A rebours des espoirs du Polisario et de l’Algérie, l’administration Trump a réaffirmé publiquement la marocanité du Sahara occidental. Un succès pour le royaume à seulement quelques jours de la réunion du 14 avril du Conseil de sécurité.
Daté de 1977, un document de la CIA indique que les revendications du Maroc sur le Sahara vont au-delà des intérêts économiques, pour englober des aspects religieux et historiques. Il affirme que les puissances coloniales avaient découpé le territoire marocain. Devant ce fait accompli, les Marocains n'ont pas été prêts à renoncer au Sahara occidental.
Dans un virage protectionniste majeur, le président américain Donald Trump a annoncé une série de tarifs douaniers réciproques visant plusieurs pays. Selon les nouveaux barèmes dévoilés à la Maison-Blanche, le Maroc sera soumis à une taxe de 10 % sur ses exportations vers les États-Unis, tandis que la Tunisie et l’Algérie seront respectivement taxées à 28 % et 30 %.
Poignard traditionnel marocain, la koummya a longtemps été utilisée dans les combats, avant de devenir un objet décoratif de valeur. Une version en or est devenue virale sur Instagram, vendue pour 70 000 dollars à une collectionneuse marocaine férue de l'histoire royale. Les souverains marocains ont longtemps offert de telles pièces à des personnalités, dont les présidents Roosevelt et Clinton.
Avec le retour de Donald Trump à la Maison blanche, les relations entre le Maroc et les Etats-Unis sont appelées à entrer dans une nouvelle ère. En témoigne la présentation d'une initiative parlementaire portée par deux députés américains, honorant les liens historiques entre les deux pays. Explications.