Après la participation au Mondial de Russie, Hervé Renard continuera-t-il à diriger les Lions de l’Atlas au moins jusqu’au terme de son contrat en 2022 ? La question taraude bien d’esprits aussi bien au Maroc qu’ailleurs.
Malgré l’élimination dès le premier tour, le Français est convoité par les présidents de fédérations de football de pays africains et asiatiques. L’Egypte, l’Algérie, l’Arabie saoudite, les Emirats et même le Japon seraient intéressés par les qualités de l’entraineur du Onze national.
Aujourd’hui, un média égyptien affirme que Hazem Imam, un membre de la fédération de football et ancien joueur des Pharaons, a rencontré Hervé Renard et lui a proposé un salaire supérieur à celui qu’il gagne avec les Lions de l’Atlas.
En presque 28 mois d’exercice, le Français a réussi à qualifier le Maroc au Mondial 2018 dans un groupe de la mort, comptant le Mali, le Gabon et la Côte d’Ivoire.
Mardi, à bord de l’avion qui le menait au Sénégal pour y passer quelques jours de vacances, Hervé Renard a démenti, dans des déclarations à 2M, toutes les rumeurs de son départ du Maroc. «Pour l’instant, les choses sont claires. J’ai un contrat jusqu’en 2022. Pour l’instant, je suis là».
Néanmoins, il a souligné que de retour au royaume il abordera la question de son avenir avec son «patron» le président de la Fédération royale de football, Faouzi Lakjaâ.