Deux jours après le verdict dans le cadre de l’affaire Hajar Raïssouni, des médecins sont montés au créneau en rappelant le principe du serment d’Hippocrate qui les lie à leurs patients. En effet, ils considèrent que ce procès risque de conduire plus de gynécologues à ne pas prendre en charge les cas de complications d’IVG ou même de simples fausses couches.