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Aymen1978 a écrit:
Plus grave et pathétique encore, c'est que j'ai tendance par moment à vouloir les descendre, les attaquer dans leur amour-propre, miner leur confiance...jusqu'à ce qu'ils sombrent...à ce moment là seulement, je leur viens en aide, et c'est toujours avec la même excitation que je les assiste, en allant même jusqu'à me sacrifiant pour eux, afin qu'ils s'en sortent.
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joliedounia a écrit:Citation
Aymen1978 a écrit:
Plus grave et pathétique encore, c'est que j'ai tendance par moment à vouloir les descendre, les attaquer dans leur amour-propre, miner leur confiance...jusqu'à ce qu'ils sombrent...à ce moment là seulement, je leur viens en aide, et c'est toujours avec la même excitation que je les assiste, en allant même jusqu'à me sacrifiant pour eux, afin qu'ils s'en sortent.
tu devrais aller voir un psy!!!
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Mouna11 a écrit:
chercher à faire du bien à ceux qui vont mal, là ok, mais dire ke tu as tendance à faire sombrer même ceux qui sont déjà heureux, là alors je rejoind l'idée de princess819, dsl mais ça ne veut dire qu'une seule chose que t'as un probleme d'orgueil, que t'es le genre ki veut à tout prix être le centre de l'interêt des autres!!
et dire ke t'es un psy ? là ça devient encore plus pire
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Aymen1978 a écrit:Citation
Mouna11 a écrit:
chercher à faire du bien à ceux qui vont mal, là ok, mais dire ke tu as tendance à faire sombrer même ceux qui sont déjà heureux, là alors je rejoind l'idée de princess819, dsl mais ça ne veut dire qu'une seule chose que t'as un probleme d'orgueil, que t'es le genre ki veut à tout prix être le centre de l'interêt des autres!!
et dire ke t'es un psy ? là ça devient encore plus pire
salut,
ça n'a rien à avoir avec l'orgueil ou une quelconque quête de reconnaissance
la preuve en est que je ressens la même joie quand quelqu'un de désespéré retrouve un peu d'espoir, même si ce n'est pas moi qui l'ai aidé. comme j'ai déjà dit ce qui me fascine le plus c'est ce passage d'un état à un autre, cette émotion, cette transformation d'état d'âme...pas forcément que ça soit grâce à moi ou que que je sois le principal acteur. c'est difficile à expliquer et je sais que peu vont comprendre de quoi je parle. J'appartiens à un type de personnalité très rare (moins de 1% de la population), ce qui le rend bizarroïde auprès de la majorité des gens!
) 
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Aymen1978 a écrit:Citation
Mouna11 a écrit:
chercher à faire du bien à ceux qui vont mal, là ok, mais dire ke tu as tendance à faire sombrer même ceux qui sont déjà heureux, là alors je rejoind l'idée de princess819, dsl mais ça ne veut dire qu'une seule chose que t'as un probleme d'orgueil, que t'es le genre ki veut à tout prix être le centre de l'interêt des autres!!
et dire ke t'es un psy ? là ça devient encore plus pire
salut,
ça n'a rien à avoir avec l'orgueil ou une quelconque quête de reconnaissance
la preuve en est que je ressens la même joie quand quelqu'un de désespéré retrouve un peu d'espoir, même si ce n'est pas moi qui l'ai aidé. comme j'ai déjà dit ce qui me fascine le plus c'est ce passage d'un état à un autre, cette émotion, cette transformation d'état d'âme...pas forcément que ça soit grâce à moi ou que que je sois le principal acteur. c'est difficile à expliquer et je sais que peu vont comprendre de quoi je parle. J'appartiens à un type de personnalité très rare (moins de 1% de la population), ce qui le rend bizarroïde auprès de la majorité des gens!
!! les gens heureux faut leur foutre la paix!! 
