sarkozy est bien assez coloré pour que cette idée soit définitivement clos!
Elle triche, elle paie!!!!!
p
5 novembre 2007 05:52
Citation
El Chitane a écrit:
Elle triche, elle paie!!!!!

oui et vue la taille du boniment, elle mérite une peine plancher evil
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
s
5 novembre 2007 15:36
trés instructif donc , je le reproduis.
La France ou la société inquisitoire ou tout le monde est suspect.


Accusée Dati, répondez !,

par Laurent Greilsamer
LE MONDE | 05.11.07 | 13h22 • Mis à jour le 05.11.07 | 13h22

ll est trop tôt pour un bilan. On ne juge pas un ministre après six mois d'exercice. Surtout un garde des sceaux qui a été juge ! Alors, à défaut de juger Rachida Dati, on la soupçonne. C'est plus commode, plus rapide et plus ravageur. C'est une manière d'instruire son procès sans le dire. Accusée Dati, répondez !




On plaisante à peine. Le dernier objet de la controverse, ce sont ses diplômes. Pas assez ceci, pas assez cela selon la rumeur. L'Express et Le Canard enchaîné ont enquêté. Les deux hebdomadaires ont humé et retourné toutes ses peaux d'âne. Ils ont validé un DEUG de sciences économiques, puis une maîtrise en droit. Mais nos deux confrères tiquent sur son passage à l'Institut supérieur des affaires (ISA). "Elle n'a jamais obtenu le diplôme...", relève L'Express. Elle cultive l'ambiguïté, signale le Canard.

On rêve ! Dans l'extrait de curriculum vitae publié par Le Canard enchaîné, la future ministre de la justice signale simplement qu'elle a suivi l'enseignement en formation continue de l'ISA-HEC. Nulle mention de sa part d'un quelconque diplôme. Au contraire, Rachida Dati précise qu'elle est "ancienne élève de l'Institut supérieur des affaires". Ce qui veut dire, selon les codes en vigueur, non diplômée.

Mais ce n'est pas la question, on l'aura compris. Lui demander de s'expliquer sur ses diplômes, cela revient à douter de ses compétences. Cela consiste à miner sa crédibilité. A saper son autorité. Que peut donc être une garde des sceaux qui tricherait sur son CV ? Lui demander ses diplômes, c'est comme lui demander ses papiers. Police ! Contrôle d'identité...

C'est troublant et inquiétant pour l'image que cela renvoie d'une société inquisitoriale. Comme si l'élève Dati devait encore et toujours prouver quelque chose. Et, de fait, c'est tout juste si on ne lui conteste pas aujourd'hui son titre de magistrat. Nous aurait-elle menti ? On la croyait adoubée par un ancien ministre de la justice (Albin Chalandon) et une ancienne secrétaire générale du Conseil de la magistrature (Simone Veil). C'est exact. On la pensait formée par l'Ecole nationale de la magistrature. Encore exact. Mais elle a été reçue sur titres, sans passer le concours. Honte à cette petite fille issue de l'immigration qui n'est pas parvenue à faire les grandes écoles tandis qu'elle travaillait de nuit pour payer ses études !

Dans un livre à paraître ces jours-ci, Je vous fais juges, elle répond aux questions de Claude Askolovitch, du Nouvel Observateur. C'est très instructif. Exemple : "Dans votre enfance, le fait d'être d'ailleurs a-t-il compté ?

- Je ne viens pas d'ailleurs, répond-elle. Je suis née à Saint-Rémy, Saône-et-Loire."

Plus loin : "Il n'y a pas de question beur ?

- Elle ne m'a pas construite."

Tout est de cette eau-là. Pensé, ajusté. "Le problème, explique-t-elle, c'est que les gens vous mettent une condition sociale sur le visage. Et sont persuadés d'être de fervents progressistes..."

Rachida Dati s'est fait une raison. Elle encaisse, elle avance sans que personne comprenne où elle parvient à puiser cette énergie qui l'a conduite toujours plus haut. Au terme de 232 pages d'interrogations sur ses origines, sa formation, son ambition, Claude Askolovitch lui lance : "Personne n'a votre secret de fabrication ?" Elle répond d'un mot : "Non." Il la relance : "Et de toute manière, il n'y en a pas ?" Ultime réponse : "Non."Peut-être cette tension très maîtrisée est-elle sa marque de fabrique, ce qui la conduit à l'action, au goût de la conquête. René Char, poète et résistant, a défini un jour sa propre conduite d'une phrase : "Etre du bond. N'être pas du festin, son épilogue." Rachida Dati, tout juste 41 ans, n'a pas cette réserve. Elle cumule les deux sans façon.
a
5 novembre 2007 17:16
Merci Souheil,

J'espère qu'on en a fini avec cette pseudo affaire.
T
5 novembre 2007 21:44
on s'acharne sur madame "la ministre de la justice" RACHIDA DATI et on ignone la pire ministre que la france na jamais eu "madame la ministe de l'économie" CHRISTINE LA GARDE
Son but était de promouvoir les intérêts des firmes états-uniennes, pas ceux du grand patronat de la vieille Europe. et notament ceux de la france son cher pays

lisez cet article sur la biographie de CHRISTINE LA GARDE et vous allez comprendre !


