Je suis certain que la question a été abordée ici à travers plusieurs fils, mais bon, on est pas à ça près. A la suite d'une conversation avec un ami à propos des prix qui baissent en immobilier (lol, et relol) et que "il faut acheter", du coup, même avec un chrome. Lui me soutient que dans le Coran, la seule personne "punissable" est le préteur avec le verset Al-Baqara à l'appui. "ceux qui mangent de l'intérêt". A quoi, je réponds que lui faire partie de l'opération (le terme de guerre à Allah étant même employé, la guerre quoi, carrément !!) et que quelque part lui aussi est complice. Il répond que Naaaan, lui c'est la victime opprimée de la combine, parce qu'il est forcé de procéder de cette manière. Je dis que pour une victime il a une drôle d'attitude consentante... Il dit : Tout ce que il n'est pas interdit dans le Coran est autorisé. Ah, et les "hadiths ?", la Sunnah?, lui répondis je. Bah les hadiths, c'est comme le téléphone arabe, ils se contredisent et ne sont pas fiables, répliqua t'il. Ok - De toute façons, ceux qui disent que c'est haram, c'est parce ce que c'est des jaloux qui peuvent pas acheter, et à l'époque du prophète (saws), ils avaient pas de loyer à 900 EUROS pour des cages à poules, les loyers c'est de la carotte, et jeter de l'oseille par la fenêtre, pour enrichir un proprio kouffar qui a eu ses biens à la sueur de son héritage c'est pas haram peut être?, ajouta t'il d'un ton saccadé. Ouais, ouais...mais, mais euh.... et puis, ooooOOoh qu'ils aillent se faire cuire un oeuf avec leurs désir de merde de devenir proprio pour faire le mâle alpha. Fais ce que tu veux...mon loulou.
Vos avis concernant la position de l'emprunteur, y a moyen de hallaliser toussa? Parait que quelques savants (les savants mouhahahaha) ont autorisé le crédit en cas d'acquisition principale, (al Quardawi?)).
▓╣☼╠Salam Alaykoum Wa Rahmato Allah Wa Barakatuhu╣☼╠▓
chacun fait comme il veut et personne ne partagera ni ta tombe ni la mienne, allah ns a ordonné de laisser ces choses à côté et c à ns de choisir le bon chemin ou dérouter, tu c qu'un prêt islamique est désormais possible, il faut juste s'informer des différentes avancées ds ce domaine, allah mo3ine
[center][b][size=small][color=#0000FF]♥ ܓܨ ♥[/color] [color=#CC0000]يا ربي لا أسألك إلا رضاك[/color][color=#0000FF]♥ ܓܨ ♥[/color][/size][/b][/center]
de nos jours on remarque que tout le monde veut avoir sa maison, sa voiture à un age précoce du coup les prets usuraires sont la pour tenter les gens jadis, les gens supportaient de vivre chez les parents, et nos grands parents, meme aprés le mariage, tut le monde vit dans la grande maison de famille, de nos jours chacun veut son appartement et sa condition à un trés jeune age
pour l'usure c'est interdit dans les deux sens, on peut pas dire on m'a fait pression c'est valable dans le sens dont l'ami parle quand on sait pas lors du pret et que à la fin de la durée le preteur dit tu me rend avec une plus grande somme mais tant qu'on le sait dés le départ que c'est des prets usuraires, c'est interdit dans les deux sens par la loi religieuse
ça peut paraitre injuste, mais c'est la toute la justice, l'usure crée un argent virtuel, qui n'existe pas, tout les pauvres sont lésés, la mailleure preuve est la crise économique, c'est de l'argent virtuel qui n'existe pas mais on l'ont crée, et du coup, personne ne peut rendre, et il y'a des tensions énormes entre les pays c'est le prix à pays
Salam Au niveau du Coran, y a vraiement rien sur l emprunteur, un verset qui interdit de payer les interets de maniere explicite? Dans la sourate que j ai cite, c est celui qui mange l usure qui est vise.. Pour les credits hallal des banques islamique, elles font ca par aumone? Que Dieu fera fructifier... Ce ne sont pas des institutions philantropiques... Qui maquilleront les interets par les frais de dossiers.
Je vais essayer de démontrer d'une manière rationnelle en poussant la réflexion de ton interlocuteur jusqu'au bout, que ces restrictions n'ont aucune influence sur la portée générale du verset, qui englobe aussi bien le prêteur que l'emprunteur.
La compréhension de ton interlocuteur cherche à déformer la signification du verset, sous prétexte de rester fidèle au sens apparent.
Ce n'est là qu'un prétention, car en réalité seul certains aspects du sens apparent furent considérés, en délaissant l'indication réel du Verset.
Et ce comportement ne nous est pas étrange, loin de la, depuis l'aube de l'Islam les sectes déviantes empruntèrent cette voie.
