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AL MASSIRA a écrit:
Les Algériens sont dans l'impasse diplomatique. Ils font comme si la tribune ONUsienne c'est la même chose qu'un média algérien et racontent les pires absurdités. Ce qu'ils oublient c'est que la drogue (qui est hors sujet) est un sujet bien connu par les pays en face surtout les grandes puissances. Ils savent qui fait quoi et de quoi les états sont responsables. Pour moi c'est pour faire du remplissage pour un discours pour lequel ils n'ont pas grand chose à dire. L'affaire du Sahara est close, et cet entêtement algérien ressemble à l'état de quelqu'un qui est dans une dépression profonde, qui est à plat partout mais qui n'arrive pas à se remettre par cause. La question que je me pose et pour laquelle je n'ai pas de réponse évidente, c'est "pourquoi le peuple algérien qui souffre dans cette affaire et qui ne profite pas de ses richesses, pourquoi il ne réagit pas et même il soutient souvent la junte ?". C'est du masochisme.
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AmazighArabi a écrit:
Il n'est pas prouvé que la majorité des algériens soutient son régime sur la question du sahara marocain. Et en même temps ce peuple à peine sorti de la colonisation automane et française a connu la décennie noire, c'est traumatisant personne ne veut revivre ces troubles. Il est peut-être normal que ce peuple, malgré le hirak, ne cherche pas à se soulever. La guerre civile est pire que tout. Et nous n'avons aucun intérêt à ce que ce peuple frère sombre dans la fitna.
Nous devons espérer avec sincérité le bien-être à nos voisins civils. Quant à leur gouverneurs, tu l'as dit et il n'y a rien à ajouter : la partie est terminée et on sait qui en est sorti vainqueur à tous les niveaux.
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AmazighArabi a écrit:
Il n'est pas prouvé que la majorité des algériens soutient son régime sur la question du sahara marocain. Et en même temps ce peuple à peine sorti de la colonisation automane et française a connu la décennie noire, c'est traumatisant personne ne veut revivre ces troubles. Il est peut-être normal que ce peuple, malgré le hirak, ne cherche pas à se soulever. La guerre civile est pire que tout. Et nous n'avons aucun intérêt à ce que ce peuple frère sombre dans la fitna.
Nous devons espérer avec sincérité le bien-être à nos voisins civils. Quant à leur gouverneurs, tu l'as dit et il n'y a rien à ajouter : la partie est terminée et on sait qui en est sorti vainqueur à tous les niveaux.
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AL MASSIRA a écrit:
ça ne m'est jamais passé par l'esprit de souhaiter des problèmes ou l'instabilité pour ce peuple frère. Ce qui m'intrigue et que j'ai souligné dans mon précédent message est que ce peuple frère est aujourd'hui marcophobe. J'ai beau me couvrir les yeux pour ne pas le voir mais il est évident que ce peuple a un problème avec nous et ce n'est pas un hasard. Il y a eu un matraquage de 60 ans à l'école, dans les médias et même dans les mosquées qui nous fait prendre pour des malhonnête, contre les Palestiniens, contre "les pauvres sahraouis" et esclaves de l'Occident sioniste. Le Hirak n'a jamais évoqué les relations avec le Maroc et même s'il avait pris le pouvoir, rien n'aurait changé. Boukharrouba, notre pire ennemi, est comme un personnage respecté et adoré. Ils ont tous été insensibles aux centaines de milliers de Marocains expulsés dans des conditions inhumaines. C'est un fait le peuple algérien est marocophobe. Le Khawa khawa ne peut se faire avec la génération actuelle.
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AlvaroRecoba a écrit:
Arrête donc t’es balivernes stp
Il n’y a qu’à lire tes commentaires un peu partout pour se rendre compte que tu transpire la haine de l’Algérie
Tout tes commentaires a toi et tes semblables haineux jouent pour bcp dans la situation actuelle et l’éloignement des deux peuples
Ici ou bas ou après vous y rendrez comptes
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Eamses a écrit:
Les frontières historiques et naturelles entre le Sahara Occidental et le Maroc se situent entre l’Oued Noun et l’Oued Drâa et entre l'Algére avec le Maroc Oued Mouloya.
Mais comme c’était le cas pour la plupart des ex-colonies, en Afrique notamment, la colonisation en a décidé autrement. Et la paix et la stabilité aujourd’hui dépendent du respect de l’intangibilité des frontières héritées de l’époque coloniale. Les frontières officielles du Sahara Occidental sont celles tracées par l’Espagne et la France, successivement le 27 juin 1900 et le 3 octobre 1904 à Paris et le 27 novembre 1912 à Madrid.
Cependant, même en s’en tenant aux frontières coloniales, il est intéressant de rappeler que les limites septentrionales du Sahara Occidental étaient bel et bien au-delà de l’Oued Drâa.
Elles attestent, notamment, l’existence et l’indépendance historique du peuple sahraoui et du Sahara Occidental.
Ainsi, Robert Montagne estime que l’Oued Noun constitue « la ligne de rupture entre deux systèmes d’organisation sociale et politique différente ».
[zb.oldmapsonline.org]
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gustavo321 a écrit:
Ça peut sembler paradoxal, mais tous les deux, AmazighArabi et Massira, vous avez raison en même temps me semble-t-il. Après tout la vérité est rarement noire ou blanche, d'un seul bloc, et reste allergique à une expression dichotomique ou en bloc monolithique ...
Oui le peuple algérien dans sa grande majorité, est marocophobe et travaillé en profondeur par des sentiments inamicaux (la jalousie, l'envie, l'agressivité ...) vis-à-vis de son voisin. La faute a l'idéologie boukharroubienne pernicieuse qui a fait de l'antimarocanisme le plus primaire une conviction et un pilier du ''nationalisme'' algérien. Rarement a travers le monde, un peuple ne se définit aussi totalement et de manière aussi fanatique et quasi paranoïaque par rapport a son voisin! ...
