Ces pharmaciens sont également autorisés à accepter les ordonnances antérieures des assurés qui sont dans l’impossibilité d’accéder à leurs médecins en cette période d’exception, indique la CNOPS, le tout étant d’éviter les ruptures de traitement.
Après cinq jours de bras de fer, le ministre de la Santé Anas Doukkali a rencontré les représentants du corps médical, de la CNOPS et de l’ANAM, afin de dépasser la situation de blocage après la décision de la CNOPS de prendre en charge les césariennes de convenance sur la base d’un accouchement pas voie basse.
A partir du 1er mai, la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale (CNOPS) facturera les accouchements par césarienne sur la base de ceux par voie basse, sauf motivation clinique écrite où le médecin traitant donne une explication clinique à ce recours. Selon les chiffres de la Caisse, c’est le privé qui se taille la part du lion de cette pratique où des abus sont suspectés.