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Polisario : Le fils de Mohamed Abdelaziz promu commandant d’une milice armée

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Le fils de Mohamed Abdelaziz continue de grimper les échelons au sein de la direction du Polisario. Brahim Ghali l’a nommé à la tête de «l’armée de réserve», rapportent ce samedi des médias basés dans les camps de Tindouf. Lahbib Mohamed Abdelaziz succède à ce poste à Mohamed Lamine Ould El Bouhali, l’initiateur de cette unité en 2017, suite à son limogeage en janvier 2016 par Mohamed Abdelaziz, du «ministère de la Défense».

Depuis le 16e congrès, organisé en janvier 2023 au «camp de Dakhla» sur le territoire algérien, Lahbib Abdelaziz collectionne les promotions. Il siège désormais au secrétariat général du Front aux côtés de 27 autres personnes, et dans le très influent comité de défense relevant de la même instance.

Mohamed Abdelaziz avait désigné son fils Lahbib, en octobre 2013, commandant d’une unité de la gendarmerie, considérée comme les troupes d’élite du Polisario et bénéficiant de moyens conséquents par rapport aux autres milices.

Boujemaa73
Date : le 28 octobre 2024 à 10h02
En tous cas, il a une belle tête de vainqueur.
Berberodie
Date : le 28 octobre 2024 à 09h34
1-Kabylie revendique ce droit 2-Kabylie est abrité dans un état démocratique 3-Kabylie histoire ancienne et ancrée 4-Kabylie a un président en exil et une constitution 5-Kabylie beaucoup de figures historiques smiling smiley
Citation
Eamses à écrit:
S'il ya bien une fiction, elle doit résider dans les esprits formatés comme le tien: 1. Droit à l'autodétermination : Selon le droit international, chaque peuple a le droit de décider de son statut politique et de poursuivre son développement économique, social et culturel (voir la Charte des Nations Unies et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques). Donc, un pays n'est pas imaginaire dès lors qu'il y a un peuple qui revendique et exerce ce droit. 2 Reconnaissance internationale : La reconnaissance d'un État ou d'un gouvernement est un acte politique distinct qui ne dépend pas seulement de son existence sur le terrain mais aussi de la volonté d'autres États. Ainsi, des ministères, même s'ils ne sont pas universellement reconnus, peuvent fonctionner et être légitimes pour le peuple concerné. 3 Preuve historique : Plusieurs pays et peuples ont commencé dans des situations précaires, parfois même qualifiées d’« imaginaires » par des observateurs sceptiques. Pourtant, de nombreux États reconnus aujourd'hui ont vu le jour après des périodes de conflits ou de luttes pour la reconnaissance. 4. Respect des conventions : L’existence ou non d’un État ou de ses institutions ne dépend pas de la perception de quelques individus mais de la conformité aux conventions internationales. Si un groupe ou un gouvernement est capable de structurer ses institutions, d’offrir des services publics, et d’agir en tant que représentant légitime de son peuple, il peut se prévaloir d’une existence concrète dans le cadre du droit international. 5. Humanisation des figures historiques : Quant à « la réanimation d’un mort », cela pourrait faire référence à l’influence durable d’une figure historique ou d’un fondateur symbolique qui inspire encore des valeurs ou des actions aujourd’hui. La mémoire de tels individus n’est pas « réanimée », mais respectée et honorée, comme on le voit dans de nombreux États qui célèbrent leurs fondateurs. L’existence et la légitimité du Sahara Occidental ne relève en rien de la « science-fiction », mais de principes bien établis du droit international et de la réalité historique.
anakine01
Date : le 28 octobre 2024 à 09h21
et pourtant 100% des algériens rêvent de vivre dans cette France endettés ou cette Espagne ou cette Turquie ou ce Portugal ou ces USA avec leur dette colossale, et jamais en Algérie... et toit même tu vis chez l'ancien et jamais tu ne mettra les pieds en dzaidri, qui ment en disant qu'elle n'a pas de dette. mais qui bloque tout import et laisse son peuple crever la dalle.
Eamses
Date : le 28 octobre 2024 à 06h58
Effectivement, la France et le Maroc ont un point commun, tous les deux sont confrontés à des niveaux de dette très élevés. • La dette publique du Maroc s’élève à environ 80% du PIB, un niveau qui a progressivement augmenté ces dernières années, notamment en raison de la pandémie de COVID-19, de la sécheresse, et des besoins d’investissement dans les infrastructures et les services sociaux. • La dette publique de la France représente environ 115 % du PIB, un niveau historiquement élevé qui a été amplifié par les mesures de soutien face aux crises successives (pandémie, guerre en Ukraine, inflation).
