Comme en 2005, la migration offre à l’Espagne de Pedro Sànchez une occasion de réclamer davantage de soutien financier à l’Union européenne. Et comme en 2005, cette politique s’appuie, en partie, sur l’engagement du Maroc.
Podemos persiste et signe. La formation d’extrême de gauche, résolument anti-Maroc, a mis en garde l’exécutif espagnol contre les conséquences d'une entente avec le royaume pour régler le problème de la migration.
Abdelmalik el Barkani a pris possession, hier, de son poste de délégué du gouvernement à Melilia. Un poste proche de celui de préfet en France. Il est le premier musulman a accéder à cette fonction dans toute l'histoire de l'Espagne démocratique.