Quel point commun entre les 10 plaies d'Egypte et les 10 plaies de Casablanca ? Si on écoute de nombreux Casablancais, la réponse est évidente : l'apocalypse. La ville ogresse n'a jamais laissé indifférente ses habitants, mais ces dernières années, beaucoup de voix appellent à un peu plus de douceur pour que Casa redevienne la Blanche. Cette série d'articles propose une plongée dans les méandres d’une
Pour interpeller les responsables de la sécurité nationale sur les problèmes liés à l'insécurité, des internautes marocains ont récemment adhéré à une campagne sur les réseaux sociaux avec le hashtag #Zero_Grissage (zéro agression).
Le phénomène du «Tcharmil» est de retour dans plusieurs villes marocaines. Des groupes de jeunes mènent depuis quelques jours des attaques rapides contre des passants. Contrairement au contexte qui prévalait l’année dernière, cette insécurité ne semble pas inquiéter outre mesure les médias.
En presque trois mois de mobilisation, la police a, selon les chiffres du ministre de l’Intérieur, réussi à faire baisser la criminalité au Maroc. Mohamed Hassad en est même d'ailleurs surpris. L’action contre le phénomène du tcharmil a fait tomber des hauts gradés dans les rangs de la police et des préfets ont été contraints de quitter leurs postes.
Alors que l’actualité bouillonne d’informations sur l’arrestation de criminels en tout genre, le ministre de l’Intérieur se veut rassurant. Mohamed Hassad a affirmé, hier après-midi, que la criminalité a baissé. Détails.
Depuis le 7 avril, date de la publication des instructions du roi Mohammed VI au ministre de l’Intérieur, les services de la police multiplient les actions contre les milieux de la délinquance et «sanctionnent» quelques agents. Des mesures désormais accompagnées par une invitation aux policiers d'être à l’écoute des citoyens et de la société civile.
Si à Casablanca, les faits de délinquances et des arrestations des adeptes du tcharmil sont largement médiatisés, il y a aussi des affaires de policiers ripoux, plus rarement mis en avant dans la presse. Un ancien MRE, actuellement en prison à Oukacha, se dit victime d'un policier ripoux. Détails.
Le suicide d’un jeune de Sidi Bettach, victime d’une opération forcée de rasage de cheveux par un agent de l’Administration territoriale occupant le rang de caïd, serait-elle derrière la chute du n°1 des Forces auxiliaires au Maroc, le général Haddou Hajjar, qui n’est autre que le père du caïd. Un homme qui avait déjà par le passé, sauvé son fils de sanctions de sa hiérarchie.
Le Caïd de Sidi Bettach est actuellement dans une position plus que délicate. Il risque de perdre son poste après la mort d’un jeune homme arrêté par ses éléments qui l'aurait violenté, le prenant pour un adepte du tcharmil. Le procureur général du roi près la Cour d'Appel de Casablanca vient d’ouvrir une enquête pour élucider les circonstances de ce décès et promet de