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Breve

Une ONG réclame le droit des Marocains de non-jeûner publiquement

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C’est devenu un marronnier qui se répète à chaque début de Ramadan. Des défenseurs des libertés individuelles au Maroc réclament une abrogation de l'article 222 du Code pénal.

«Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l'emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 12 à 120 dirhams», mis en garde le texte. 

Cette année, l’appel émane du Collectif «Akaliat» (Minorité), connu pour plaider la cause homosexuelle. L’ONG lance une campagne, durant le Ramadan, pour revendiquer le droit des Marocains de non-jeûner publiquement.

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