Madame Lagarde est inconnue en politique. Brillante avocate, spécialisée en droit social, elle a rejoint, en 1981, le cabinet Baker & McKenzie à Chicago et a poursuivi toute sa carrière aux États-Unis. Tout en menant sa vie de femme, soulignent ses attachés de presse, elle a monté tous les échelons du premier cabinet mondial de droit des affaires (4 400 collaborateurs dans 35 pays) jusqu’à devenir membre de son Comité exécutif, puis à l’automne 2004 présidente de son Comité stratégique. En outre, en avril 2005, elle entrait au Conseil de surveillance de la multinationale néerlandaise ING Groep, une des principales sociétés financières au monde.
Christine Lagarde figure en 5e position du classement des femmes d’affaires européennes établit par le Wall Street Journal et en 76e position du classement des femmes les plus puissantes du monde établit par Forbes.
Éblouie par ce parcours exceptionnel, la presse française s’est abstenue de toute enquête sur la nouvelle ministre.
Bien que cela ne figure pas sur sa biographie officielle, Madame Lagarde militait aux États-Unis au Center for Strategic & International Studies (CSIS) [3]. Au sein de ce think tank, elle co-présidait avec Zbigniew Brzezinski [4] la commission Action USA/UE/Pologne et suivait plus particulièrement le groupe de travail Industries de défense USA-Pologne (1995-2002) et les questions liées à la libéralisation des échanges polonais. Or, dans ces instances, elle représentait les intérêts états-uniens contre ceux du Commerce extérieur français dont elle est aujourd’hui la ministre [5]. En sa qualité d’avocate du cabinet Baker & McKenzie, elle poussait plus particulièrement les intérêts de Boeing et Lockheed-Martin contre ceux d’Airbus et de Dassault.
En 2003, Christine Lagarde est également devenue membre, toujours au sein du CSIS, de la Commission pour l’élargissement de la communauté euro-atlantique aux côtés de son ami Brzezinki et de diverses personnalités dont l’ancien directeur de l’OMC Reanto Ruggiero et l’ancien ambassadeur spécial pour la restitution des biens religieux en Europe centrale, Stuart Eizenstat. Cette commission s’est occupée des investissements possibles en Pologne, Slovaquie, Lettonie, Roumanie, République tchèque et Hongrie.

Au sein de chacune de ces diverses commission, un homme jouait un rôle central : Bruce P. Jackson, fondateur du Comité états-unien pour l’expansion de l’OTAN (US Committee for Expand NATO). Il représentait les intérêts de l’avionneur Lockheed Martin, dont il avait été vice-président. C’est au travers des relations nouées dans les commissions présidées par Christine Lagarde que M. Jackson monta le contrat du siècle : la vente, en avril 2003, de 48 chasseurs F-16 Lockheed-Martin à la Pologne pour 3,5 milliards de dollars. Cette transaction provoqua la consternation en Europe dans la mesure où le gouvernement polonais payait cette commande avec les fonds de l’Union européenne destinés à préserver son secteur agricole......

la suite juste apres !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/11/07 21:51 par TARIK.
T
5 novembre 2007 21:45
Ce contrat était disproportionné par rapport aux besoins réels de la Pologne. En outre, la logique eut voulu que Varsovie s’équipe de Mirage 2000-5 MK2 Dassault ou de Jas-39 Saab en entrant dans l’Union.

Cependant, ce contrat était indissociable de l’engagement de la Pologne dans la colonisation de l’Irak aux cotés des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Australie. M. Jackson était d’ailleurs le principal bailleur de fonds du Comité pour la libération de l’Irak (Committee for the Liberation of Iraq) [6].

Dans la continuité de ce marché, la Commission euro-atlantique de Madame Lagarde se donna comme mission « d’assister les entreprises polonaises pour améliorer leur capacité à devenir sous-traitants d’entreprises (notamment états-uniennes) qui ont remporté des marchés en Irak et en Afghanistan, et aussi pour la modernisation du système de défense polonais » [7].

En supposant que Christine Lagarde ait abandonné ses fonctions précédentes sans l’intention d’y retourner, on pourrait admettre qu’elle ne se place pas dans un conflit d’intérêts. Cependant, au vu des positions politiques défendues par les groupes de travail qu’elle a présidé, on ne peut que constater qu’elle est en totale opposition avec la position française défendue par Dominique de Villepin à l’ONU.

