Le Maroc avait déjà préparé ses plans en cas de non-reconduction du contrat par nos voisins de l'Est. Et on assiste ces dernières semaines au début des opérations : premièrement le partenariat mis en service avec l'Espagne et deuxièmement l'accord avec l'entreprise d'exploitation Sound Energy. Le Maroc n'a jamais eu l'idée de laisser rouiller le GME et maintenant qu'il détient 100% de ses actions, il peut l'utiliser comme bon lui semble.
Donc en conclusion nous avons un pays qui parle trop (Algérie) et un autre qui se tait et prépare le coup d'après (Maroc).