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be a écrit:
Monsieur vous n'avez rien compris. Si vous encouragez les divisions et l'esprit guerrier c'est votre droit mais pas le mien. J'espère que vous avez compris que votre pays est actuellement de plus en plus isolé à cause de ses manoeuvres inutiles. Si vous ne comprenez pas que le frein économique du Maghreb est le résultat de ses divisions c'est que vous n'avez rien compris.
L'Espagne comme le Portugal étaient des pays sous développés il y a encore trente ans avec leur intégrationn dans l'union eurpeenne ils sont devenus des grands acteurs économiques.
Si vous continuez vous et vos semblables à sponsoriser les divisions et les guerres vous resterez la ou vous êtes c'est à dire ZERO. L'Algérie est l'un des pays les plus riches d'Afrique avec ses sous sols riches alors que son peuple ne rêve que d'une chose s'echapper pour traverser la mediterranée. Posez vous les bonnes questions avant de me raconter dent pour dent!
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be a écrit:
Ce message est destiné à Monsieur Eamses, en réponse à son intervention.
D'habitude je ne lis jamais ses interventions mais comme il m'a répondu directement..
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Eamses a écrit:
Je me permets de répondre à vos points pour clarifier certaines idées et corriger quelques perceptions :
1. Sur l'esprit de division et de guerre :
L'Algérie, depuis son indépendance, a toujours défendu des principes de souveraineté, de respect des frontières héritées de la colonisation et de droit à l'autodétermination. Soutenir un peuple dans sa quête de liberté, comme le peuple sahraoui, n’est ni un appel à la guerre ni une incitation à la division. C'est une position alignée avec les résolutions de l’ONU et les principes du droit international. Si vous considérez cela comme une division, alors il faudrait revoir les bases mêmes des principes universels.
2. Sur l'isolement de l'Algérie :
Parler d’isolement est un raccourci inexact. L'Algérie entretient des relations solides avec de nombreux pays, notamment des puissances mondiales comme la Chine, la Russie et des partenaires en Afrique et en Europe. Elle joue un rôle clé dans l’Union africaine, la Ligue arabe et d'autres organisations internationales. Dire qu’elle est isolée à cause de ses positions, c’est ignorer l’importance géostratégique et diplomatique du pays.
3. Sur le frein économique du Maghreb :
Vous avez raison de souligner que les divisions freinent le développement du Maghreb. Cependant, il est crucial de se demander qui entretient ces divisions. L'Algérie a toujours défendu un Maghreb uni, mais sur des bases équitables et respectueuses des souverainetés. La persistance du dossier du Sahara occidental, par exemple, ne dépend pas uniquement de l'Algérie, mais aussi du Maroc qui refuse une solution référendaire conforme aux résolutions des Nations unies.
4. Comparaison avec l’Espagne et le Portugal :
L'intégration de l'Espagne et du Portugal à l'Union européenne a en effet contribué à leur développement, mais ce modèle ne peut pas être comparé au Maghreb. L'UE est fondée sur des bases solides d'intégration économique et de respect mutuel. Au Maghreb, le développement est freiné par un manque de confiance mutuelle et des blocages, comme la fermeture des frontières, une décision que le Maroc lui-même a contribué à justifier en multipliant les différends.
5. Sur l'Algérie et son peuple :
Vous évoquez le rêve des Algériens de quitter leur pays. Permettez-moi de rappeler que ce phénomène n'est pas unique à l'Algérie, mais concerne une grande partie des pays du Sud confrontés à des déséquilibres mondiaux. Cependant, il serait réducteur de limiter l'Algérie à cela. Malgré les défis, l’Algérie réalise des progrès, notamment dans l’éducation, la santé et les infrastructures. Les ressources du pays sont utilisées dans des projets à long terme, et les comparaisons simplistes ignorent les complexités de la gouvernance et de l'économie mondiale.
6. Appel à des discussions constructives :
Plutôt que de se lancer dans des accusations mutuelles, il serait plus productif de discuter de solutions concrètes pour construire un avenir meilleur pour le Maghreb. Cela passe par un dialogue honnête, basé sur le respect mutuel et la prise en compte des aspirations de tous les peuples de la région, y compris ceux du Sahara occidental.
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