Bien qu’il figure à la 76e place mondiale dans l’indice de préparation aux technologies de pointe, le Maroc est l’un des 20 pays en développement qui font preuve d'une capacité d'utilisation, d'adoption et d'adaptation plus forte que ne le laisserait supposer leur PIB par habitant.
Bien qu’il gagne deux places par rapport l’édition revisitée de cet indice, publié annuellement par la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement, le Maroc est devancé par la Tunisie, l’Algérie et la Libye.
Dans ses prévisions, la CNUCED classe le Maroc comme le 7e pays le plus touché par l’impact du coronavirus sur le secteur touristique. Le royaume perdra entre 5 et 9% du PIB et entre 58 et 110 milliards de dirhams en valeur.
Bien qu’il figure toujours parmi les 10 pays africains les mieux préparés au commerce en ligne, selon le B2C E-commerce Index 2019 de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement, le Maroc recule comparé à l’année dernière, s’inclinant aussi devant ses voisins arabes.
La Zone de libre-échange continentale suppose la mise en place de dispositifs et de politiques complémentaires pour renforcer le lien entre commerce et industrialisation en Afrique.
Le Maroc figure parmi les 10 pays africains les mieux préparés au commerce en ligne, selon le B2C E-commerce Index 2018 de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement.
Dans l’édition 2018 de son rapport sur le transport maritime, la CNUCED situe le Maroc à la première place des pays les plus connectés en Afrique. Le royaume améliore sa position dans le classement depuis 2004.
Dans son rapport sur la migration et ses transformations structurelles en Afrique, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement plaide pour une régularisation des travailleurs migrants, dont la contribution aux économies nationales est pleinement reconnue.