Faisant prévaloir certains sens linguistiques, dans leur déduction. Faisant de ces significations et réalités linguistiques des Dhawâhirs/ indications apparentes, qu'ils seraient interdits de délaisser.
Nous avons comme exemple, les Khawârijs qui se fixèrent sur l'une des significations linguistiques du terme " Hakama" qui est l'action de faire et d'agir, pour généraliser le Verset " Et ceux qui ne Yahkoum pas par ce qu'Allah a Révélé ce sont eux les mécréants ".
Yahkoum étant l'innacomplie du verbe Hakama. Ils en déduirent que celui qui ment n'a pas agit selon ce qu'Allah a Révélé et est par conséquent mécréant.
Oubliant et délaissant les causes de Révélations qui précisaient le sens de ce Verbe pour lui donner une portée plus précise qui est de trancher dans un litige en se référant à une législation générale.
Et cette cause de révélation définie la réalité légale et la signification réellement apparente du terme. laquelle doit être prise en compte dans la compréhension des textes selon leurs sens apparents. Et non pas cette signification biaisée et détournée, comprise par des incultes, qui se croit maitre de la langue arabe et les hauts dignitaires de la Soumission au sens littéral des textes.
Donc la première erreur est de chercher à prendre en compte qu'un aspect restreint de l'indication linguistique du terme Akala/ manger.
Le deuxième point : est de dire que le terme ici n'a pas de portée restrictive, mais indique l'utilisation générale de l'argent utilisée pour manger. Donc celui qui prend du ribâ pour acheter des habits est aussi blâmble que celui qui achete un mouton ou un sandwich, peu importe, l'essentiel est que le jugement n'est pas lié au terme.
C'est que les savants qualifie de " Makhrajou Al Ghâlib " qui désigne l'ensemble des termes, qualificatifs , nombres etc, qui n'ont été mentionnés qu'en raison du fait qu'ils soient l'objet de l'utilisation la plus fréquente.
Je m'explique, lorsqu' Allah, Ta'ala, dit " Et nos forcez pas vos jeunes filles à se prostituez, si elles veulent se préserver " Dirait on que si elles aiment la turpitude, on pourrait les pousser à la prostitution ??
Donc bien que nous ayons une forme " apparente " de restriction, elle n'a aucun impact, étant donné que ce n'est là que la description d'une situation donné, pour laquelle le Verset fut Révélé. Et en rien elle ne restreint l'ampleur et la Globalité du verset à toute forme de prostitution.
Et les exemples sont nombreux, mais je me contenterais de celui ci.
On voit donc que l'interdiction du Riba dans le Verset, ne se limite pas au simple fait de " manger " les biens acquis par une voie usuraire, et ce malgré que le terme Akala/ manger, fut clairement employé.
De ce fait, et au même titre que nous avons, si je puis dire, retiré le côté restrictif du terme manger, dans la généralité et la globalité du texte, en quoi devrions nous absolument rester limité, au côté " prêteur " et " gagnant " décrit dans le Verset ? Alors qu'il est connu par nécessité dans la religion, que le Ribâ est interdit des deux côtés aussi bien le prêteur que l'emprunteur ? Et les seuls divergences apparues, sur certaines formes englobent aussi bien le prêteur que l'emprunteur. Sans aucune divergence qui limiterait cela au seul cas du prêteur tout le permettant pour l'emprunteur .
. Sans oublier qu'en Islam, lorsqu'un acte est interdit pour une personne, il nous interdit de l'aider à l'accomplir.
Et cette interdiction se divisent en plusieurs parties, je n'en citerai qu'une, en raison de son lien direct avec le sujet initial:
A. Une aide prohibée/ Harâm : qui désigne les cas ou l'acte par lequel nous l'aiderons est une cause direct.
L'imâm Achâtibî, Rahimahou Allah, dit dans Al mouwafaqât 1/188 :
" Faire la cause revient à produire la conséquence, que l'auteur de cette cause l'ait visé ou non. Et à partir du moment ou cette conséquence est liée dans les usages généraux ( les règles universelles et les usages connues entre les hommes, ndlt) à cette cause, l'auteur de la cause sera donc considéré comme l'acteur ( responsable légalement, ndlt) de la conséquence "
C'est a dire qu'a partir du moment ou il est connue qu'une cause donnée produit une conséquence donnée, l'auteur de la cause sera l'auteur de la conséquence. Et portera ainsi le même statut, même s'il cherche à y échapper.
Voici ce que je peux te dire, très cher ami, dans l'espoir que cela te soit profitable in chaâ Allah.
Barakallah oufik. Se presenter comme la victime, c est fort de cafe, un peu comme le barman vendeur de demi et de rouge qui dit que lui ne boit pas, et que donc il echappe aux chatiments corporels.. Il t aurais repondu que le lese c est lui... On pourrait citer aussi le verset, ne vous entraidez pas dans la transgression... Merci pour ta reponse...