La délégation marocaine qui prend part à une réunion préparatoire du sommet Japon-Afrique, à Tokyio, a déjoué une manœuvre algérienne visant à imposer le Polisario. Une violation de la souveraineté du pays hôte qui n’a pas invité le mouvement séparatiste.
L’Algérie tente une mobilisation des membres de l’Union africaine pour défendre la présence du Polisario aux réunions avec les partenaires internationaux, alors que la Chine, la Russie, l’Italie, l’Inde, la Corée du sud, les Etats-Unis et l'Arabie saoudite excluent le mouvement séparatiste de la liste de leurs invités.
Hormis les événements de la récente TICAD, où le Maroc a claqué la porte de la conférence après l’accueil réservé par le président du pays hôte au secrétaire général du Polisario, le royaume garde une place importante en Afrique pour le Japon. Il est le pays africain qui bénéficie le plus des investissements japonais, selon un Reserach Paper du Policy Center for the New South