Agriculteurs, éleveurs et Marocains s’inquiètent depuis quelques semaines de l’impact du déficit pluviométrique que connaît le royaume. Si la céréaliculture et l’élevage restent les secteurs les plus touchés, les autorités promettent de l’orge subventionnée et des indemnisations pour «soulager les agriculture».
Le Centre marocain de conjoncture a livré, hier à Casablanca, les conclusions de son étude exploratoire sur les voies d’émergences dans l’économie marocaine. Une analyse qui planche sur les enjeux d’un objectif de taille : maintenir une croissance économique soutenue et surtout régulière.
L’automne et le début de l’hiver ont été extrêmement chauds et secs cette année. La culture des céréales ne s’en relèvera pas. La gestion des ressources en eaux devient difficile et des choix s’imposent au détriment des agriculteurs. Cette année, les Marocains n’auront pas de pastèque de Zagora en mai.