) vivent dans la peur du départ de l'autre ou dans la frousse de la rupture. 
à tomber par terre. Plus grande que moi elle faisait 1.79 cms, pour l'embrasser, j'ai dû acheter un escabeau 
). 
Citation
M@@ a écrit:
Beaucoup de femmes et d'hommes (oui ça arrive
Les explications ne sont pas toujours rationnelles car dans le domaine de l'amour et de la passion, un simple mot de travers ou une remarque anodine peuvent avoir des conséquences tnusamesques.
On ne peut pas faire longtemps semblant d'être sympathique, mais on peut faire continuellement des efforts pour être vivable si on veut que l'autre reste, c'est à dire si on a "peur" qu'il s'en aille. Je pense que c'est bon, d'avoir peur que l'autre s'en aille. Si on croit que sa présence est acquise à tout jamais, on ne fait plus d'effort et ça se gâte. C'est le drame du mariage, soit dit en passant.
Et puis franchement, notre état d'esprit et notre façon d'être dépendent plus des circonstances que de notre personnalité profonde. Même le dernier des râleurs se détendra dans une ambiance adéquate. On peut faire l'effort de créer des circonstances favorables, et l'état d'esprit suivra.
Et puis il y a des niveaux de peur, de la simple inquiétude à la paranoïa. Certaines peurs donnent des ailes, d'autres paralysent. Certaines angoisses sont invivables pour le partenaire, d'autres sont touchantes.
En fait une certaine peur est nécessaire pour maintenir l'état amoureux et le désir sexxuel
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