Les négociations sur l’accord de libre-échange approfondi et global entre le Maroc et l’Union européenne (UE) n’ont pas encore abouti, mais un expert européen se veut porteur de bonne nouvelle pour le royaume. D’après son analyse, le protocole biparti permettrait au gouvernement chérifien de gagner 1% du PIB annuel. Une évaluation très alléchante pour le Maroc, mais déclarée erronée
L’UE tient à ce que leurs chalutiers reviennent le plus tôt possible dans les eaux atlantiques du Maroc. Bruxelles entend bien accélérer la cadence des négociations avec le Maroc en vue de la conclusion d’un nouvel accord de pêche.
Asphyxiée par la crise, l’Union européenne se tourne vers le Maroc, pour redorer le blason de son économie et ce dans le cadre du partenariat qui lie les deux parties. L'UE estime que le royaume chérifien mérite de tirer profit des opportunités qu'il accorde à l'Union.
Washington accueille, ce jeudi, la première session du dialogue stratégique entre le Maroc et les Etats-Unis qui réunit le ministre marocain des affaires étrangères, M. Saad Ed-dine El Othmani, et son homologue américaine, la secrétaire d’Etat, Hillary Clinton. Marquant le point culminant des relations bilatérales maroco-américaines, cette rencontre a pour objectif de porter le partenariat entre Washington et Rabat à un
Hier, Mercredi 13 juin, l’Office Chérifienne des Phosphates a annoncé qu’elle s’associait dans une joint-venture avec le groupe turc Toros Agri afin de renforcer sa présence sur le marché des engrais dans la région des Balkans. L'objectif à long-terme du groupe est d'asseoir son leadership mondial dans le secteur des fertilisants phosphatés.