Des extraits du rapport datant de 2013 de la Direction Générale de la Sécurité Extérieur de la France révélaient que l’Algérie avait encouragé le groupe Mokhtar Belmokhtar pour mener des attaques contre les intérêts du Maroc au Sahara occidental. Des révélations, désormais, confirmées par les services de Mike Pompeo.
A moins d’un mois des présidentielles américaines du 8 novembre, Wikileaks vient de publier une nouvelle salve d'emails d’Hillary Clinton. Les liens entre les Clinton et le Maroc y sont présents. Des liens qui remontent aux années Hassan II et qui se sont nettement améliorés grâce notamment aux dons du royaume aux actions caritatives de la Fondation Bill Clinton.
«Donald Trump me fait un peu peur», a reconnu le chef du gouvernement. Abdelilah Benkirane a déclaré, dans une interview accordée à un média américain, que la victoire d’Hillary Clinton à l'élection présidentielle du 8 novembre sera dans l’intérêt des relations entre Rabat et Washington.
L’Algérie aurait encouragé le jihadiste Mokhtar Belmokhtar à attaquer les intérêts du Maroc au Sahara, selon des mails d'Hillary Clinton récemment révélés par Wikileaks.
La candidate aux primaires du parti démocrate aurait émis le souhait de voir une victoire du PJD aux prochaines élections législatives. Il faut dire qu’au moment où elle était à la tête de la diplomatie américaine (janvier 2009-janvier 2013), Hillary Clinton s’était nettement rapprochée des partis islamistes des pays de la région MENA.
Suite à la polémique suscitée par le don de l’OCP à la Fondation Clinton, celle-ci avait fait part de son intention de revoir les règles quant aux dons venant de l’étranger. C’est désormais chose faite et les dons de nombreux pays à travers le monde dont le Maroc – seront désormais soumis à une condition. Détails.
Les relations diplomatiques tanguent au rythme des intérêts. En juin dernier, Wendy Sherman, la n°2 de la diplomatie américaine, chargée des questions politiques, qualifiait, lors d’une visite à Alger, le plan marocain d’autonomie au Sahara d’«option crédible que nous saluons». Trois mois plus tard, changement de décor. Le Maroc est pointé du doigt, par John Kerry, pour des violations de droits de