Le Polisario s’est saisi de la controverse sur les vacances de Pedro Sánchez au Maroc, en reprochant au président du gouvernement espagnol par intérim des «liens douteux» avec Rabat. Dans le contexte post-électoral en Espagne, l’extrême gauche a aussi récupéré le sujet, dans une alliance de circonstances avec la droite. En résonnance, le séjour fait couler de l’encre en Algérie.
Dès le lendemain de la publication d’images du président du gouvernement espagnol par intérim, Pedro Sánchez, sur la Place Jemaâ El Fna à Marrakech lors d’un séjour estival privé au Maroc, les formations de droite se sont enflammées. Espérant passer de l’opposition à l’exécutif après les législatives anticipées, le PP a ouvert le bal, avant d’être
Bien qu'annoncé dans les sondages, le raz-de-marée du bloc de la droite aux législatives espagnoles du 23 juillet, ne s’est pas produit. Pedro Sanchez a de fortes chances de continuer l'aventure gouvernementale lancée en 2018. Une nouvelle qui devrait rassurer le Maroc.
Dans le sillage du 102e anniversaire de la Bataille d’Anoual (20 et 21 juillet 1921) dans la région du Rif, l’Assemblée mondiale amazighe (AMA) a adressé une correspondance aux représentants de l’UE, concernant le processus de réparation par l’Espagne et la France, à la suite de la guerre chimique menée à l’époque contre les civils. Plus d’un siècle après les faits, le processus
En Espagne, le PSOE de Pedro Sánchez continue de prendre ses distances du Polisario et de l’Algérie. En témoigne son programme électoral qui a ignoré les relations avec l’Algérie et certaines revendications phares du Front.