Ce corps d’experts indépendants, chargé de contrôler l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant de l’ONU, estime que le Maroc ne remplit pas ses engagements, malgré les recommandations maintes fois émises à son égard ces dernières années.
Le dossier des détenus salafistes est loin d’être clos. La libération, février, des têtes d’affiche de ce courant n’est que l’arbre qui cache la forêt. Il y a encore environ 1000 prisonniers islamistes dont certains sont en grève de la faim depuis le 9 avril. Des ONG sonnent le tocsin.
En France, L’UMP ne cesse de craindre que, en cas de conflit armé, les binationaux ne choisissent l’autre camp. Un problème déjà résolu par des accords internationaux.