Au milieu des années 1980, au plus fort du conflit opposant l’Occident au leader libyen Mouammar Kadhafi, la Grande-Bretagne craignait que Gibraltar ne soit attaqué par la Libye depuis le Maroc. Un document secret révèle comment le contrôle sécuritaire visant des Marocains installés à Gibraltar s’était intensifié à l’époque.
Les demandes marocaines pour la récupération de Ceuta et de Melilla s’étaient intensifiées au début des années 1970. Le roi Hassan II insistait même pour lier le sort des deux présides occupés à celui de Gibraltar sous contrôle britannique, revendiqué par l'Espagne.
Dépêché par le sultan alaouite Moulay Mohammed Ben Abdellah pour le représenter auprès du roi Georges III d’Angleterre, Jacob Benider souffrira de discrimination. Portrait d’un Britannique de confession juive, nommé en 1772 comme ambassadeur du Maroc à Londres.
Au nord du Maroc, se trouve le mont Moussa entre plages turquoises et la verdure des montagnes. Si les touristes affluent de plus en plus sur les côtes mediterannéennes, le mont Moussa abrite également une espèce menacée : le vautour fauve.
Des chercheurs d’épaves ont découvert un navire pirate barbaresque du XVIIe siècle lourdement armé, au large du Maroc. Ayant probablement servi à la capture d’esclaves, c’est le premier du genre à avoir été retrouvé près des côtes barbaresques. Il en dit long sur l’histoire de l’Afrique du Nord et de la piraterie.
Nous sommes en juin 1940. L’armée allemande parade sur les Champs Elysées. Avec la bénédiction d’Hitler, le général Pétain a mis un gouvernement fantoche. La vieille carte de l’Europe, issue du congrès de Paris de 1919, était en train de se défaire. Le Maroc, colonie française, était sur le point d’en subir les conséquences. C’est ce que révélait en septembre
Même si l’Etat marocain a mis en sourdine ses revendications territoriales sur Gibraltar, le Maroc est au cœur de toute solution politique du conflit hispano-britannique sur le Rocher. C’est ce que confirme, d'ailleurs, une lettre datant de juin 1940.
Avec un gouvernement de droite en Espagne, il faut toujours s’attendre à la résurrection de vieux conflits territoriaux. Sous l’ère Aznar c’était avec le Maroc, puis avec Rajoy c’était avec la Grande-Bretagne sur la question de la souveraineté sur Gibraltar. Et pourtant, un document inédit datant de 1982, de l’époque de Margaret Thatcher montre que le roi d’Espagne redoutait les conséquences