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l'européen a écrit:
" Si ils vivent en concubinage... QU'ILS AILLENT SE MARIER! C'est tout! C'est pas difficile.
... et imagine ce couple obtient l'enfant, et un beau matin l'homme s'en va! Et l'enfant, toute son enfance est sans père! triste non? Et puis je te dit pas toute les sequelles qu'il aura toute sa vie (problèmes comportementaux, crise, manque d'autorité de la mère). Ce sont des choses qui se sont réelement passé.
Ne vous cachez pas derrière le "ils s'aiment" ou le "laissons-les vivre en paix", vous voyez les conséquences que je vous ai montré..."
ben c'est simple: si l'homme veut quitter le foyer puisque non marié (tout le monde sait que les hommes restent que quand ils se marient), il n'y a qu'a le lapider lui et sa concubine pour les punir de laisser un enfant sans pere. ça fera un exemple et les couples en concubinage ne se separeront plus. et l'enfant sera heureux d'avoir ses deux parents, meme s'ils se foutent sur la g.eule tout les soirs.
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YoussefOuz a écrit:
Aïd Mabrouk à tous les musulmans et musulmanes.
Qu'Allah me préserve de déformer la Coran!
Tu te bases sur des paroles de Jésus (as) qui ne sont pas très fiables, par contre tu rejette en bloc tous les hadiths du prophète (sbdl) relatifs à cela. Pourquoi donc? Il faudrait en effet que je retrouve ces hadiths relatifs à cet acte et connaitre leur authenticité comme tu me l'as fait remarquer.
Tu dit toi-même que la Sunna et là pour compléter le Coran, le préciser. Mais pourquoi me parles-tu de remplir des silences alors que tu ne sait pas plus que moi si ça été le cas.
Les paroles sur Jésus, rapporté par les chrétiens sont très peu fiables. Tu doute sur l'authenticité des hadiths, précise pourquoi s'il te plait.
En effet, le Coran ne parle pas de lapidation, mais ce n'est pas la raison pour laquel il ne doit pas être employé. La majorité des savants penchent sur le fait que cela doit être appliqué.
Voici un extrait du résumé de l'exegès relatifs à ces versets de la sourate An-Nour:
Au nom de Dieu, le Tout miséricordieux
Une sourate que Nous avons fait descendre avec des dispositions obligatoires. Et Nous y avons fait descendre des signes d'évidence, escomptant que vous méditiez (1) Quant à celle ou celui qui se rend coupable de fornication, flagellez chacun de cent coups. Par respect de la religion de Dieu, ne vous laissez pas émouvoir de pitié pour eux...
Commentaires du savant: "le coupable de fornication est celui qui n'est pas encore marié ou celui qui est deja marié mais qui est libre, pourvu de toutes ses capacités morales. Si le coupable est un non-marié, sa peine légale est de cent coups, comme indiqué par le verset, auxquels on ajoute un bannissement d'une année (selon l'avis majoritaire des savants). Ces derniers se réfèrent à ce hadith: "Deux bédouins sont allés trouver l'envoyé (sbdl). L'un d'eux dit: "O envoyé de Dieu, mon fils-ci était salarié chez cet homme; il a forniqué avec sa femme; j'ai payé la rançon de mon fils (100 brebis et une procréatrice). Puis j'ai interrogé les détenteurs de science, qui m'ont dit que mon fils devait subir une flagellation de 100 coups et un bannissement d'un an, et que la femme devait subir la lapidation." L'envoyé (sbdl) a dit alors: "Par celui qui détient mon âme dans Sa main[/ b], je vais trancher par le livre de Dieu. La procréatrice et les brebis te reviennent, et ton fils doit subir une flagellation de 100 coups, plus un bannissement d'un an. (Toi!) Anîs, va à la femme de cet homme, si elle reconnait, lapide-la!" Anîs alla trouver la femme, elle reconnut son méfait, il la lapida."
Ce hadith donne donc la preuve du bannissement du non-marié qui fornique. Le marié, quant à lui, qui fornique doit être lapidé (Mâlik).
Kathîr b. aç-çalt: "Nous étions chez Marwân et il y avait avec nous Zayd b. Thâbit. Celui-ci dit:"Nous récitions: si le vieux et la vielle forniquent, lapidez-les" Marwân dit: "Ne l'avais-tu pas écrit dans le feuillet?" il dit: "Nous avons parlé de cela en présence de Umar b. al-Khattâb. Umar dit: Je vais vous contenter sur cela. (...). Un homme était venu trouver le prophète (sbdl) et lui avait demandé de lui écrire le verset de la lapidation mais le prophète (sbdl) lui avait dit qu'il ne pouvait pas alors."
Ce témoignage, ainsi que d'autres, montre que le verset avait existé et qu'ensuite il avait été abrogé. Mais sa règle punitive resta en vigeur. Toutefois, Dieu connait mieux que personne.