Enfin, les déclaration de la ministre, deux jours après sa nomination, ont choqué les syndicats français. Christine Lagarde s’est engagée à réformer le droit du travail qui, selon elle, « constitue souvent un frein à l’embauche et à un certain nombre de décisions d’entreprendre ». Toutefois, pour bien comprendre son point de vue, il importe de ne pas interpréter ses déclarations en les assimilants au discours du MEDEF, mais au regard des positions qu’elle a développées jusqu’ici. Elle fut en effet très active pour imposer le modèle anglo-saxon de droit social en Europe centrale et orientale. Son but était de promouvoir les intérêts des firmes états-uniennes, pas ceux du grand patronat de la vieille Europe.
b
6 novembre 2007 02:27
"C'est troublant et inquiétant pour l'image que cela renvoie d'une société inquisitoriale. Comme si l'élève Dati devait encore et toujours prouver quelque chose. "

toute société est en droit d'exiger un minimum de transparence de la part de ses représentants, quelle que soit l'importance que l'on accorde à cette ambigüité.
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
a
6 novembre 2007 11:11
j aimerai qu on s'interesse aussi de pres aux CASSEROLES que traine l'actuel patron du quai d'orsay M KOUCHNER le roi de lhumanitaire mercantile!; mais ca ne sera pas demain la veille que "l'express" ou le "point" ferait la "une" de leurs quotidiens sur l'affaire nauseabonde de kouchner en birmanie avec total elf
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
y
6 novembre 2007 11:33
Le Canard enchaîné était le premier à parler de l'affaire du Frensh Doctor et sa com. pour Total en Birmanie. C'est l'un des rares journaux où l'indépendance et le journalisme ont un sens.


J'ai lu l'article concernant Mme Dati. Elle a triché et elle a maquillé sont CV.

Voici l'extrait du CV qui figure dans son dossier administratif :



FORMATION :
1997 : Niveau DEA du DROIT COMMUNAUTAIRE - Université Ponthéon Sorbonne (cette ligne est annotée de sa main)
1996 : Maîtrise en Droit - Université Panthéon Sorbonne - Paris
1993 : M.B.A. du Groupe H.E.C. - Anncienne élève de l'Institut Supérieur des Affaires




Or elle n'a jamais décroché de diplôme MBA. Selon la ministre, la formule "Ancienne élève" est censée annuler la précédente.


Je ne crois pas qu'elle doit bénéficier d'un traitement de faveur surtout de la part du Canard. Elle a triché, qu'elle assume.
a
6 novembre 2007 12:22
Citation
yassy37 a écrit:
Le Canard enchaîné était le premier à parler de l'affaire du Frensh Doctor et sa com. pour Total en Birmanie. C'est l'un des rares journaux où l'indépendance et le journalisme ont un sens.


J'ai lu l'article concernant Mme Dati. Elle a triché et elle a maquillé sont CV.

Voici l'extrait du CV qui figure dans son dossier administratif :



FORMATION :
1997 : Niveau DEA du DROIT COMMUNAUTAIRE - Université Ponthéon Sorbonne (cette ligne est annotée de sa main)
1996 : Maîtrise en Droit - Université Panthéon Sorbonne - Paris
1993 : M.B.A. du Groupe H.E.C. - Anncienne élève de l'Institut Supérieur des Affaires




Or elle n'a jamais décroché de diplôme MBA. Selon la ministre, la formule "Ancienne élève" est censée annuler la précédente.


Je ne crois pas qu'elle doit bénéficier d'un traitement de faveur surtout de la part du Canard. Elle a triché, qu'elle assume.

bonjour yassy

je suis d'accord mais ca n'excuse pas cet acharnement disproportionné dont elle fait l objet .quand elle a viré un collaborateur c'etait deja une affaire d'etat alors que c'est une pratique tres courante dans les cabinets ministerielles sans parler des histoires de son frere .
je ne sais pas mais je trouve tout ca tres douteux
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
w
6 novembre 2007 12:36
Citation
El Chitane a écrit:
Avant Dati il ya eu bien d'autres ministres qui ont été épinglés par le canard enchaîné, vous voyez que son côté marocaine, qu'elle ne vous rend d'ailleurs pas!
Une fois de plus un ministre d'état doit-être au-dessus de tout soupçon!
Vous parlez toujours de corruption marocaine mais dès qu'un ministre qui a des origines marocaines est prise dans une suspicion, vous criez au racisme mais là vous vous trompez le gouvernement de Sarkozy est bien assez coloré pour que cette idée soit définitivement clos!
Elle triche, elle paie!!!!!



alors je te dis chapeau, parceque mieux expliqué que ça, c est pas possible...thumbs up
y
6 novembre 2007 12:37
Bonjour Rifton smiling smiley,

Elle n'a pas viré qu'un collaborateur. Ils sont au nombre de 5 ou de 6 qui ont été mis à la porte. Pour son Frère, si la presse n'avait rien révélé, je crois que les Nazillons du F'Haine et cie auraient criés au complot islamo-arabo-sorkozyste ! D'autant plus que sur cette affaire, elle n'y est pour rien. Et je trouve qu'elle avait très bien géré la situation. On ne choisit pas sa famille. Juste que ça tombait mal pour le frangin ! Il était un des premiers à "subir" la peine plancher de sa soeur...

C'est peut être louche mais c'est le monde joyeux de la politique et cie. Les coups bas ne manqueront pas. Mme Dati a triché concernant son CV. C'est son malheur qui fait certainement le bonheur de beaucoup y compris et surtout dans sa majorité.


Je ne crois pas qu'il faut se taire sous pretexte qu'elle s'appelle Rachida.

smiling smiley
 
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