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Aymen1978 a écrit:
j'aime faire plaisir aux gens. en fait ça me fait tellement plaisir de leur faire plaisir que ça en est devenu même ma première motivation dans la vie. mais je viens récemment seulement de comprendre ce qui me pousse tellement à être aussi généreux, bon et altruiste. ce qui m'attire, m'excite, me rend fou de joie c'est cet éclat dans leurs yeux, cette émotion qui les submerge quand je leur fais preuve de ma grande générosité et de mon extrême bonté. Mais cette émotion n'est aussi pure, aussi sincère et entière que quand ces mêmes gens passent d'un état de détresse extrême à celui d'une euphorie absolue. quand ils sont déjà heureux et bien dans leurs peaux, cela ne leur fait rien du tout et ma déception et ma frustration sont immenses. Maintenant seulement j'ai compris pourquoi j'ai tendance à n'exhiber mes belles qualités que face à ceux qui souffrent le plus et au moment où ils s'y attendent le moins. avec les autres je suis au mieux distant et froid, au pire cynique et insensible!
Plus grave et pathétique encore, c'est que j'ai tendance par moment à vouloir les descendre, les attaquer dans leur amour-propre, miner leur confiance...jusqu'à ce qu'ils sombrent...à ce moment là seulement, je leur viens en aide, et c'est toujours avec la même excitation que je les assiste, en allant même jusqu'à me sacrifiant pour eux, afin qu'ils s'en sortent.
Comme les gens qui me sont les plus proches trouvent normal et naturel toute générosité de ma part au point qu'ils s'en émeuvent très peu, leur satisfaction ne me séduit pas tant que ça. Et c'est la raison pour laquelle, ma face la plus brillante, humaniste et chaleureuse, je la réserve le plus souvent à ceux qui me sont les plus étrangers...ce qui déconcerte mon entourage qui trouve que je ne sais pas gérer les priorités et que je donne aux plus éloignés, ce qui n'est pas faux!
Tel est mon état, j'oscille en permanence entre la bonté extrême et le cynisme absolu, au point que j'ai souvent du mal à me connaitre. Comment peut-on être très bon et très mauvais à la fois?
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Aymen1978 a écrit:
j'aime faire plaisir aux gens. en fait ça me fait tellement plaisir de leur faire plaisir que ça en est devenu même ma première motivation dans la vie. mais je viens récemment seulement de comprendre ce qui me pousse tellement à être aussi généreux, bon et altruiste. ce qui m'attire, m'excite, me rend fou de joie c'est cet éclat dans leurs yeux, cette émotion qui les submerge quand je leur fais preuve de ma grande générosité et de mon extrême bonté. Mais cette émotion n'est aussi pure, aussi sincère et entière que quand ces mêmes gens passent d'un état de détresse extrême à celui d'une euphorie absolue. quand ils sont déjà heureux et bien dans leurs peaux, cela ne leur fait rien du tout et ma déception et ma frustration sont immenses. Maintenant seulement j'ai compris pourquoi j'ai tendance à n'exhiber mes belles qualités que face à ceux qui souffrent le plus et au moment où ils s'y attendent le moins. avec les autres je suis au mieux distant et froid, au pire cynique et insensible!
Plus grave et pathétique encore, c'est que j'ai tendance par moment à vouloir les descendre, les attaquer dans leur amour-propre, miner leur confiance...jusqu'à ce qu'ils sombrent...à ce moment là seulement, je leur viens en aide, et c'est toujours avec la même excitation que je les assiste, en allant même jusqu'à me sacrifiant pour eux, afin qu'ils s'en sortent.
chér ayman,un grand bonjour d'abord,que tu sois conscient de ce probléme est déja un bon début à sa resolution,
malheureusement,cette solution,ne peut venir que de toi méme,c'est toi de trouver le juste milieu,un equilibre de tes rapports avec ces gens qui t'entourent,le compromis et la solution viendra d'elle méme,si tu réfléchis la dessus et dans ce sens.salu à bientot
Comme les gens qui me sont les plus proches trouvent normal et naturel toute générosité de ma part au point qu'ils s'en émeuvent très peu, leur satisfaction ne me séduit pas tant que ça. Et c'est la raison pour laquelle, ma face la plus brillante, humaniste et chaleureuse, je la réserve le plus souvent à ceux qui me sont les plus étrangers...ce qui déconcerte mon entourage qui trouve que je ne sais pas gérer les priorités et que je donne aux plus éloignés, ce qui n'est pas faux!
Tel est mon état, j'oscille en permanence entre la bonté extrême et le cynisme absolu, au point que j'ai souvent du mal à me connaitre. Comment peut-on être très bon et très mauvais à la fois?
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