Citation
Guil-li à écrit:
Pendant ce temps ... Le Maroc reçoit le Président Macron .La France et le Maroc travaillent , créent des richesses ... Et de l'autre côté du mur , chez les houbalas , on vient de nommer un nouveau Sergent Garcia... Un pays avec un Président comique et des sous fifres plus comiques que lui , on se régale du spectacle affligeant que donnent ces malades ...Souffrez en silence , mordez vos lèvres , aboyez aboyez .Le Sahara est marocain et le restera pour toujours .
Guil-li
Date : le 28 octobre 2024 à 00h33
Pendant ce temps ... Le Maroc reçoit le Président Macron .La France et le Maroc travaillent , créent des richesses ... Et de l'autre côté du mur , chez les houbalas , on vient de nommer un nouveau Sergent Garcia... Un pays avec un Président comique et des sous fifres plus comiques que lui , on se régale du spectacle affligeant que donnent ces malades ...Souffrez en silence , mordez vos lèvres , aboyez aboyez .Le Sahara est marocain et le restera pour toujours .
golden eagle
Date : le 27 octobre 2024 à 22h10
Ton copier/coller date من عام قردة وسيدنا نوح.
Citation
Eamses à écrit:
S'il ya bien une fiction, elle doit résider dans les esprits formatés comme le tien: 1. Droit à l'autodétermination : Selon le droit international, chaque peuple a le droit de décider de son statut politique et de poursuivre son développement économique, social et culturel (voir la Charte des Nations Unies et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques). Donc, un pays n'est pas imaginaire dès lors qu'il y a un peuple qui revendique et exerce ce droit. 2 Reconnaissance internationale : La reconnaissance d'un État ou d'un gouvernement est un acte politique distinct qui ne dépend pas seulement de son existence sur le terrain mais aussi de la volonté d'autres États. Ainsi, des ministères, même s'ils ne sont pas universellement reconnus, peuvent fonctionner et être légitimes pour le peuple concerné. 3 Preuve historique : Plusieurs pays et peuples ont commencé dans des situations précaires, parfois même qualifiées d’« imaginaires » par des observateurs sceptiques. Pourtant, de nombreux États reconnus aujourd'hui ont vu le jour après des périodes de conflits ou de luttes pour la reconnaissance. 4. Respect des conventions : L’existence ou non d’un État ou de ses institutions ne dépend pas de la perception de quelques individus mais de la conformité aux conventions internationales. Si un groupe ou un gouvernement est capable de structurer ses institutions, d’offrir des services publics, et d’agir en tant que représentant légitime de son peuple, il peut se prévaloir d’une existence concrète dans le cadre du droit international. 5. Humanisation des figures historiques : Quant à « la réanimation d’un mort », cela pourrait faire référence à l’influence durable d’une figure historique ou d’un fondateur symbolique qui inspire encore des valeurs ou des actions aujourd’hui. La mémoire de tels individus n’est pas « réanimée », mais respectée et honorée, comme on le voit dans de nombreux États qui célèbrent leurs fondateurs. L’existence et la légitimité du Sahara Occidental ne relève en rien de la « science-fiction », mais de principes bien établis du droit international et de la réalité historique.
AL MASSIRA
Date : le 27 octobre 2024 à 21h37
Tu peux préparer un bouquin avec tes chapitres et une présentation de luxe. Mais ça ne sert à rien. A ce jour le pays qui s’appelle Sahara n’existe pas. Le droit international dont tu parles, tu es le seul avec ta junte qui y croyez.
