Le Wali de Bank Al-Maghrib a estimé, ce mardi, que la relance de l’économie marocaine sera «lente» et durera dans le temps pour certains secteurs. Tout en dressant un tableau noir de la situation, il a plaidé pour l’accélération des réformes pour renforcer la résilience de l’économie et du social.
Bank Al Maghrib envisageait le projet en juin dernier. La banque centrale marocaine vient de le relancer en conférence de presse : le Maroc va revoir la composition de son panier de devises, dans le but d’amoindrir sa dépendance vis-à-vis de son premier partenaire économique à savoir l’UE. Si les raisons de fond d’une telle décision sont évoquées, l’économiste Najib Akesbi dénonce un «secret
Bank Al Maghrib a réitéré, mardi, ses prévisions de croissance ainsi que celle de son taux directeur et conclu que le gouvernement Benkirane est capable de réduire le déficit cette année, comme prévu. La Banque a, en outre, passé en revue le nouveau système d’indexation sur les prix des carburants, estimant que, non seulement cela permettrait de dégager des grosses économies, mais aussi, son impact sur