Menu

Grand Angle

Tindouf : De nombreux Sahraouis souhaitent regagner le Maroc

La vie à Tindouf en Algérie ne séduit plus les Sahraouis dans les camps. Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir regagner le Maroc. Néanmoins, il doivent s’armer de patience pour retourner au royaume. Explications.

Publié
DR
Temps de lecture: 2'

Leur nombre augmente au fil des jours. Eux, ce sont les Sahraouis, parfois des familles entières, venant des camps de Tindouf en Algérie, qui font quotidiennement la queue devant la porte du Consulat du Maroc à Nouadhibou en Mauritanie pour y déposer des demandes de retour au Maroc. Un kilomètre plus loin se situe l'aéroport international de Nouadhibou, pour revenir au pays après des décennies d'exil. Ou plus simple encore, prendre la route nationale 2 qui longe la frontière avec Lagouira, jusqu'à Guerguarate.

Mais avant d’atteindre la représentation diplomatique du Maroc en Mauritanie, ces Sahraouis ont dû emprunter des chemins difficiles, parfois périlleux, précise à Yabiladi un Sahraoui candidat au retour. En effet, faute d’une autorisation de l’armée algérienne et du Polisario, ils doivent fuir «clandestinement» et déjouer la vigilance des soldats algériens qui quadrillent les camps de Tindouf. Ils mettent le cap sur la Mauritanie en roulant jour et nuit à travers les pistes désertiques et routes ensablées.

Ces Sahraouis «optent pour le Maroc parce qu’ils ne supportent plus la vie dans les camps, ponctuée de blocus algériens, de pénuries de produits de première nécessité et le chaos sécuritaire. Ce sentiment de retourner au Sahara est partagé par de nombreuses personnes dans les camps», explique la même source.

Une enquête avant de regagner le Maroc

Néanmoins, l’arrivée sur le territoire mauritanien ne signifie pas pour autant la fin du périple pour ces Sahraouis, souvent démunis. «La réponse des autorités marocaines aux requêtes des Sahraouis prend du temps. Un retard qui les pousse parfois à regagner les camps de Tindouf», déplore notre contact.

En effet, les demandes sont soumises à un examen minutieux par le consulat du Royaume à Nouadhibou et les services de sécurité marocains. Une enquête qui porte essentiellement sur les origines et le passé des requérants. Pour rappel, au lendemain des événements tragiques du démantèlement du camp de fortune de Gdiem Izik à Laayoune, le 8 novembre 2010, marqué par l’assassinat de 11 membres des forces de l’ordre, les investigations portaient sur le passé politique et sécuritaire des demandeurs.

En effet, les camps de Tindouf n’accueillent pas seulement des familles originaires du Sahara occidental. Il y a aussi des Sahraouis algériens, dont certains occupant des postes de responsabilité au sein de l’appareil du Polisario, des Maliens de la région de l’Azawad et des Mauritaniens. Tous prétendent être Sahraouis pour bénéficier d'aides humanitaires octroyées par la communauté internationale. Une présence qui sert le Front afin de gonfler les chiffres des réfugiés dans les camps (160 000 selon le Polisario), et réclamer en conséquence davantage d’aide internationale.

Pour sa part, le royaume estime le nombre «de Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf à 20 000 personnes». Un chiffre donné par le représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies, Omar Hilale, lors de ses nombreuses passes d’armes avec les délégués de l’Algérie. L’ambassadeur avait, d’ailleurs, réaffirmé depuis la tribune de l’ONU la disposition du royaume à les accueillir «parce qu’ils sont des Marocains».