Citation
Eamses à écrit:
S'il ya bien une fiction, elle doit résider dans les esprits formatés comme le tien: 1. Droit à l'autodétermination : Selon le droit international, chaque peuple a le droit de décider de son statut politique et de poursuivre son développement économique, social et culturel (voir la Charte des Nations Unies et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques). Donc, un pays n'est pas imaginaire dès lors qu'il y a un peuple qui revendique et exerce ce droit. 2 Reconnaissance internationale : La reconnaissance d'un État ou d'un gouvernement est un acte politique distinct qui ne dépend pas seulement de son existence sur le terrain mais aussi de la volonté d'autres États. Ainsi, des ministères, même s'ils ne sont pas universellement reconnus, peuvent fonctionner et être légitimes pour le peuple concerné. 3 Preuve historique : Plusieurs pays et peuples ont commencé dans des situations précaires, parfois même qualifiées d’« imaginaires » par des observateurs sceptiques. Pourtant, de nombreux États reconnus aujourd'hui ont vu le jour après des périodes de conflits ou de luttes pour la reconnaissance. 4. Respect des conventions : L’existence ou non d’un État ou de ses institutions ne dépend pas de la perception de quelques individus mais de la conformité aux conventions internationales. Si un groupe ou un gouvernement est capable de structurer ses institutions, d’offrir des services publics, et d’agir en tant que représentant légitime de son peuple, il peut se prévaloir d’une existence concrète dans le cadre du droit international. 5. Humanisation des figures historiques : Quant à « la réanimation d’un mort », cela pourrait faire référence à l’influence durable d’une figure historique ou d’un fondateur symbolique qui inspire encore des valeurs ou des actions aujourd’hui. La mémoire de tels individus n’est pas « réanimée », mais respectée et honorée, comme on le voit dans de nombreux États qui célèbrent leurs fondateurs. L’existence et la légitimité du Sahara Occidental ne relève en rien de la « science-fiction », mais de principes bien établis du droit international et de la réalité historique.
Eamses
Date : le 27 octobre 2024 à 19h21
S'il ya bien une fiction, elle doit résider dans les esprits formatés comme le tien: 1. Droit à l'autodétermination : Selon le droit international, chaque peuple a le droit de décider de son statut politique et de poursuivre son développement économique, social et culturel (voir la Charte des Nations Unies et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques). Donc, un pays n'est pas imaginaire dès lors qu'il y a un peuple qui revendique et exerce ce droit. 2 Reconnaissance internationale : La reconnaissance d'un État ou d'un gouvernement est un acte politique distinct qui ne dépend pas seulement de son existence sur le terrain mais aussi de la volonté d'autres États. Ainsi, des ministères, même s'ils ne sont pas universellement reconnus, peuvent fonctionner et être légitimes pour le peuple concerné. 3 Preuve historique : Plusieurs pays et peuples ont commencé dans des situations précaires, parfois même qualifiées d’« imaginaires » par des observateurs sceptiques. Pourtant, de nombreux États reconnus aujourd'hui ont vu le jour après des périodes de conflits ou de luttes pour la reconnaissance. 4. Respect des conventions : L’existence ou non d’un État ou de ses institutions ne dépend pas de la perception de quelques individus mais de la conformité aux conventions internationales. Si un groupe ou un gouvernement est capable de structurer ses institutions, d’offrir des services publics, et d’agir en tant que représentant légitime de son peuple, il peut se prévaloir d’une existence concrète dans le cadre du droit international. 5. Humanisation des figures historiques : Quant à « la réanimation d’un mort », cela pourrait faire référence à l’influence durable d’une figure historique ou d’un fondateur symbolique qui inspire encore des valeurs ou des actions aujourd’hui. La mémoire de tels individus n’est pas « réanimée », mais respectée et honorée, comme on le voit dans de nombreux États qui célèbrent leurs fondateurs. L’existence et la légitimité du Sahara Occidental ne relève en rien de la « science-fiction », mais de principes bien établis du droit international et de la réalité historique.
Citation
"AL MASSIRA" à écrit:
De la science fiction. Un pays imaginaire, des ministères venus du néant et un mort qui est réanimé. Un beau scénario de film.
golden eagle
Date : le 27 octobre 2024 à 16h56
L'aigreur et ta haine t'ont poussé à commencer par l'insulte. Tu devrais passer un coup d'aspirateur dans ton crâne pour enlever la toile d'araignée , histoire d'avoir un crâne vide ,mais propre. Mis à part le ridicule qui vous squatte, que penses tu de la visite d' Emmanuel Macron au Maroc du 28 au 30 octobre. Normalement, fin octobre, c'est tebboune qui devrait descendre les champs Élysées en burnous et le sabre de l'émir Abdelkader. C'est sûrement ça l'origine de ta frustration. Tu sais qui sont les vrais sionistes ? Non? Ce sont ceux qui te dirigent. Mais rassure toi, Macron va annoncer à Rabat des nouvelles qui vont vous réjouir .
Citation
Azka à écrit:
Tu parles comme tes maîtres sionistes. Tu es sûre que tu en es pas un
omarsharif
Date : le 27 octobre 2024 à 12h48
Un missile est trop pour la tête de ce fils à papa. Une ptite balle suffira !!!
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maroko59 à écrit:
il a la tête d'une future cible pour drone
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