Le 10 avril 1947, le sultan Mohammed Ben Youssef se rendait à Tanger, en compagnie du prince héritier Moulay Hassan et de la princesse Lalla Aicha. L’occasion de prononcer un discours historique qui marquera la rupture entre la monarchie alaouite et la Résidence générale. Histoire.
Un historien marocain révèle que El Khattabi avait refusé d’être roi du Maroc à la place de Mohammed V. Il s'agissait d'une offre française faite au rifain via Allal El Fassi.
Entre février et mars 1961, l'histoire du Maroc retient deux principaux faits marquants. D’abord, le décès prématuré du roi Mohammed V puis l’intronisation, le 3 mars 1961, du roi Hassan II.
Le 2 mars 1956 acte officiellement la fin du protectorat français au royaume. Pendant le règne de Mohammed V, en sa qualité de roi du Maroc libre et de sultan, la fête de l’indépendance était célébrée à cette date. C'est sous Hassan II qu’il y a eu le changement qui prévaut encore aujourd’hui malgré des tentatives d’honorer ce jour en 2011.
Le 26 février 1961, le roi Mohammed V est décédé après une intervention chirurgicale bénigne. Une mort qui garde encore quelques mystères et qui a soulevé plusieurs questions à travers les décennies.
Après l’indépendance du Maroc, le royaume appelait à l’annexion de la Mauritanie, encore sous colonisation française, dans un discours du roi Mohammed V le 25 février 1958 à M’Hamid El Ghizlane. Un discours qui évoquait clairement la subordination du pays de Chenguit, une revendication adoptée également par le parti de l’Istiqlal.
Le nom de l'auteur de la sculpture du Lion d'Ifrane reste un mystère. Si certaines hypothèses évoquent le sculpteur français Henri Jean Moreau, d'autres suggèrent une création des prisonniers italiens et allemands. Entre diverses affirmations, des recherches désignent Moreau plus souvent, durant les années 1930.
La génèse de la Fête du trône au Maroc remonte à 1933, lorsque l’écrivain algérien Mohamed Ben Saleh Maysa, qui vivait dans le pays, en a eu l’idée.