Le scandale de la facture de chocolats fera-t-il fondre la carrière politique du ministre Abdelâdim El Guerrouj? En tout cas celui-ci ne devrait pas trop compter sur le soutien de son parti, et surtout pas celui de Mohand Laenser, son supérieur hiérarchique au sein du Mouvement populaire, qui s’est empressé de le lâcher.
Selon le quotidien arabophone Al Akhbar, l’ancien ministre de la Fonction publique aurait réglé, le jour même du remaniement ministériel, une facture de plus de 30 mille dh de gâteaux et chocolats. Un achat destiné, toujours selon le journal qui publie la facture, à une fête familiale. Détails.
Après les 228.000 dh gaspillés annuellement chez le fleuriste du coin, samedi nous révélions l’affaire Génériques, du nom de cette association française qui avait bénéficié, en 2009, d’une subvention du CCME d’un montant de 100.000 euros. Sommes-nous en face d’un cas de conflit d’intérêt ? Sachant que Driss El Yazami a une double casquette, il est à la fois le
En plein débat sur les mesures d’austérité, les possibles augmentations des prix des produits de première nécessité et la réforme de la Caisse de compensation, le procès de la CNSS donne une toute autre image du Maroc, celle d’un pays riche qui autorise ses responsables à gaspiller des milliards de dirhams dans des projets fantômes.
4 mois d’un long procès intenté par Driss Ajbali à Yabiladi.com qui a pris fin en seulement 8 jours. Comment la manœuvre judiciaire initiée par le coordinateur général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) pour intimider et museler un média devenu gênant a-t-elle fini par trouver une issue en dehors du tribunal ? Plongée dans les coulisses.
En 2009, sur les 35 partis autorisés à exercer légalement, seuls 21 ont joué le jeu en présentant à la cour des comptes, des rapports financiers. En 2010, ils ne sont que 18 à le faire. L’opacité est toujours de rigueur chez les formations. Le rôle strictement consultatif de la CC participe à cet état des lieux.
Impunité, c'est le sentiment qui traverse de nombreux citoyens face aux révélations de ces premières semaines de l'année avec notamment l'affaire Maroclear et CCME. En vue de bousculer ces normes et faire de la reddition des comptes la règle, Yabiladi a sollicité l'avis d'un président d’une association et d'un député, membre de la Commission de la Justice, sur les moyens à même d’assurer une
Le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger dépenserait 228 000DH de fleurs par an. Un extrait d'une note de synthèse sur les comptes mentionne la dépense fixe de 19 000DH mensuel du CCME chez «le fleuriste». Note sallée pour le contribuable marocain.
Depuis le 20 février 2011 et le mouvement éponyme, les révélations sur la mauvaise gestion de l'argent public s'enchainent. La bonne gouvernance, la transparence et la reddition des comptes étant devenues des principes constitutionnels entre-temps, il est de notre devoir de vous révéler le dernier épisode de la série #Chérie, où as-tu mis l'argent public ?
Visiblement, les responsables marocains ont un faible pour le chocolat. Du moment qu’il s’agit d’argent public, ils cèdent facilement à la tentation. Hier c’était Habib Malki à l’époque où il était ministre de l’Education nationale et aujourd’hui, c’est Fathia Bennis, la directrice d’une société publique de placement boursier, qui lui emboîte le pas. Détails.