A l'approche des élections en Espagne du 28 mai, la «fraude électorale» n’est plus circonscrite uniquement à Melilla. De présumés cas sont identifiés en Andalousie, Iles Canaries, Valence et Galicie. Les deux grandes formations politiques en Espagne (Parti populaire et PSOE) se rejettent la responsabilité.