A chaque annonce d’une nouvelle commande des Forces armées royales (FAR), c’est le branle-bas de combat en Espagne. Cette agitation est une constante de la politique espagnole. La sortie, de ce vendredi, de José Maria Aznar n'en est qu'un symptôme de plus.
Malgré les fanfaronnades médiatiques, le Polisario admet la perte du contrôle sur ses «territoires libérées». Après le 16e congrès, l’Algérie accueille également un autre rendez-vous important dans l’agenda du Front, traditionnellement organisé à Tifariti.