Abdelhak38
Date : le 07 décembre 2024 à 18h23
Je ne comprends pas l'utilisation du mot "escapade". Quoiqu'il en soit les sorties par la chatière c'est plutôt ta spécialité mais tu n'y est pour rien cela vient du déni avec lequel les cabranates vous ont biberonné. De la fournaise de Tindouf qui sert de prison aux séquestrés privés de la liberté de circulation, droit le plus élémentaire, tu passes au mur de défense avec des arguments complètement foireux.Cela semble te préoccuper mais ne t'inquiète pas les animaux peuvent le passer en toute liberté, par contre les bidasses algériennes et/ou les terroristes du polisario, eux, seront stoppés net. Vous vous êtes remis de la claque au sujet du caftan?
Citation
Eamses à écrit:
Escapades "AS USUAL"
HopeFloats
Date : le 07 décembre 2024 à 17h01
Je vais me concentrer sur le "DÉPLACEMENT DE POPULATION" pour éclairer ta lanterne ou démasquer ta mauvaise foi : Tout d'abord, il ne faut pas oublier que la junte militaire algérienne et ses mercenaires polisariens ont commencé par attaquer les sahraouis Marocains et les kidnapper pour les obliger à s'installer dans les camps de Tindouf, donc, le Mur de Sable était la solution pour mettre fin aux attaques des mercenaires polisariens contre les Sahraouis Marocains et contre l'armée Marocaine. Les sahraouis vivants au Sahara Marocain ne sont ni réfugiés ni séquestrés, ils sont des citoyens Marocains tout simplement. Par contre, les sahraouis des camps de Tindouf sont majoritairement pas originaires du Sahara Marocain et ils ne sont pas des réfugiés, puisque l'Algérie refuse catégoriquement de les recenser et les identifier, donc, ils n'ont pas le statut de réfugiés et ils ne sont pas libre de circuler et de se déplacer, donc, ils sont des séquestrés qui sont obligés de fuir clandestinement et déjouer la vigilance des soldats algériens qui quadrillent les camps de Tindouf !!! Donc, ce n'est pas le Maroc qui empêche les familles de se retrouver, c'est plutôt la junte militaire algérienne qui se sert de ces sahraouis pour atteindre ses objectifs.
Citation
Eamses à écrit:
L’Algérie a accueilli un peuple en détresse chassé par le Napalme de la terre des aïeux de leur aïeux. Le Maroc a construit le « Mur de la Honte" aux conséquences diverses et désastreuses : 1. Conséquences humanitairesMines terrestres : La région autour du mur est l'une des zones les plus minées au monde. Ces mines ont causé des milliers de victimes, principalement des civils, y compris des enfants et des nomades sahraouis. • Déplacement de population : Le mur a contribué à diviser les Sahraouis en deux groupes : ceux vivant sous contrôle marocain et ceux dans les camps de réfugiés à Tindouf, en Algérie. Cette séparation empêche les familles de se retrouver. • Détérioration des conditions de vie : Dans les camps de réfugiés de Tindouf, les Sahraouis vivent dans des conditions précaires, dépendant largement de l’aide humanitaire internationale. 2. Impact écologiqueDestruction de l'écosystème : La construction du mur et l’installation des dispositifs de défense ont perturbé les écosystèmes fragiles du désert, affectant la faune et la flore locales. • Barrière à la biodiversité : Le mur empêche les déplacements naturels des espèces animales et contribue à la fragmentation des habitats. 3. Conséquences sociales et culturellesDivision des Sahraouis : Le mur a exacerbé les divisions entre les communautés sahraouies, brisant des liens culturels, familiaux et sociaux anciens. • Dégradation des traditions nomades : Les populations sahraouies, historiquement nomades, sont privées d'accès à une grande partie de leur territoire, ce qui perturbe leur mode de vie traditionnel. 4. Conséquences politiques et géopolitiquesBlocage du processus de paix : Le mur est devenu un symbole de l'impasse politique dans le conflit entre le Maroc et le Front Polisario. Il constitue une barrière physique et psychologique rendant difficile tout progrès vers une résolution négociée. • Tensions régionales : Le conflit autour du Sahara Occidental, exacerbé par l’existence du mur, alimente les tensions entre le Maroc et l'Algérie, qui soutient le Front Polisario. 5. Entrave au développementIsolement économique : Les régions sahariennes isolées par le mur sont privées d’opportunités de développement, ce qui aggrave les inégalités économiques. • Accès restreint aux ressources naturelles : Le mur limite l’accès à certaines ressources naturelles, comme les zones de pâturage, aggravant les tensions économiques.
Berberodie
Date : le 07 décembre 2024 à 15h21
Une république laïque marxiste qui tire sur ses présidents, les enterre en cachette et qui massacre 200.000 de ses citoyens smiling smiley
Citation
Eamses à écrit:
Je sens que vous avez envie de devenir une république. C’est une très bonne idée.thumbs up
Eamses
Date : le 07 décembre 2024 à 15h05
ça me rassure!
Citation
212_Radia à écrit:
C est normal ont n est la pour toi
212_Radia
Date : le 07 décembre 2024 à 13h59
C est normal ont n est la pour toi
Citation
Eamses à écrit:
Ma très chère Radia, C'est toujours un immense plaisir lorsque cela vient de toi.
Eamses
Date : le 07 décembre 2024 à 12h17
Escapades "AS USUAL"
Citation
Abdelhak38 à écrit:
Je me demande si parfois tu relis et comprends tes copier/coller. On t'a paramètré une RPA? Attention ce genre truc ça ne réfléchit pas ça ne fait qu'executer
Abdelhak38
Date : le 07 décembre 2024 à 11h50
Je me demande si parfois tu relis et comprends tes copier/coller. On t'a paramètré une RPA? Attention ce genre truc ça ne réfléchit pas ça ne fait qu'executer
