Citation
Citronnus a écrit:
Parce que les financiers savent que l'argent ne vaut rien. Ce n'est que du papier.
Même pas ... des chiffres sur un écran.
Ce qui a de la valeur, c'est l'or, l'argent, les pierres précieuses peut-être, bref, les vraies richesses. La terre aussi sans doute ... Mais l'argent, ça ne vaut rien.
Ce qui est sur ton compte, c'est du vent. Tu ne manipules même plus du papier. Juste une carte en plastique et un compte en banque qui n'est qu'une succession de chiffres sur un écran. Ces chiffres ne valent rien en réalité.
Tu n'as en réalité rien si tu n'as rien de concrètement qui a de la valeur ...
En ce moment, ce qui importe, c'est que les gens parviennent à vivre à peu près dignement. Ils ne peuvent acheter des choses qu'avec ces chiffres sur leur écran. Donc qu'on crée des chiffres à l'infini n'a aucune importance en réalité. Les gens continueront à vivre sur du vent.
Si au départ, il y avait cent mille milliards de richesses sur terre (or, argent, pierres précieuses, terres ...), elles sont sensées être partagées entre tous les habitants de la terre.
Or, certains ont gardé les richesses pour eux et ont fait des autres leurs esclaves. Les esclaves, on leur donne à manger, à boire, un toit sur la tête ... mais on ne leur donne pas d'or. On leur donne des billets de banque ou des chiffres sur un écran. Pour leur faire croire qu'ils ont une quelconque richesse, mais ils n'ont en réalité rien. Du papier ça brûle, ça disparaît en fumée. Un écran, ça s'éteint et des chiffres, ça peut disparaître. A la fin, il ne te reste rien non plus. L'or ou autre, ben ça reste, ça demeure, ça ne disparaît pas.
Donc ceux qui possèdent les richesses, ils créent du papier en plus, des chiffres en plus et ça n'a aucune importance, des arbres ça repousse, des chiffres on en rajoute, ça va à l'infini.
La dette n'est qu'un leurre.
S'il y a 40 000 ans, au temps de Cromagnon, il y avait 1 000 tonnes d'or sur terre, il y a toujours 1000 tonnes d'or sur terre maintenant. Et ça, ça a toujours de la valeur. Que le reste, on peut en créer à l'infini, ça ne changera rien au fait que toi, tu seras toujours esclave ...
La dette c'est le fait de convertir ces 1000 tonnes d'or en je ne sais combien de milliards de milliards de billets ou de chiffres sur un écran. On met plus de richesses sur terre qu'il n'en existe réellement. La différence, c'est la dette.
Pour effacer la dette, il faut se débarrasser des esclaves. Il ne restera que les possesseurs d'or à la fin. Pour l'instant, les esclaves sert à servir le système. Les possesseurs d'or, ils font en sorte de récupérer le stock d'or de leur voisin. Pour en faire un esclave supplémentaire. Les esclaves qu'à construire leur propre monde. Nous ne sommes que de la main d'oeuvre. Et ils nous font croire qu'on est à l'origine de la dette.
Tant qu'ils créent de l'argent, des chiffres sur notre écran, tout ira bien. Le jour où ils décident qu'ils n'ont plus besoin de nous, ils effaceront la dette en nous effaçant tout cours.
Un compte en banque rempli de chiffres ne vaut rien. La personne meurt, il n'a pas d'héritier, l'état récupère l'argent. Et il récupère quoi ? Rien. Il efface juste le compte et basta. Qu'est-ce que l'état va avoir besoin de récupérer des chiffres sur un écran. L'état récupérera les terres, l'or, ou autres choses réellement précieuses, s'il y en a, et le reste, il l'efface, car ça ne vaut rien de toutes manières.
La dette n'est qu'un leurre pour te faire croire que tu dois travailler encore plus pour ... rien ...
Citation
DsiBelles a écrit:
Un enfant, de nos jours en France, naît avec plus de 30 000 euros de dettes
à ce rythme on va être rémunéré car on aura emprunté, ce sera des prêt à taux négatifs Citation
CHN-W a écrit:
Personne ne doit rembourser cette dette d'État. Rembourser cette dette, c'est détruire de la monnaie. Détruire de la monnaie, c'est risquer de bloquer l'économie.
C'est tout le contraire qui est fait par les banques centrales, elles créent de la monnaie à tour de bras et encouragent les banques de dépôt à accorder des prêts. Ces prêts sont à des taux très bas, limite gratos.
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