Alors perso, je trouve qu'il est un peu tôt pour évoquer l'automne qui arrive.
Concernant les humeurs, je ne peux pas trop te dire, là ça fait le 2e mois où hormonalement parlant, je suis à fleur de peau. Merci la ménopause qui arrive. J'ai toujours eu un syndrôme prémenstruel très fort, mais là, c'est une horreur en moi. Je ne sais même plus si je dois pleurer, rire, exploser de colère ou de joie ou de désespoir. Je passe du coq à l'âne constamment.
Mon mari en a marre d'ailleurs
Par contre, j'ai des douleurs +++ de rhumatisme atroces. Les genoux, c'est passé il y a 3 jours, c'est remonté aux hanches hier, là, ça tape sur les épaules, ça fait le tour de mon corps. C'est une horreur.
Et d'habitude, je ne connais pas ça avant au moins le mois d'octobre.
Alors soit disant que côté météo, ils ont annoncé une semaine de pluie ? Ben je confirme. Evelyne Dhéliat peut prendre sa retraite, je suis une station météo à moi toute seule mdr.
Faudrait voir quand est la pleine lune car les nuits de pleine lune, les douleurs sont souvent pires aussi. Donc s'il pleut la même semaine, ça va être ma fête. ça fait 4 jours que j'ai pas fait de sport. Je suis HS et je lutte pour ne pas prendre d'antidouleur.
C'est bien simple je ne m'appelle plus Savonnette en ce moment, mais Souffrance. Tu sais, avec l'autre de Twilight là, la méchante avec ses yeux rouges.
Sinon si on est triste c’est parce qu’on sait que c’est la fin de l’été, des coquillages et des crustacés … Que l’automne arrive et que le temps pourri arrive avec aussi … Et que y’a pas de fête mise à part Halloween 🎃 mais c’est pas maintenant Youhou ! Je vais avoir le temps de chercher mon déguisement
✨Le bonheur n’est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie.✨
Douce pluie d’un automne lointain, Les oiseaux sont bleus… bleus, Et la terre est en fête. Ne dis pas : Je suis un orage dans l’aéroport, Car je n’attends de ma patrie tombée des vitres des trains Que le mouchoir de ma mère Et des raisons de mourir encore.
Douce pluie d’un automne étranger, Les fenêtres sont blanches… blanches, Et le soleil, un verger, au couchant. Je suis une orange spoliée. Pourquoi t’échappes-tu de mon corps ? Quand je requiers du pays des couteaux et du rossignol Que le mouchoir de ma mère Et des raisons de mourir encore.
Douce pluie d’un automne triste, Les rendez-vous sont verts… verts Et le soleil est de glaise. Ne dis pas : Nous t’avons aperçu dans le trépas du jasmin. Mon visage était un soir, Ma mort, un nouveau-né. Et je ne requiers pas de ma patrie qui a oublié l’accent des absents Que le mouchoir de ma mère Et des raisons de mourir encore.
Douce pluie d’un automne lointain, Les oiseaux sont bleus… bleus, Et la terre est en fête. Les oiseaux se sont envolés vers un temps qui ne reviendra pas, Et tu voudrais connaître mon pays Et ce qu’il y a entre nous ? - Ma patrie est une jouissance sous le joug. - Mon baiser a été envoyé par la poste, Et je ne requiers de la patrie qui m’a occis Que le mouchoir de ma mère Et des raisons de mourir encore.
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