En trois semaines, le Maroc a enregistré la réforme du code pénal qui condamne désormais plus sévèrement la corruption, et la publication de la liste des magistrats promus et sanctionnés par la Conseil supérieur de la magistrature. Elles forment des avancées réelles dans la lutte nationale contre la corruption, mais reste en deçà des attentes de l'Instance nationale de protection des biens publics et de