Si globalement, le nombre d’exécutions a drastiquement baissé durant les 10 dernières années, les condamnations sont toujours prononcées, notamment au Maroc où 93 personnes attendent dans le couloir de la mort, selon un nouveau rapport d’Amnesty International.
Dans la matinée du 1er novembre 1973, coïncidant avec le jour de l’Aïd Al Adha au Maroc, le royaume exécutait par balle 16 opposants au régime de feu le roi Hassan II. L’exécution aura lieu à Kenitra, comme le rapporte l’ouvrage de Mohamed Louma publié en 2003 et intitulé Attaoura Al Maou’ouda (la Révolte avortée). Histoire.
Des Marocains réagissent au viol de l’enfant Imrane à Casablanca. Une mère lance une pétition sur le net réclamant l’exécution des coupables. En avril 2015, une ONG féminine, le Forum Azzahra -émanation du PJD- avait proposé de castrer chimiquement les pédophiles.
Pour une fois le Maroc n’a pas exprimé son total soutien à la décision des autorités saoudienne pour l'execution d'un dignitaire chiite. En revanche, Rabat a mis en garde contre une escalade qui risquerait de s’étendre à d’autres pays de la région.
Une équipe de recherche de l’université du Pays basque a découvert une fosse commune au Sahara datant de 1976. Selon la presse ibérique, huit Sahraouis auraient été trouvés dans ce charnier et deux d’entre eux seraient parents. Sur leur mort, la version des chercheurs ibériques prend le contre-pied de celle donnée par les autorités marocaines.