Depuis le début de ramadan, la grande bataille du feuilleton est lancée (sauf pour les Syriens qui, hélas pour eux, ne font pas dans la métaphore). Comme à l’accoutumée, rien ne filtre sur les statistiques d’audience mais le brassage médiatique fait autour de la diffusion d’Omar confirme qu’il s’agit bien de la grosse opération de la saison. Signe des temps, c’est sur les réseaux sociaux que
Le jeûne de ramadan arrive, accompagné comme de coutume par son festin de séries télévisées, avec cette année une super-giga-méga production sobrement intitulée, du nom du second calife, Omar (Ibn al-Khattâb). Présentée dans un clip de promotion (voir ci-dessous, il sera commenté la prochaine fois) sous le slogan «Ramadan nous rassemble», la série a été financée
Personne ou presque ne peut échapper aux fameuses telenovelas au Maroc, ces séries mexicaines, turques ou indiennes. Depuis 8 mois, fini l'arabe classique, ces séries sont désormais traduites en darija. Alors pourquoi la darija ? Et comment sont traduites ces séries ? Yabiladi a posé ces questions à Jérome Boukobza, directeur associé de Plug In, premier studio de doublage au Maroc.