Une enquête interne publiée aux Pays-Bas révèle que le Maroc a accepté en 2018 de rapatrier ses ressortissants irréguliers, contrairement aux accusations portées à l’encontre de Rabat cette année, par des responsables politiques néerlandais. En réalité, c’est la faute du ministère de la Justice qui aurait perdu de vue une cinquantaine de Marocains.
Les 6 Subsahariens qui refusent encore d’être renvoyés dans leur pays ont annoncé qu’ils entamaient une grève de la faim. En situation irrégulière, ils ont été arrêtés et condamnés à du sursis suite aux manifestations qui ont agité Tanger après le meurtre du Sénégalais Charles Ndour.
La mort des immigrés qui tentaient de rejoindre Ceuta la semaine dernière fait encore du bruit en Espagne. Après les politiques de gauche, les ONG mettent la pression sur le gouvernement. L’une d’entre elles a porté plainte et une enquête vient d’être ouverte. De son côté, la police espagnole tente de calmer le jeu, mettant toujours en avant que le drame s’est produit sur les côtes marocaines.
Un petit hôtel de Rabat est rempli de familles syriennes fuyant la guerre. Elles seraient des milliers dans tous le pays. Accueillies et tolérées par les autorités marocaines, elles n’ont aucun droit, y compris à un séjour régulier, en dépit des promesses du gouvernement. Reportage.