Fin octobre, le Parlement européen avait rejeté une demande pour examiner, lors d’une séance plénière, les arrêts de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) rendus quelques semaines plutôt, portant sur le commerce au Sahara. Six mois après cet échec, ils refont du forcing.
En phase avec la campagne lancée, depuis des mois, par des eurodéputés espagnols contre la tomate marocaine, deux organisations professionnelles agricoles européennes viennent à leur tour demander à la Commission européenne de revoir à la baisse les quotas de ce produit autorisé à entrer sur le marché des Vingt-sept.