Citation
Eamses à écrit:
L’Algérie a accueilli un peuple en détresse chassé par le Napalme de la terre des aïeux de leur aïeux. Le Maroc a construit le « Mur de la Honte" aux conséquences diverses et désastreuses : 1. Conséquences humanitairesMines terrestres : La région autour du mur est l'une des zones les plus minées au monde. Ces mines ont causé des milliers de victimes, principalement des civils, y compris des enfants et des nomades sahraouis. • Déplacement de population : Le mur a contribué à diviser les Sahraouis en deux groupes : ceux vivant sous contrôle marocain et ceux dans les camps de réfugiés à Tindouf, en Algérie. Cette séparation empêche les familles de se retrouver. • Détérioration des conditions de vie : Dans les camps de réfugiés de Tindouf, les Sahraouis vivent dans des conditions précaires, dépendant largement de l’aide humanitaire internationale. 2. Impact écologiqueDestruction de l'écosystème : La construction du mur et l’installation des dispositifs de défense ont perturbé les écosystèmes fragiles du désert, affectant la faune et la flore locales. • Barrière à la biodiversité : Le mur empêche les déplacements naturels des espèces animales et contribue à la fragmentation des habitats. 3. Conséquences sociales et culturellesDivision des Sahraouis : Le mur a exacerbé les divisions entre les communautés sahraouies, brisant des liens culturels, familiaux et sociaux anciens. • Dégradation des traditions nomades : Les populations sahraouies, historiquement nomades, sont privées d'accès à une grande partie de leur territoire, ce qui perturbe leur mode de vie traditionnel. 4. Conséquences politiques et géopolitiquesBlocage du processus de paix : Le mur est devenu un symbole de l'impasse politique dans le conflit entre le Maroc et le Front Polisario. Il constitue une barrière physique et psychologique rendant difficile tout progrès vers une résolution négociée. • Tensions régionales : Le conflit autour du Sahara Occidental, exacerbé par l’existence du mur, alimente les tensions entre le Maroc et l'Algérie, qui soutient le Front Polisario. 5. Entrave au développementIsolement économique : Les régions sahariennes isolées par le mur sont privées d’opportunités de développement, ce qui aggrave les inégalités économiques. • Accès restreint aux ressources naturelles : Le mur limite l’accès à certaines ressources naturelles, comme les zones de pâturage, aggravant les tensions économiques.
Eamses
Date : le 07 décembre 2024 à 11h40
Ma très chère Radia, C'est toujours un immense plaisir lorsque cela vient de toi.
Citation
212_Radia à écrit:
Je pense que Eamses doit se faire aider ont doit le soutenir pas le laisser tomber Une cure de désintoxe va l aider
212_Radia
Date : le 07 décembre 2024 à 10h47
Je pense que Eamses doit se faire aider ont doit le soutenir pas le laisser tomber Une cure de désintoxe va l aider
golden eagle
Date : le 07 décembre 2024 à 09h53
Le Sahara était , est et restera marocain pour l'éternité ,que cela vous plaise ou non . L'accès à l'Atlantiqu c'est NIER الله الوطن الملك .
Citation
Eamses à écrit:
L’Algérie a accueilli un peuple en détresse chassé par le Napalme de la terre des aïeux de leur aïeux. Le Maroc a construit le « Mur de la Honte" aux conséquences diverses et désastreuses : 1. Conséquences humanitairesMines terrestres : La région autour du mur est l'une des zones les plus minées au monde. Ces mines ont causé des milliers de victimes, principalement des civils, y compris des enfants et des nomades sahraouis. • Déplacement de population : Le mur a contribué à diviser les Sahraouis en deux groupes : ceux vivant sous contrôle marocain et ceux dans les camps de réfugiés à Tindouf, en Algérie. Cette séparation empêche les familles de se retrouver. • Détérioration des conditions de vie : Dans les camps de réfugiés de Tindouf, les Sahraouis vivent dans des conditions précaires, dépendant largement de l’aide humanitaire internationale. 2. Impact écologiqueDestruction de l'écosystème : La construction du mur et l’installation des dispositifs de défense ont perturbé les écosystèmes fragiles du désert, affectant la faune et la flore locales. • Barrière à la biodiversité : Le mur empêche les déplacements naturels des espèces animales et contribue à la fragmentation des habitats. 3. Conséquences sociales et culturellesDivision des Sahraouis : Le mur a exacerbé les divisions entre les communautés sahraouies, brisant des liens culturels, familiaux et sociaux anciens. • Dégradation des traditions nomades : Les populations sahraouies, historiquement nomades, sont privées d'accès à une grande partie de leur territoire, ce qui perturbe leur mode de vie traditionnel. 4. Conséquences politiques et géopolitiquesBlocage du processus de paix : Le mur est devenu un symbole de l'impasse politique dans le conflit entre le Maroc et le Front Polisario. Il constitue une barrière physique et psychologique rendant difficile tout progrès vers une résolution négociée. • Tensions régionales : Le conflit autour du Sahara Occidental, exacerbé par l’existence du mur, alimente les tensions entre le Maroc et l'Algérie, qui soutient le Front Polisario. 5. Entrave au développementIsolement économique : Les régions sahariennes isolées par le mur sont privées d’opportunités de développement, ce qui aggrave les inégalités économiques. • Accès restreint aux ressources naturelles : Le mur limite l’accès à certaines ressources naturelles, comme les zones de pâturage, aggravant les tensions économiques.
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com