D'un autre côté, il reste bien entendu encore des algériens bien intentionnés vis-à-vis des marocains et qui n'ont pas perdu de vue tout ce que leur jeune nation doit au Maroc et aux marocains, et tout ce que les deux peuples partagent comme culture, religion, proximité ...
Le problème, tout le problème, réside dans ce régime militaire borné, fermé, illégitime, prédateur et incapable de construire un leadership a la hauteur des enjeux du siècle. Juste bon a pondre des ''generaux'' sans ambition ni vision pour leur peuple ... Peut-être bien, en définitive, qu'il faudrait attendre la chute de ce régime ou son départ pour pouvoir enfin espérer construire quelque chose de généreux, de positif et de constructif avec nos voisins? ... Seul l'avenir proche nous le dira ...
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AlvaroRecoba a écrit:
Arrête donc t’es balivernes stp
Il n’y a qu’à lire tes commentaires un peu partout pour se rendre compte que tu transpire la haine de l’Algérie
Tout tes commentaires a toi et tes semblables haineux jouent pour bcp dans la situation actuelle et l’éloignement des deux peuples
Ici ou bas ou après vous y rendrez comptes
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AlvaroRecoba a écrit:
La majorité des algériens ne se sentent pas vraiment concernés par le Sarah occidental
Mais par contre ils n’ont aucune mais totalement aucune confiance envers la famille royale et les dirigeants marocains qu’ils pensent sous l’emprise de Azoulay et des sionistes.
Le peuple algérien a conscience de ce qu’il en est, c’est à dire traîtrise au menu:
- Vendu le fln avec l avion détourné
- Vendu les arabes et la Palestine en 67 avec la réunion de la ligue arabes
Aujourd’hui encore
- amener à leur porte les sionistes avec un ministre qui profère même des menaces depuis le Maroc
- Permettre au sioniste d’effectuer des exercices militaires (drones) chez eux et même y monter une usine d’armement, sous prétexte de transfert technologique, même si ces armes sont destinées à massacrer des palestiniens c’est pas grave
Mais ce que ne comprend vraiment pas le peuple algérien c’est comment le peuple marocains peut rester silencieux face à cela !!!
Et enfin ce qui les confortent absolument dans leur idée de 0 confiance, c’est que côté marocain on ose reprocher aux algériens de ne pas être critique envers leurs dirigeants alors que vraiment c’est l’inverse.
Si il y en a bien un entre le peuple marocain et algérien qui ose critiquer ses dirigeants et ne retient pas sa langue c’est bien les algériens.
Alors même si ils ne sont pas satisfaits de leur dirigeants ils resteront unis et loyale par ce qu’ils sente la grosse manipulation et savent bien qu’il y a effectivement des ennemis tapis à l’Ouest qui n’attendent que de faire tomber l’Algérie et son peuple.
C’est comme ça il n’y a pas de khawa khawa et c’est sûrement une bonne chose pour le moment.
Et oui les algériens a quasiment 98% ne veulent absolument pas de la réouverture des frontières
Que les dirigeants marocains cessent de la demander
On espère qu’elle rester fermée encore 1000 ans
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AL MASSIRA a écrit:
Bravo t'a bien récité ta leçon du DRS. Sache que notre pays avance sans vous et il avancera. Le Sahara, vous vous y intéressez ou pas, on s'en fout, on le récupère. Notre objectif est l'émergence économique. Vivre sans vous nous fera du bien. On a d'excellentes relations avec les autres voisins et avec toutes les grandes puissances nous entourant. Prochaine étape: le Maroc la grande puissance régionale et pourquoi pas à terme membre de l'OCDE. Vous, vivez votre vie et faites vos files d'attente pour montrer au Monde ce qu'il ne doit pas faire de ses richesses.
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Eamses a écrit:
Le peuple sahraoui doit exercer son droit à disposer de sa terre du Sahara occidental
Ce n’est le DRS ni la DST, c’est l’ONU qui le dit.
En Octobre 1975, la Cour Internationale de Justice de la Hague déclarait, suite à une requête du Maroc, que les documents qui lui avaient été fournis par le Royaume chérifien ne démontraient l’existence d’« aucun lien de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara occidental et le royaume du Maroc ou la Mauritanie ».
Le lendemain du départ espagnol le 28 février 1976, le Front Polisario proclame unilatéralement la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les accords de Madrid sont pour lui une déviation inacceptable du processus de décolonisation qui prévoyait une consultation populaire d’autodétermination à l’issue du retrait espagnol. Avec le soutien de la Libye et de l’Algérie, il entame aussitôt une lutte armée contre les occupants.
Côté algérien, ils accordent une aide inconditionnelle au Polisario. le soutien à un mouvement de libération nationale est pour lui une question de principe, mais Alger n’avait pas apprécié que l’avenir des territoires sahraouis soit décidé sans qu’on pense à le consulter.
S’agissant du Maroc, l’ampleur prise par la question sahraouie est plus qu’une simple question d’hégémonie dans la région, et relève également de questions de politique intérieure et de consolidation de la légitimité de l’État. En 1976, la monarchie connaissait de grandes difficultés, confrontée à des émeutes, des grèves ouvrières et estudiantines, et des tentatives de coup d’État contre la personne du roi. Le dossier du Sahara occidental lui offre une opportunité réelle pour créer l’union sacrée autour de la monarchie et donner aux militaires un dérivatif politique, pour les éloigner du palais royal devenu une cible intérieure.
[www.cairn.info]
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